Les photographies de Marla Rutherford, qui sont exposées en ce moment à la galerie Clairefontaine I sous le titre évocateur de « Submit », sont à prendre avec caution. Non seulement qu’elles pourraient choquer quelques visiteurs plus conservateurs que les autres, mais elles pourraient aussi induire en erreur plus d’un-e appartenant à la frange de la population qui se dit progressiste. Sur chaque image, on trouve au moins une femme dans une pose toujours équivoque. De loin elles ressemblent toutes à des poupées gonflables, des personnes dépersonnalisées et réduites à leur unique rôle d’objet sexuel, n’incarnant que le désir qu’elles susciteront chez le spectateur. mehr lesen / lire plus

La Galerie Terres Rouges, située au beau milieu de la Kulturfabrik à Esch, expose des affiches qui témoignent des luttes sociales et sociétales des années 68 et après.

Même l’époque pré-68 est prise en considération, car les premières émanations d’un esprit critique apparaissent bien avant cette date. Mais avant, il faut bien se recadrer dans le contexte des années 60 au petit Grand-Duché de Luxembourg. C’est que de cette époque on a tendance à retenir les jeunes gens portant des T-Shirts avec des logos de paix, une fleur attachée aux longs cheveux etc? On oublie souvent que ces années étaient aussi une période extrêmement morne. mehr lesen / lire plus

« Animals Can’t Laugh », l’exposition d’Emilie Pitoiset dans le Project Room du Casino, prouve qu’art contemporain et réflexion métaphysique peuvent toujours s’unir.

Au premier regard, la salle du Project Room semble étrangement vide. Une série de photographies, une installation vidéo, un truc informe et noir qui pend très haut sur un mur et puis une grande tâche blanche à l’arrière de la salle. Ce n’est qu’après que les yeux du spectateur se soient habitués à la lumière froide des néons qui illuminent le fond de la salle qu’on se rend compte que la masse blanche qui traîne par terre est un cheval. mehr lesen / lire plus

Frauen in Konzentrationslagern – ein Geschichtsaspekt, der lange vernachlässigt wurde, ist Thema einer Wanderausstellung im CCRN.

Im lichten Innenhof der Neumünster Abtei stehen zur Zeit vier graue rechteckige Kisten, die es in sich haben. In dieser modular konzipierten Ausstellung befassen sich StudentInnen und Lehrende des Bachelor professionnel en sciences de l’éducation mit dem Schicksal der Frauen im Konzentrationslager Ravensbrück.

Dass die Nazi-Diktatur nicht davor Halt machte auch Frauen in ihre Lager zu sperren ist weitaus bekannt. Welchen Bedingungen sie dort ausgesetzt waren und wie das Regime mit weiblichen Gefangenen umging – weniger. Auch wenn sie keine speziellen – oder geschlechtsspezifischen – Markierungen tragen mussten, so war der Alltag der Frauen in Ravensbrück doch anders als der der Männer in ähnlichen Lagern. mehr lesen / lire plus