THEATER: Das fahrende Schauspiel

Das Künstlerkollektiv Maskénada bringt mit „Les tsiganes“ das Theater auf die Straße. Ein bewährtes Konzept, nur das Stück selbst lässt zu wünschen übrig.

Campingstühle stehen im Raum verteilt auf bunten Teppichen mit Blumenmotiven. Unter die Zeltdecke ist ein Netz gespannt, von dem allerhand Utensilien baumeln: eine Püreepresse, Tassen, ein Vogelkäfig, diverse Kleidungsstücke, ein Büstenhalter. Die Bühne des Künstlerkollektivs Maskénada ist mit diesen Zutaten ein farbenfrohes Marktzelt, schnell auf- und abbaubar. Das Theater kommt zum Zuschauer, und nicht umgekehrt. Denn das Zelt soll nach Vorstellung der Veranstalter an den unterschiedlichsten Orten in Luxemburg-Stadt in Fußgängerzonen, auf öffentlichen Plätzen und Parkplätzen zur Vorführung aufgebaut werden. mehr lesen / lire plus

BLUES: Popa arrive

Apparemment le printemps n’apporterait pas seulement de la joie de vivre, mais aussi des coups de fatigue voire de blues. Pour ces derniers, le Centre culturel regional opderschmelz à Dudelange réserve une petite surprise.

Dispose d’un physique qui crédibilise sa musique :
Popa Chubby

Ce samedi 16 avril, il y a fort à parier que les amateurs de blues en auront pour leur argent avec la venue de Popa Chubby, véritable figure de proue du blues moderne, qui, d’après sa dégaine passerait plutôt pour un chanteur d’un groupe hardcore que pour un bluesman au grand coeur. Pourtant, c’est bien dans ce style quelque peu désuet que Popa, de son vrai nom Ted Horowitz, s’est fait connaître dans le milieu et ce grâce à son blues typiquement new-yorkais, et si en plus, on rajoute que Popa Chubby vient tout droit du Bronx, on peut s’imaginer le joyeux mic-mac que représente sa musique aux influences multiples. mehr lesen / lire plus

Pour un second souffle

« Couple ouvert à deux battants » nous parle de l’histoire du couple moderne et libéré. Une pièce, qui même 30 ans après sa création, n’a pas perdu d’actualité.

THEATRE

« This is a man’s world, (…) But it wouldn’t be nothing, nothing without a woman. » C’est la première chanson qui envahit une scène assez minimaliste avec des cartons de déménagement éparpillés sur terre – le scénario d’une vie conjugale qui fonce vers la rupture. « Couple ouvert à deux battants » est une pièce à la fois grinçante, burlesque et tragi-comique, mise en scène par Marion Poppenborg au Théâtre Ouvert Luxembourg TOL. Cette comédie de moeurs à l’italienne sur le thème du couple et ses contradictions a été écrite en 1983 par Dario Fo et sa femme Franca Rama. mehr lesen / lire plus

FESTIVAL: La huitième bataille

Le « Out of the Crowd »-Festival à la Kulturfabrik fêtera sa huitième édition le weekend prochain et démontre la tenacité de la culture alternative au Luxembourg.

Prêts pour la guerre des tympans : Battles.

Tout au long de la dernière décennie, les festivals de musique sur le sol luxembourgeois ont poussé comme des champignons, que ce soit au coeur des Terres Rouges ou dans les prairies autour de la commune de Roeser ou encore près du lac d’Echternach : une vraie culture musicale en plein air s’est imposée petit à petit créant ainsi quelques rendez-vous presque incontournables pendant l’été.

Pourtant, toutes ces fêtes musicales ont un hic : leur programmation. mehr lesen / lire plus

AVANT-GARDE: Plus près de toi mon seigneur?

Une fois de plus, des légendes de l’avant-garde vont frôler nos latitudes : « The Young Gods », les pionniers suisses, vont débarquer au 112 de Terville.

Les seigneurs des sampleurs :
The Young Gods.

Pour un projet ambitieux, il faut un nom qui colle et « The Young Gods » semble parfait pour le groupe lancé vers le milieu des années 80 à Genève par trois amoureux de la musique qui se sentaient un peu seuls dans le désert musical que fut l’Europe à ce moment de l’histoire. En empruntant leur nom à une chanson du groupe no-wave – aussi légendaire qu’eux – « The Swans », ils donnent d’emblée la direction du projet : vers de nouvelles rives musicales. mehr lesen / lire plus

JAZZ: Jazz for beginners?

