Tanovic Danis: No Man’s Land

Le Cycle du cinéma des Balkans débute le 14 septembre avec „No Man’s Land“ de Danis Tanovic, film de guerre sous forme d’une comédie.

Photo: Thibaut Demeyer. Cannes 2001 Les deux soldats Ciki, le Bosniaque et Nino, le Serbe dans "No Man’s Land" de Danis Tanovic.

Accueilli dans la cour des grands au Festival de Cannes 2001 avec son premier long métrage „No Man’s Land“, le Bosniaque, naturalisé belge, Danis Tanovic a décroché le prix du meilleur scénario et enthousiasmé toute la presse internationale. Issu de l’école de cinéma de Sarajevo, Danis Tanovic a expliqué, lors de sa conférence de presse à Cannes, que lorsque le conflit a éclaté, un choix s’imposait: soit il quittait le pays, soit il restait pour se cacher, ou alors partir au front, armé d’une caméra pour réaliser des reportages. mehr lesen / lire plus

Face à Face: Arrêt sur image(s) sur un dialogue entre images

La Galerie d’Art de la Caisse d’Epargne de l’Etat propose avec l’exposition „face à face“ un „débat“ opposant des individus prônant des idées différentes.

"face à face", à la Galerie d’Art contemporain "Am Tunnel", encore jusqu’au 16 septembre 2001.

Face-à-face (nom masculin): débat, portant souvent sur un sujet politique, entre deux personnalités qui représentent des opinions, des milieux, des intérêts différents ou diver gents.(*)

Ainsi le dictionnaire définit l’un des synonymes de confrontation, d’opposition. Un débat opposant des individus prônant des idées différentes. Le „débat“ que propose actuellement la Galerie d’Art contemporain „Am Tunnel“ de la Banque et Caisse d’Epargne de l’Etat (BCEE) n’est certes pas – ou prou – politique, mais il est social, il est sensible, il est humain. mehr lesen / lire plus

Blasband Philippe: Mission accomplie au Luxembourg

Dans son premier long métrage, Philippe Blasband nous invitera dès avril 2002 à suivre le conte d’un méchant ordinaire: „Un honnête commerçant“ … de la drogue. WOXX s’est rendu sur les lieux du tournage.

On tourne! Concentration maximale pour le réalisateur Philippe Blasband.
Photo: Christian Mosar

„… et coupez!“ Terminés les corps à corps et les culbutes sur les matelas de la salle sportive de l’école primaire de Rodange, terminés les longs interrogatoires du suspect principal des meurtres Verkamen (Benoî t Verhaert) par l’inspecteur Denoote (Frédéric Bodson), terminée l’apparition fantôme de Monsieur Chevalier (Philippe Noiret), qui incarne le rôle du mentor ou du souffleur de mal. mehr lesen / lire plus

BENEDICT JAZZ FESTIVAL : Completorium cum swing

L’Oesling semble être une terre féconde pour le jazz, puisqu’on annonce la deuxième naissance d’un festival pour cette année. Après Wiltz au printemps, c’est au tour de Clervaux d’accueillir un festival d’été, bien plus modeste cependant.

(jitz) – L’appellation de ce festival peut induire en erreur: le „Benedict Jazz Festival“ n’aura pas lieu dans l’abbaye toute proche, mais dans l’enceinte du château de Clervaux. Peu de chances donc de voir un moinillon se déhancher au rythmes syncopés du jazz, si ce n’est qu’il viendrait en voisin visiter un concert dans la cour du château. Deux jours, six concerts, des formations luxembourgeoises et belges: la première édition de ce festival ne fait pas dans le gigantisme. mehr lesen / lire plus

Bausch Andy: Back in Luxemburg

Wer dieser Tage durch „Déifferdéng“ spaziert, könnte auf den Pionier der Luxemburger Filmgeschichte treffen: Andy Bausch dreht in der Minettstadt seinen neuen Film „Le club des chômeurs“.

Andy Bausch: „Ech erziele gär Geschichten, déi a mengem Land passéieren.“
Foto: Christian Mosar

Das Setting fürs Interview passt gut: Auf der improvisierten Terrasse eines Bistros in Differdingen schmeckt das kühle Bier nach einem anstrengenden Tag. Neben mir sitzt Andy Bausch, im altbekannten Look. Um uns herum der übliche Feierabendverkehr. Die Zeit läuft, denn die Filmcrew ist schon startbereit fürs Fußballtraining. Wie bitte? Klar, nicht um Tore, sondern um einige Bilder am Tatort zu schießen. mehr lesen / lire plus

Heumannskämper Franz-Josef: It’s moving, it’s alive

Franz-Josef Heumannskämper, der sich mit Produktionen wie „Schwimmen nach Kambodscha“ oder „Edda“ international einen Namen gemacht hat, ist mittlerweile ein Exponent des Luxemburger Theaters. Im Versuchslabor der Gebläsehalle auf Esch-Belval fand gestern die Premiere seiner „Frankenstein“-Inszenierung statt.

