Socfin : Greenpeace citée au tribunal

La Socfin est une entreprise bien connue de la société civile luxembourgeoise. Cotée à la bourse locale, la société tient aussi ses assemblées générales au grand-duché, ce qui attire à chaque fois des militants (woxx 1374). Et pour cause, la société, qui appartient à 38 pour cent à Vincent Bolloré, travaille dans l’exploitation forestière en Afrique où elle possède de gigantesques concessions (185.000 hectares) afin d’y produire de l’huile de palme et du caoutchouc naturel. En février 2016, Greenpeace a publié un rapport, « Menaces sur les forêts africaines : enquête sur les investissements du groupe Bolloré et de son partenaire belge Hubert Fabri », dans lequel l’ONG détaillait les pratiques de la Socfin et critiquait le fait que celle-ci refuse de s’engager dans la voie de la « zéro déforestation » dans les territoires sous sa concession. mehr lesen / lire plus

Manif contre la Socfin

1374socfin« Oui au dialogue, non à l’accaparement des terres » : ce fut un des slogans de la manifestation contre la société spécialisée dans les palmeraies d’huile et les hévéas, cotée à la bourse luxembourgeoise, qui tenait son assemblée générale ce mercredi vers 10 heures à l’hôtel Parc Belair (voir l’article détaillé dans le woxx 1373). Par rapport à l’année passée, où une action similaire avait été organisée, les troupes avaient bien grossi – et ceci malgré les grèves et les perturbations du trafic ferroviaire. En effet, en dehors du collectif « Meng Landwirtschaft », les rangs des militants d’ONG de France et de Belgique étaient un peu plus clairsemés que prévu. mehr lesen / lire plus

Socfin und Landraub: Der Konflikt schwelt weiter

Am 1. Juni wird die mit Landraub-Vorwürfen konfrontierte Holding Socfin ihre Jahresversammlung in Luxemburg abhalten.

1373newssocfinAls es im vergangenen Jahr bei der Jahresversammlung der in Luxembourg eingetragenen Holding Socfin zu Protesten kam, wurden die etwas zaghaften Unmutsbekundungen „de quelques permanents d’ONG“ noch belächelt. Tatsächlich ist der Widerstand, mit der die auf Palmöl und Kautschukanbau spezialisierte Socfin-Filialen anderswo auf der Welt zu tun haben, etwas militanter, als es die eher höflichen, wenn auch zielstrebig geführten Klagen gegen Socfin in Luxemburg – und in Frankreich und Belgien, wo die wichtigsten Eigentümer, Vincent Bolloré und Hubert Fabri, zu Hause sind – vermuten lassen.

Der internationale Protest, der auf die Opfer der Socfin-Expansion in zehn Ländern Asiens und Afrikas aufmerksam zu machen versucht, hat sich seit 2013 institutionalisiert, als eine internationale Allianz der Socfin-Opfer gegründet wurde. mehr lesen / lire plus

Menschenrechtsverletzung via Luxemburg

Im Oktober 2009 berichtete Bernard Thomas in der woxx über die wenig empfindsamen Praktiken der in Luxemburg ansässigen Holding Socfinasia („Bolloré chez les Bunong“), die zusammen mit einer ansässigen Baufirma im kambodschanischen Busra in der Provinz Mondulkiri industrielle Kautschukplantagen angelegt hat und dabei die Grundrechte des lokalen Bunong-Volkes missachtete. Jetzt dürften diese bereits 2007 begonnenen Vorhaben endlich auch ein Nachspiel in Luxemburg haben. Die Fédération internationale des Droits de l’Homme (FIDH) hat im Oktober einen ausführlichen Bericht über das Gebaren der Socfinasia, die im Dunstkreis der französischen Gruppe Vincent Bolloré und der belgischen Familien Ribes und Fabri operiert, veröffentlicht. mehr lesen / lire plus

CAMBODGE: Bolloré chez les Bunong

Le Luxembourg n’a jamais été une puissance coloniale. Pourtant, à travers sa place financière, il joue un rôle dans l’exploitation du Tiers-Monde. Par exemple au Cambodge, où l’habitat du peuple Bunong est menacé par l’expansion de l’industrie du caoutchouc.

La rentabilité d’abord. Récolte de caoutchouc.

Une contrée montagneuse au bout du monde. Pour s’y rendre, tout un périple. Rendez-vous donc en Asie du Sud-Est, dans la capitale cambodgienne Phnom-Penh. Arrivé là-bas, vous avez intérêt à vous lever de bonne heure, le départ quotidien en direction de Busra est matinal. Comptez entre huit et dix heures, selon la météo, pour le trajet qui vous amènera à Sen Monorom, capitale de la province montagneuse de Mondulkiri. mehr lesen / lire plus