La Kulturfabrik accueille pour la seconde fois les fous furieux de Jaga Jazzist dans son enceinte afin de présenter leur dernier album en date « One Armed Bandit ».

La nouvelle légion du jazz norvégien : Jaga Jazzist.

Jaga Jazzist est probablement ce qui est arrivé de mieux au jazz ces dernières années. Mélange subtil de sonorités jazz, de rythmes électroniques et de mélodies vaporeuses, ce groupe de Trondheim en Norvège a su raviver, et ce de manière tout à fait novatrice et intelligente, une musique qui commence à se mordre la queue, se reposant bien souvent sur ses acquis inventés par des musiciens devenus légendaires mais plus forcément actuels. mehr lesen / lire plus

ELEKTRA: Die Trostlose

Gut besetzt ist das Theaterstück „Electre“ von Marja-Leena Junker. Schade nur, dass nicht versucht wurde, die Thematik in die Gegenwart zu transponieren.

Minimalistisch nimmt sich das Bühnenbild aus, das die Regisseurin Marja-Leena Junker für ihre Elektra gewählt hat, die noch bis Mitte März im kleinen Centaure-Theater zu sehen ist. Es gibt nur eine Eckwand, die in den leeren Raum hineinragt und ihn in zwei Hälften aufteilt, und einen Lautsprecher, das Orakel von Delphi, die Off-Stimme. Außer dem halbierten Raum und dem Lautsprecher steht der Hauptdarstellerin, die während des ganzen Stückes raumgreifend präsent ist, also nichts zur Verfügung. Dennoch gelingt es Myriam Müller, die schwierige Figur der Elektra glaubwürdig zu verkörpern; ihr Leiden, ihre Trauer, ihre Ausweglosigkeit und der Hass auf ihre Mutter sind eindrucksvoll dargestellt. mehr lesen / lire plus

STROMAE: Tralalas

L’auteur-compositeur belge Stromae sera à la Rockhal ce Weekend. Une occasion pour se défouler à l’House’llelujah.

« Je préfère arriver con, pour en sortir plus intelligent, plutôt que de faire l’intelligent et d’en ressortir con », c’est la philosophie de Paul Van Haver, mieux connu sous le pseudonyme de Stromae. Lors d’une conférence de presse, le jeune homme facilement reconnaissable a son look fifties et beatnick, qu’il définit lui-même comme anglais, a des difficultés pour se tenir tranquille. Soit c’est un pied qui bouge, soit ce sont ses bras qui gesticulent pour souligner ses mots. « Je suis philosophe des bas étages », reconnaît Stromae. mehr lesen / lire plus

PUNK: Zéro de conduite

Le Melusina fait plaisir aux amateurs de skate punk en invitant les légendaires Américains d’Authority Zero.

N’apprécient pas vraiment le ton autoritaire : Authority Zero

Une chose est certaine : Authority Zero sont loin d`être des débutants. La joyeuse bande de Mesa en Arizona s`est fondée au milieu des années 90, lorsque Jason DeVore et Bill Marcks se rencontrent sur les bancs de l`université. Ils se découvrent alors une passion commune pour le punk-rock et ne tardent pas à former un groupe. Celui-ci s`appellera Authority Zero et mettra un certain temps à s`établir, à cause d’incessants changements de line-up aux postes de batteur et de bassiste qui continueront jusqu’au début du nouveau millénaire. mehr lesen / lire plus

ELECTRO: Pandore

Encore une fois l`Exit07 invite à l`intérieur de son enceinte une petite perle de la musique electro. Cette fois-ci, c`est au tour de Gold Panda de fouler les planches de la salle luxembourgeoise.

Va assurer la première partie de la soirée: Rudy Zygadlo.

Né en 1980 à Peckham, dans la banlieue de Londres, Gold Panda (de son vrai nom Derwin Panda) a passé son enfance à Chelmsford dans l`Essex, avant de s`envoler vers le Japon, et revenir faire ses études à Londres. Et c`est sûrement de ses voyages que vient l`inspiration du compositeur et touche-à-tout électronique. Car on sent dans sa musique un mélange d`influences qui va de l`Inde jusqu`en Asie, en passant par les « gamelan » de Polynésie, et bien entendu une culture musicale pop et électronique héritée de son enfance en Angleterre. mehr lesen / lire plus

KLASSIK: Feinarbeit

Die Philharmonie lässt im Rahmen des Streichquartettzyklus große Kammermusik im vollen Glanz erstrahlen. Das Zehetmair Quartett wird sowohl Ludwig van Beethovens Streichquartett N° 14 als auch Dmitri Schostakowitschs Streichquartett
N° 15 aufführen.

