LANGUE FRANÇAISE: Aux armes, enseignants !
Il a beau être plus parlé que jamais, le français n’aurait plus la cote au Luxembourg. Les professeurs de la langue de Voltaire (et de Rousseau !) tirent la sonnette d’alarme.
Au Luxembourg, pour être professeur de français, il faut du courage. Car on s’expose à des hostilités de toutes sortes. Les couches conservatrices et réactionnaires haïssent le français. C’est une tendance historique au Luxembourg : le français est synonyme soit de l’héritage des Lumières, de l’élite éclairée et friquée, ou de la langue de l’étranger romanophone, voire de la serveuse frontalière. mehr lesen / lire plus