PRÉSIDENTIELLES: L’extension du domaine de la lutte
Avec leur prise de la Bastille, Jean-Luc Mélenchon et le Front de Gauche ont fait plus qu’une entrée bruyante en campagne : ils ont enfin donné une perspective crédible à l’extrême gauche française.
Place de la Bastille dimanche dernier. L’occasion pour une centaine de milliers de personnes de renouer avec les meilleures traditions révolutionnaires françaises.
« Il paraît que François Hollande se serait glissé dans la foule aujourd’hui. Donc, si vous voyez un quidam avec un masque de Jacques Chirac, demandez-lui son programme ». Il est 15 heures dimanche après-midi à la place de la Bastille à Paris, et la foule boit les vannes que leur balance l’humoriste Didier Porte, cet autre damné de la Sarkozie, venu soutenir le grand rendez-vous du Front de Gauche. mehr lesen / lire plus
Erwartungen zu erfüllen ist normalerweise nicht die Art von Anja Franziska Plaschg, alias Soap & Skin, die erst 
Bien entouré de musiciens chevronnés, – John Schlammes à la basse, Michel Mootz aux fûts et Claude Schaus au piano – le saxophoniste luxembourgeois Jitz Jeitz vient de sortir son nouvel album « Ningaloo ». Sur ce disque plutôt personnel, Jitz Jeitz prouve surtout les bienfaits de ne pas se prendre trop au sérieux, comme le démontrent certains de ses titres, drôles à souhaits. Point de vue musical, on n’a pas réinventé la roue, mais on reste dans des sphères plus traditionnelles du jazz, sans que cela ne devienne redondant pour autant. Pour cela, « Jingaloo » est d’abord bien trop varié, avec plusieurs exercices de style qui vont de la ballade à la reprise d’une chanson issue du registre pop, en traversant maints autres styles, avec même des clins d’oeils à la musique classique. 
Enfin un nouveau roman noir basé au Luxembourg, pourrait-on jubiler en tenant dans les mains le nouveau livre de Pierre Decock « In Articulo Mortis ». Et c’est vrai, le style de l’auteur est agréable à lire et l’enquête qui s’ouvre dans les premiers chapitres s’annonce passionnante. De plus, prendre comme protagoniste un jeune policier d’origine portugaise, Joao Da Costa,personnage – obligatoirement – légèrement mélancolique, déséquilibré et muni d’une ardeur au travail imparable, fait preuve d’un peu plus d’originalité que maints autres polars qui jouent au Luxembourg. Pourtant, plus on avance dans le livre, plus la déception devient grande. L’intrigue devient de plus en plus mal ficelée pour se désintégrer totalement au cours des derniers chapitres et les personnages adjacents sont tous sauf crédibles. 