Seit Jahren begeistert das Zehetmair Quartett mit seinem Repertoire.

Beethovens Streichquartette gelten ohne Zweifel als Krone ihrer Gattung und spiegeln eine bewegende künstlerische Reise durch sein Leben wieder. Trotz einer frühen, mittleren und späten Schaffungsphase, tritt Beethoven in seinen Werken das Erbe Haydns und Mozarts an, sie zeugen vor allem von der ungeheuren Modernität des Komponisten. Insgesamt 17 Streichquartette stammen aus seiner Feder und gehören bis heute zum Kernrepertoire jedes Streichquartett-Ensembles. mehr lesen / lire plus

METAL: EX-IN-FINI

Exinferis, les vétérans du metal « made in luxembourg » spécialistes en acouphènes, décident de mettre la clef sous la porte à l’occasion d’un dernier concert. Entretien avec Fabrice, monsieur cordes vocales du prochainement défunt combo.

woxx : Après 12 années de scène, vous décidez de mettre la clef sous la porte. Pourquoi ?

Fabrice : Disons que jusqu’à l’année dernière personne ne pensait encore arrêter le groupe, un nouveau batteur (Spit) nous a rejoint début 2009 ce qui nous a donné une nouvelle fraîcheur d’un point de vue musical mais aussi mental. Malheureusement, il y a beaucoup de changement dans la vie et des choix à faire. mehr lesen / lire plus

ZEITGENÖSSISCHE MUSIK: Keine Berührungsängste

Mit „Simply Complex“ macht die Philharmonie den Liebhabern und Neulingen zeitgenössicher Musik einen großen Gefallen.

Werden die Zuhörer auf den neuesten Stand bringen: United Instruments of Lucilin.

Im Laufe der letzten Jahrzehnte hat sich die neue – genauer genommen die zeitgenössische – Musik in den berühmtesten Konzerthallen Europas etabliert und erfreut sich immer größer werdender Beliebtheit. Auch die Philhamonie bietet im Rahmen der herausragenden Konzertreihe „Musiques d’aujourd’hui“ den Musikbegeisterten anlässlich des Konzertes „Simply Complex“ die Gelegenheit, sich mit neueren Werken, wie Ferneyhoughs „Time and Motion“ oder James Dillons weltbekannten Drum Solos vertraut zu machen.

Neue Musik ist längt zu einer Selbstverständlichkeit geworden, vor der weder Abonnement-Publikum, noch unerfahrene Konzertbesucher zurückschrecken sollten. mehr lesen / lire plus

Mehr als Schweizer Käse

Präsent ist die junge Schweizer Sängerin und Songschreiberin Sophie Hunger auf der Bühne allemal. Und bleibt dabei doch unnahbar.

SOPHIE HUNGER

„Shadow boxing, monologue and we talk and we talk and we talk“. Der jungen Schweizer Sängerin und Songschreiberin Sophie Hunger – die eigentlich Emilie Welti heißt – geht es in ihren bittersüßen Songs um die inneren Gespenster. Und das in einer Intensität die ihr eigen ist: Mal sehnsuchtsvoll-traurig wie im „Walzer für Niemand“, dann jazzig wie in „Round and Round“, mit Indie-Klängen in „The Boat Is Full“ oder Country-Blues-mäßig im „Sophie Hunger Blues“, wo sie den Dylan-Ausspruch „I let you be part of my dream, if I can be part of yours“, souverän mit: „I let you be part of my dream, if I can be part of your reality“ beantwortet. mehr lesen / lire plus

ELEKTRO: Trash 3.0

„The Toten Crackhuren im Kofferraum“ sind nicht unbedingt die weibliche Antwort auf „Die Toten Hosen“, sondern die konsequente Weiterführung der Trash-Glamour-Rebellinnen à la „Chicks on Speed“.

„The Toten Crackhuren im Kofferraum“ – hier eher halbtot.

Zugegeben, Fans von ausgefeilter Musik sollten bei „The Toten Crackhuren im Kofferraum“ besser weghören und schnell die Flucht ergreifen. Denn was die neun Mädchen und drei Jungs auf Platte pressen bewegt sich am untersten Niveau der Unterhaltungsmusik und kann höchstens als Beweis dafür dienen, dass heutzutage sogar bekiffte Orang-Utans einen Platinhit schreiben könnten. Aber schließlich kriegt ein Dieter Bohlen das auch immer wieder hin und auch dem Musikantenstadl scheint die Reserve nicht ausgehen zu wollen. mehr lesen / lire plus

ELECTRO: Toxic Twins

La Rockhal n’a qu’a bien se tenir ce 13 janvier car elle verra débouler sur ces planches la tonitruante machine de guerre à danser que sont les Chemical Brothers.

