Italie : l’argent de la Lega et le Luxembourg

Un article très bien documenté sur le site de l’hebdomadaire italien « L’Espresso » décrit comment des fonctionnaires du parti d’extrême droite ont revitalisé ses finances en passant par le grand-duché.

Il n’y a pas si longtemps, les chances de la Lega Nord de conquérir le pouvoir étaient minces : les scandales des années sous Umberto Bossi, les faux bilans du parti et les enquêtes contre le trésorier Francesco Belsito n’avaient pas seulement terni l’image du parti, mais aussi laissé un trou dans les finances.

Dans leur enquête, les journalistes Giovanni Tizian et Stefano Vergine racontent comment ils sont tombés sur une association culturelle liée de près à des comptables de la Lega Nord, apparemment seulement créée pour masquer des investissements privés d’entrepreneurs proches du parti postfasciste. mehr lesen / lire plus

Italie vs Europe : Le droit de critiquer

La formation chaotique d’un gouvernement aux relents europhobes en Italie a réveillé de vieux réflexes à Bruxelles. Or l’Italie n’est pas la Grèce, et la Commission ferait bien de ne pas ajouter de l’huile sur le feu.

(© pxhere)

 « Les marchés financiers vont apprendre aux Italiens à ne pas voter pour les populistes de gauche ou de droite » : le commissaire européen au budget et aux ressources humaines, le Souabe Günther Oettinger, peu connu pour sa subtilité, a encore une fois raté une occasion de se taire. En réagissant ainsi au sabordage du potentiel nouveau gouvernement populiste en Italie par le président Matterella – qui ne voulait pas d’un ministre de l’Économie critique de l’euro, quoique compétent –, il a implicitement admis son dénigrement de la démocratie. mehr lesen / lire plus

Abschied vom Antifaschismus?

Anfang März wird in Italien gewählt. Das gesellschaftliche Klima ist derweil von einer rassistischen Grundstimmung geprägt.

Auf dem Durchmarsch? Die extreme Rechte in Italien. (Foto: Wikimedia)

Keine guten Nachrichten bringt unsere Korrespondentin Catrin Dingler aus Italien. Welche politische Konstellation aus den Parlamentswahlen am 4. März auch hervorgehen mag: es wird eine ziemlich unappetitliche sein. Angesichts von Gewalttaten und Demonstrationen Rechtsradikaler fällt auch dem regierenden linksliberalen Partito Democratico (PD) um seinen Vorsitzenden Matteo Renzi nichts Besseres ein, als diese zu verharmlosen.

Wie Dingler in der Printausgabe der woxx von kommendem Freitag schreibt, tritt wenige Wochen vor den Wahlen die rassistische Grundstimmung der italienischen Gesellschaft offen zutage. mehr lesen / lire plus