TERENCE MALICK: The New World

Dem Film gelingt es leider nur mäßig dem Zuschauer, durch die Geschichte der Indianerin Pocahontas, die Lebensbedingungen der ersten Siedler Nordamerikas und ihre Auseinandersetzungen mit den Eingeborenen näher zu bringen. Er hält sich an die legendäre Liebesgeschichte, die sehr poetisch dargestellt wird. Ein schöner und trauriger Film. mehr lesen / lire plus

DANIELE THOMPSON: Fauteuils d’orchestre

Ein Film, der zu mittelmäßig ist, um wirklich gut zu sein. Störend ist die naiv-mädchenhafte Überzeichnung von Cécile de France, die als Provinzunschuld mit plüschtierbehangenem Rucksack in einem Café an den Champs Elysées landet. Die dort angesiedelte Artistenszene wird einfach zu manieriert und übertrieben dargestellt. mehr lesen / lire plus

CLAUDE CHABROL: L’ivresse du pouvoir

L’histoire collée sur le scandale d’Elf-Aquitaine est rendue vivante par une Isabelle Huppert brillante dans le rôle principal de la juge. A travers ce personnage impressionnant, ivre de justice autant que ses adversaires sont corrompus de pouvoir, Chabrol parvient à rendre passionnant le bras de fer entre la classe politique et la justice. Cela compense certaines faiblesses du scénario et les moindres performances des autres acteurs. mehr lesen / lire plus

Alex de la Iglesia: El crimen ferpecto

Plutôt que de mettre à nu les rôles sexuels des hommes et des femmes, Alex de la Iglesia se contente de les mettre en scène une énième fois. Sinon, une petite comédie noire souvent drôle, qui vit du talent humouristique de l’acteur principal Guillermo Toledo.

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MARC ESPOSITO: Toute la beauté du monde

Toute la beauté du monde von Marc Esposito werden LiebhaberInnen von Rosamunde Pilcher Fernsehfilmen mögen. Auch hier fungiert die Landschaft als Kulisse für eine wenig überzeugende Beziehungskrise mit klischeehaften Charakteren, plumper Kameraführung und vorhersehbarem Ereignisverlauf. mehr lesen / lire plus

DEAN PARISOT: Fun with Dick and Jane

Ein banaler Titel, der auf positive Weise hält was er verspricht – nämlich Unterhaltung mit einer Prise Gesellschaftssatire. Regisseur Dean Parisot dreht hier am Schicksalsrad: Mal sind die Protagonisten ganz oben, wähnen sich als Gewinner, dann sind sie ganz unten. Bonnie and Clyde-Methoden werden angewandt, die schlussendlich zum ersehnten American Dream führen, wenn auch in abgewandelter Form. mehr lesen / lire plus

BENITO ZAMBRANO: Habana blues

Ni le paradis sur terre, ni l’enfer si souvent caricaturé, Habana blues donne une image contemporaine de Cuba. Benito Zambrano connaît l’île pour y avoir vécu plusieurs années et ça se voit: sans prétention aucune, il a réalisé un film attachant sur les contradictions d’une jeunesse cubaine „underground“ qui aime son beau pays sans se priver de rêver d’une vie meilleure. mehr lesen / lire plus

GORE VERBINSKI: Weather Man

Gore Verbinski verbindet in seinem Portrait eines Wetterfroschs die durchaus ernste Analyse einer Familienkrise mit einer Satire über das amerikanische Aufstiegsmodell. Herausgekommen ist eine ansprechende und immer wieder amüsante Reflexion über das Erwachsensein, einem Lebensabschnitt, in dem „die Vokabel ‚einfach‘ nicht vorkommt“. Nicolas Cage und Michael Caine ergänzen sich hervorragend in den Hauptrollen. mehr lesen / lire plus

ERIC LARTIGAU: Un ticket pour l’espace

On peut ne pas aimer un certain humour français loufoque et potache. Si Eric Lartigau ne signe pas un chef d’oeuvre, il a quand même réussi à tourner un film convenable, parfois bien drôle et étonnamment sobre. On s’y amuse, même si Kad et Olivier sont mieux dans leurs sketchs qui laissent plus d’espace à leur spontanéité. Agréable surprise, André Dussolier et Guillaume Canet s’intègrent parfaitement dans cet univers déjanté. mehr lesen / lire plus

ANDREW NICCOL: Lord of War

Andrew Niccol liefert hier eine bitterböse, aber gerade durch ihren Zynismus bestechende Fabel, in der Nicolas Cage als erfolgreicher Waffenhändler Stück für Stück menschliche Werte aufgibt – und die Bezugspunkte in seinem Leben. Er gewinnt gegen den Vertreter des Rechts, einen polizeilichen Verfolger, verliert aber seinen Bruder und die Liebe seiner Frau. mehr lesen / lire plus

FERNANDO MEIRELLES: The Constant Gardener

Fernando Meirelles filmische Umsetzung des Politthrillers von John le Carré, in dem die verbrecherischen Praktiken westlicher Pharmakonzerne thematisiert werden, überzeugt durch seinen Dreh im Stil der Dogmafilme an den Originalschauplätzen. Komplex, mit wechselnden Erzählperspektiven wird der Film nur im zweiten Teil etwas unübersichtlich und langatmig. mehr lesen / lire plus

GERARD BITTON / MICHEL MUNZ: Le Cactus

Prenez trois interprètes à talent (Clovis Cornillac, Pascal Elbé et Alice Taglioni), une histoire débutant sur un quiproquo, le tout sur fond d’expédition dans un pays exotique comme l’Inde. Avec ces ingrédients, on se demande comment les deux réalisateurs ont fait pour tourner une comédie où l’on rit si peu, tant les chutes sont prévisibles. mehr lesen / lire plus

PETER JACKSON: King Kong

Peter Jackson aime relever les défis. S’attaquer à un mythe du cinéma en proposant un remake est chose périlleuse, tant il est risqué de décevoir les aficionados. Mais Jackson a réussi à insuffler une âme à ce beau gorille numérique et les interprètes ne déçoivent jamais (Jack Black est brillant). La bestialité de l’innocence de King Kong nous touche vraiment et les références à „Heart of Darkness“ de Conrad soulignent justement l’allégorie de l’oeuvre. mehr lesen / lire plus

TOMMY LEE JONES: The Three Burials of Melquiades Estrada

Zwei Männer gehen gemeinsam auf eine lange Reise. Und wie immer, wenn Männer etwas suchen, finden sie am Ende sich selbst. Zugleich moderner Western und Roadmovie der alten Schule, knochentrocken und unsentimental erzählt. Eine ernüchternde Facette des Lebens im texanisch-mexikanischen Grenzgebiet. mehr lesen / lire plus

EMMANUELLE BERCOT: Backstage

Une jeune fille de 17 ans s’immisce dans la vie de la star qu’elle adule, une version peroxydée de Mylène Farmer. Un film à potentiel: la trame est originale et les deux interprètes principales – Isild Le Besco et Emmanuelle Seigner – sont fascinantes. Mais à la longue, on est submergé par le pathétique des personnages qui en font trop et qui incarnent cliché après cliché. Dommage. mehr lesen / lire plus