Vont célebrer la première messe
noire de l’année :
The Chemical Brothers.

A l’aube des années 90, deux fondus de musique électronique se rencontrent pour le meilleur et pour le pire afin de former ce qui deviendra le duo de musique electro probablement le plus en vue de toute la planète. Non il ne s’agit pas de Safri Duo, mais des Londoniens de Chemical Brothers qui avec leur mélanges de rythmiques détonantes, d’invités vocaux prestigieux (rappelez-vous de la présence de Noël Gallagher de feu Oasis sur « Setting Sun » ou bien encore Kele Okereke sur « Believe ») ont crée le style Big-Beat qui les a rendus célèbres dès 1992. mehr lesen / lire plus

SKA-PUNK: Vamos a la skaya ?

Si vous aussi vous souffrez tellement du froid qu’une bonne petite musique suffit pour vous réchauffer le coeur, alors notez le rendez-vous à la Rockhal pour le Ska-Punk-Festival annuel.

Viendront faire sauter de joie les amateurs de ska : Der Fall Böse.

Il y a certains rituels dans l’inconscient collectif luxembourgeois qui reviennent régulièrement, comme la fête nationale au mois de juin, la Schueberfouer en août, auquel s’ajoutera désormais le quasi-culte Ska-Punk festival à la Rockhal du mois de janvier. Une date qui s’est imposée depuis maintenant six années comme une sorte de grande messe du contre-temps et de la cool attitude. mehr lesen / lire plus

HOUSE/TECHNO: Spare X-Mas, Save Esch

Si vous appartenez aussi à cette – rare – espèce qui déteste Noël, vous pourrez du moins passer le 25 décembre en bonne compagnie à Esch.

A vos platines :
le 25 décembre sera dédié à la house…

Fin 2009, une fine équipe de personnes s’ennuyant dans la métropole du fer décida de prendre les choses en main et d’organiser ses propres soirées. Depuis, les soirées « Save Esch » sont devenues des rendez-vous branchés réguliers marqués dans les calendriers de tous ceux et toutes celles pour qui l’adjectif « alternatif » fait encore sens. En un peu plus de douze mois, l’ancien restaurant au-dessus du café Diva, derrière le théâtre d’Esch, a vu passer le gratin de la scène locale, des groupes venus de la Grande Région et de plus loin encore. mehr lesen / lire plus

ELEKTRO-JAZZ: Krautflimmern

Die Philharmonie macht den Liebhabern außergewöhnlicher Musik mal wieder einen Riesengefallen: Das „Kammerflimmer Kollektief“ aus Karlsruhe.

Bloss kein Kammerflimmern kriegen : Es sind nur Musiker, keine Berserker.

Zugegeben, denkt man an innovative Avantgarde-Musik die Jazz und Elektronika in einen intelligenten, atmosphärischen Maelstrom verwandeln, so gehen einem eher Orte wie Chicago oder Montréal (wo einige der bedeutendsten Post-Rock-Formationen herstammen) durch den Kopf als ausgerechnet Karlsruhe. Und doch: Die Klänge des 1999 gegründeten, aus losen Musikern um das Mastermind Thomas Weber bestehenden Kollektivs sind nicht nur ihren Cousins aus Übersee ebenbürtig, sondern faszinieren durch ihre Andersartigkeit.

Der Musik des Kollektivs wohnt eine große Unruhe inne aber auch der Versuch sämtliche festgelegte musikalische Formen aufzusprengen und neu zu arrangieren. mehr lesen / lire plus

KLASSIK: Die Kleine, die Reine, die Eine

Alte und neue Musik hat Christine Schäfer eingespielt, aber immer mit einer persönlichen Note. In der Philharmonie wird sie deutsche Lieder des frühen 20. Jahrhunderts vortragen.

Das Alte, neu belebt von
der ewig jungen Muse. Cover der CD „Apparition“.

Es passt so gar nicht zu ihr. „Dein Will‘ ist mir Gesetz. (…) Und dir gehorchen bringt mir Freude, Glück und Ruhm.“ Christine Schäfer singt mit heller klarer Stimme die Eva in Haydns Schöpfung, die Aufnahme von 1993 mit Helmut Rilling. Drei Jahre später, als sie die moderne Oper Lulu von Alban Berg einspielte, musste sie, durfte sie mit breiten Modulationen singen: „Wenn sich die Menschen um meinetwillen umgebracht haben, so setzt das meinen Wert nicht herab.“ mehr lesen / lire plus