Franz Josef Heumannskämper: „Mich interessiert es, Fragen zu stellen und Emotionen zu wecken. Aber ich gehe nicht hin und sage, so ist das.“
Foto: Christian Mosar

Es ist heiß auf dem Gelände von Arbed-Belval. Im Innern der unglaublich riesigen Gebläsehalle, in der es nun schon dämmert, ist das Klima angenehmer. Franz-Josef Heumannskämper, der sich gerade auf eine der letzten Proben vorbereitet, kommt mir aus einem kleinen Nebenraum entgegen: ein drahtiger Mann von sachlicher Freundlichkeit, in T-Shirt, Karo-Hemd und Jeans. mehr lesen / lire plus

BRANCO CRISTINA: Fado iluminado

Le Festival de la guitare à Beckerich offre l’occasion de connaî tre le fado le plus pur, mais peut-être aussi le plus moderne.

Sans doute une des vedettes futures du fado:
Cristina Branco.

(roga) – Qui eût cru que depuis la mort d’Amalia Rodrigues, le fado, expression traditionnelle du sentiment de „saudade“ portugaise, n’aurait plus connu d’évolution ou de nouvelles étoiles, ni pris en compte les tendances récentes. Outre les lamentations quelque peu répétitives de „Madredeus“, l’on assiste à l’émergence d’un renouveau du fado plus ancré dans les traditions. Curieusement, ces nouveaux fadistes s’abstiennent en large mesure d’expérimentations par trop hardies, comme une électrification à outrance. mehr lesen / lire plus

Wiroth Dan: Kunst ist eine Waffe

Nach seinem Kurzfilm „Erè mèla mèla“ will der Regisseur und Objektanimateur Dan Wiroth sich künftig mehr dem Menschen widmen. Seine Kunst versteht er als Medium für kritische Botschaften.

Animiert gerne zu guter Laune und zum Nachdenken: Filmregisseur Dan Wiroth.
Foto: Christian Mosar

Ein Lied. Zwei Männer, die tanzen. Körperkontakt. Blicke treffen sich, verschmelzen. Stille, Stillstand. Schultern und Füße berühren sich zärtlich. Socken und Hosen krabbeln sehnsüchtig von einem Tänzer zum anderen und wieder zurück. Stopp. Hosen, die krabbeln?

„Ich suchte nach einem erotischen Ausdruck“, erklärt Dan Wiroth. Bild für Bild hat der Filmregisseur diese Szene aufgenommen. Die Tänzer durften sich dabei nicht bewegen. mehr lesen / lire plus

Forgiarini Tullio: Démolir en écrivant

Après ‚Miss Mona‘, Tullio Forgiarini vient de publier ‚La ballade de Lucienne Jourdain‘. Avec cette nouvelle, qui a été récompensée par une mention spéciale lors du dernier concours national de littérature et qui paraîtra ces jours-ci, il poursuit la piste du „roman noir“.

Dans sa première vie, Tullio Forgiarini, 34 ans, est prof d’histoire au lycée de Wiltz. Le besoin d’écrire l’a pris, il y a trois, quatre ans: „L’histoire, c’est quelque chose qui demande de l’exactitude et de la précision. Dans un roman noir par contre, on peut Äcrire n’importe quoi. Si on est paresseux comme moi, le choix est vite fait. mehr lesen / lire plus

Defdump: David Versus Corporate Society

„David Versus Corporate Society“ heißt die neue CD von Defdump; eine Metapher für den Kampf der Kleinen gegen die Großen. Release Party am 1. Juni in der Kulturfabrik.

HARDCORE

Die Luxemburger Hardcore Band Defdump wurde bereits im September 1993 gegründet und gehört zu den dienstältesten Bands des Landes, sieht sich dennoch nicht als Institution der nationalen Szene. Sänger Usel meint: „Wir sind in erster Linie vier Musiker und Freunde. Außerdem ist Luxemburg zu klein, um von Szenen sprechen zu können.“ Defdump weigern sich überhaupt, nur in nationalen Maßstäben zu denken und arbeiten seit einigen Jahren schon mit dem renommierten deutschen Hardcore-Produzenten Niko Poschke zusammen. mehr lesen / lire plus

Heirend Diane: Emancipation tranquille

Une architecte vue par une architecte. Le personnage d’Eileen Gray est devenu pour Diane Heirend une source d’énergie.

