SPOLIATIONS: Non-lieu ?

La Commission pour l’étude des spoliations des biens juifs n’a pas « constaté de discriminations dans les restitutions et indemnisations » des victimes juives. Pourtant, elles étaient souvent exclues des dédommagements. Un cas de xénophobie étatique.

La ganterie Reinhard au Stadtgrund, entreprise „aryanisée“ pendant
la 2e Guerre Mondiale.

Photo: Edouard Kutter, © Photothèque de la Ville de Luxembourg.

Enfin. Neuf ans après l’initiative du député socialiste Ben Fayot de créer une commission d’étude sur la spoliation des biens juifs, celle-ci remet son rapport final au Premier ministre. Le parcours de cette commission est une histoire de pannes : difficultés au démarrage, retards et désistements parmi les historiens chargés des travaux, lenteurs lors du nettoyage du fond d’archives de l’Office des dommages de guerre, budgets insuffisants. mehr lesen / lire plus

ZEITGENÖSSISCHE MUSIK: Leitfunktion verloren

Karl Bartos war Mitglied der Elektro-Formation „Kraftwerk“, hat in seinem Leben aber nie aufgehört, über Musik und ihre Wirkung auf den Menschen nachzudenken.

Geht das Ganze eher gelassen an: Karl Bartos.

woxx: Herr Bartos, Sie haben in Ihrer Kindheit eine klassische Musikausbildung genossen; was hat Sie dazu angetrieben, sich den elektronischen Klängen zuzuwenden?

Karl Bartos: Also, zunächst einmal bevorzuge ich die Elektronik nicht. Das hat sich im Laufe meiner Biographie so entwickelt, zunächst einmal durch die 15 Jahre, während denen ich in der Band Kraftwerk gespielt habe. Aber auch vorher gab es Interesse meinerseits. Als Musiker habe ich mich vor allem in den 60er und 70er Jahren entwickelt, und diese Jahrzehnte – aber auch die 50er Jahre – waren geprägt von der Erschaffung und der Neuentwicklung der elektronischen Musik. mehr lesen / lire plus

METAL: Old meets new

Une fois de plus, la Rockhal semble vouloir devenir le nouveau Walhalla des métalleux, cette fois en réunissant sur une affiche deux générations du genre.

Le groupe le plus fou du moment a l’air bien calme… du moins devant la caméra.

Même si ce n’est pas pour la première fois qu’ils envahissent la scène de la Rockhal, ce concert de Sepultura risque d’être (encore) mieux perçu que celui d’avant, car cette fois les Brésiliens vont jouer dans le Club, la petite salle de la Rockhal donc, qui promet plus d’intimité. Pour celles et ceux qui ne connaissent de Sepultura que les logos sur les T-Shirts des métalleux, un petit rappel sur leur histoire souvent mouvementée s’impose. mehr lesen / lire plus

WOODY ALLEN: Cheveux blancs, humour noir

Avec son dernier film « Whatever Works », Woody Allen revient à sa chère ville de New York. Une oeuvre charmante, sans plus, mais un formidable numéro de Larry David, l’interprète principal.

Mais où sont donc passés les chefs-d’oeuvre du passé new-yorkais ?

Boris Yelnikoff est un sexagénaire excentrique, bougeon et misanthrope. Depuis sa tentative de suicide ratée, ce génie autoproclamé – à ses dires il aurait failli obtenir un prix Nobel de physique – partage ses journées entre les cours d’échecs qu’il prodigue à de jeunes sous-doués et les terrasses de son quartier, où il déverse quotidiennement le flot sarcastique de ses idées noires. mehr lesen / lire plus

PEINTURE/SCULPTURE: L’art d’arrêter le temps

L’exposition actuelle de la galerie Bernard Ceysson est un saut dans le passé pas si lointain – mais elle démontre combien l’art peut vieillir rapidement.

La galerie Bernard Ceysson est plus ou moins neuve à Luxembourg, ce qui ne l’empêche pas de montrer quelques artistes intéressants, comme le prouve l’exposition récente d’Yvn Messac. L’exposition du moment réunit les peintures d’Olivier Debré et les sculptures d’Etienne Hadju. Deux noms qui a priori n’évoquent pas grand chose, mais qui ont leur histoire à raconter.

Olivier Debré, le frère du ministre gaulliste Michel Debré, était un artiste peintre qui vécut entre 1920 et 1999. mehr lesen / lire plus

CONFLIT SOCIAL: La santé blessée

Le secteur des soins et des services d’aide est en plein conflit. Face à un changement de convention collective, les syndicats menacent de taper fort. Le tout sur fond de la question du financement de ce service public.

A l’issu du conflit social du secteur des soins et des services d’aides, le personnel redoute de se faire raser par le patronat…

Dix-huit. Un nombre qui est symbole d’épreuve de force. Lors de la conférence de presse tenue ce mardi par le syndicat santé, services sociaux et éducatifs (SSSE) de l’OGBL, le syndicat avait tenu à faire participer les représentant-e-s du personnel de chaque établissement. mehr lesen / lire plus