ULI EDEL: Gewaltige Bebilderung

„Der Baader Meinhof Komplex“ scheitert genau so wie die originale RAF an den Verhältnissen. Nur, dass es diesmal vorhersehbar war.

Ein bisschen rumballern reicht eben nicht aus um eine historische Debatte auszulösen.

Die über 20 Millionen teure Produktion, ein Polit-Drama mit sexy Terroristinnen und viel Ballerei um den Deutschen Herbst hat das Zeug zum Hollywoodstreifen. Mit einem gewissen Instinkt für polarisierende Themen nach „Der Untergang“, hat sich Produzent Bernd Eichinger auf das Buch von Ex-Spiegelredakteur Stefan Aust, „Der Baader Meinhof Komplex“ gestürzt. So erstaunt es nicht, dass der Spiegel nach Versuchen des Verleihs kritische Vorberichterstattung zu verhindern, Anfang September mit der großen Titelstory zum Film aufwartete. mehr lesen / lire plus

PHOTOGRAPHIES: On n’a que ce que l’on peut voir

« WYSIWYG – What You See Is What You Get », la nouvelle expo du CNA n’est pas thématique, mais axée sur nos modes de percevoir le monde qui nous entoure.

Pour une fois que ce n’est pas l’être humain qui se trouve au centre d’une exposition, le fait est remarquable. Les photos de Stephen Gill et de Thomas Demand, ainsi que la vidéo de Jonas Dahlberg, se réfèrent toutes à des lieux et les façons dont on peut les voir, sans toutefois mettre en scène des acteurs humains ou autres.

La démarche de Stephen Gill est peut-être celle qui reste la plus proche des hommes – et femmes – même s’il utilise un procédé teinté de situationnisme pour attirer l’attention du spectateur vers d’autres sphères. mehr lesen / lire plus

LANGUES: Un accident de l’histoire ?

En lançant une offensive pour la langue luxembourgeoise, le CSV s’avance dans un terrain miné, qu’il ne veut pas laisser aux tendances d’extrême-droite.

« L’identité luxembourgeoise est un accident de l’histoire », a déclaré François Biltgen en tant que président du comité national du CSV lors de la présentation de l’offensive, avant de se jeter dans une longue explication historique sur la construction de notre identité nationale. S’il est juste que le seul fait que ce pays existe a moins à voir avec une forte identité nationale qu’avec les aléas de l’histoire, il n’en demeure pas moins vrai que la langue luxembourgeoise en tant qu’élément fondateur d’une identité nationale présente quelques handicaps majeurs. mehr lesen / lire plus

RELIGION: Dieu n’est pas encore mort

Cette semaine était sacrément religieuse : deux conférences ont posé, à leur manière, le problème des religions et leur place à l’école et dans le monde. En plein 21e siècle.

Modernité ou pas, les religions et leurs ministres sont bel et bien toujours présents au sein de nos sociétés.

Dans notre Europe éclairée, la question religieuse continue à faire débat et a même tendance à surgir là où elle n’est pas forcément primordiale. Ainsi, ce mardi, une table ronde, organisée par le quotidien La Voix et le ministère de la famille et de l’intégration intitulée « La liberté de religion ou de conviction dans une société démocratique » a suivi une conférence, lundi, au Grand séminaire de Luxembourg donnée par le théologien autrichien Martin Jäggle de l’université de Vienne qui s’est interrogé sur les conflits autour de l’enseignement religieux. mehr lesen / lire plus

MUSIQUE CLASSIQUE: C(h)oeurs baroques

La musique de choeur baroque est à l’honneur du « Luxembourg Festival », sous la direction de Pierre Cao.

Pierre Cao, Arsys Bourgogne et l’ensemble Harmonie Universelle interpréteront quatre incontournables fresques sacrées de la musique baroque allemande et française des 17e et 18e siècles, à la Philharmonie dans le cadre du « Luxembourg Festival ».

On ne présente plus Pierre Cao. Rappelons simplement que ce passionné de la voix a eu son premier contact avec un choeur dès l’âge de 18 ans en dirigeant la chorale populaire des ouvriers de Dudelange. Depuis plus de 40 ans, le chef luxembourgeois parcourt l’Europe musicale en dirigeant choeurs et orchestres. mehr lesen / lire plus