Les premiers livres sur Eileen Gray, Diane Heirend les a lus tout au début de ses études d’architecture: „C’était plutôt un hasard, on n’apprenait rien sur elle dans les cours. A son époque, elle était une avant-gardiste, qui n’a été soutenue que très peu. Eileen Gray me fascine, par sa finesse d’esprit, son intelligence du coeur et sa capacité de résistance. En fait, elle n’était pas d’un caractère très combatif, ce qui était plutôt une entrave à sa carrière. Depuis que je l’ai découverte, je me replonge souvent dans sa vie, dans son oeuvre: Pour moi, c’est devenu une source d’énergie.“ mehr lesen / lire plus

Kox Laurent: Histoire de vignes

Laurent Kox a très tôt aimé se retrouver parmi les arpents pentus au dessus de Remich et suivre le cycle des grappes de la vigne.

Avec un des ses frères il exploite le domaine Laurent et Benoî t Kox est le sixième des onze enfants de François et Elisabeth Kox-Risch. Lui et son frère Benoî t ont repris le domaine viticole qu’avaient commencé les parents. Elisabeth ne s’est pas intéressée à la viticulture, elle n’avait pas la tête à ça. Par contre, une fois les petits hors de ses jupes, elle s’est lancée dans la politique. En première ligne contre la construction du réacteur nucléaire à Remerschen. mehr lesen / lire plus

Schroeder Anne: Die Celluloid-Künstlerin

An der Brüsseler Filmschule erarbeitete sich Anne Schroeder das Fundament für ihre zukünftige Karriere im Filmgeschäft. In Luxemburg gehört sie seit fünf Jahren zu den raren „Monteuses“ des Landes. Das ist aber längst nicht ihr einziger Trumpf …

Anne Schroeder, fotografiert von Christian Mosar.

Es hat sich herumgesprochen, dass Anne Schroeder auch außerhalb des Schneide- bzw. Computerraums tätig ist. Verstärkt durch die eigene Firma „Cinéquasi“ produziert und ko-produziert sie, führt des öfteren auch selbst Regie.

Begonnen hatte alles vor vielen Jahren bei einem Stage über Filmmontage im CNA (Centre National de l’Audiovisuel). „Wéi ech bis de Montage entdeckt hun, dunn duecht ech, dat ass Ménges.“ mehr lesen / lire plus

Ley Sascha: Sich in den Dingen wiederfinden

Sascha Ley ist einen konsequenten Weg in der Theater- und Musikbranche gegangen. Die Autodidaktin zählt heute zu den beliebtesten KünstlerInnen auf luxemburgischen Bühnen.

Foto: Christian Mosar

Unzählige Frauenrollen verkörperte Sascha Ley auf einheimischen Bühnen und in Filmen – darunter sowohl fiktive Figuren aus der Literatur als auch legendäre Persönlichkeiten der politischen Vergangenheit. Da gab es zum Beispiel die Kameliendame, die Hetäre Megara, die Staatsfeindin Gudrun Ensslin oder Hitlers Geliebte Eva Braun: Gestalten aus dem Stück „Ungehaltene Reden ungehaltener Frauen“ (1998). Sascha Leys einfühlsame Darbietung der unterschiedlichen Personen begeisterte und überzeugte zugleich das Publikum. Im selben Jahr erlebte die Künstlerin einen weiteren sensationellen Erfolg mit ihrem Solo-Musical „Heute abend: Lola Blau“. mehr lesen / lire plus

Dimmer Michel: Künstler? Ich?

Als Multitalent könnte man „Dimmesch Misch“ durchaus bezeichnen. Oder als Graphiker im weitesten Sinne des Wortes. Auch im Verlag „ultimomondo“ ist er dabei – einfach mal so.

Foto: Christian Mosar

(rw) – Vom Frühling dringt an diesem hellen Sonntagnachmittag nichts in die verrauchte lärmende Atmosphäre des „Chiggeri“, das Michel Dimmer für unser Treffen ausgewählt aus. Und da ist er schon, der Mann Anfang Dreißig mit der Struwwelmähne und der Seventies-Cordjacke als Markenzeichen. Während ich mein Aufnahmegerät in Gang setze, dreht er sich eine Zigarette, klebt sie mit Präzision zusammen.

Neben Micheline Scheuren, Roger Manderscheid, Guy Rewenig und Paul Thiltges ist „Dimmesch Misch“ Mitgesellschafter beim neuen Luxemburger Verlag „ultimomondo“. mehr lesen / lire plus