ART VIDEO: „On ne concilie pas, on pratique“

C’est une initiative qui a connu une expansion exemplaire ces dernières années. Cette semaine encore, la Konschtkëscht a inauguré une nouvelle succursale à Saarbrücken. Entretien avec Jean Villemin, le responsable du projet.

A le réseau Koschtkëscht entre ses mains: Jean Villemin. (photo: woxx)

woxx: Comment est née l’idée de la Konschtkëscht?

Jean Villemin: On a inauguré la première Konschtkëscht dans la rue de l’Alzette à Esch en 2003, dans les facilités du Clic, l’Internetstuff de la ville d’Esch. C’était d’ailleurs la première du pays à l’époque, bien avant les mesures gouvernementales visant à installer des locaux internet un peu partout dans le pays. mehr lesen / lire plus

EXPOSITION: Un jeu d’enfants

L’exposition Roundabout est la première à avoir lieu dans les rotondes du cerf bleu. Le concept ludique est attrayant à première vue, mais peut aussi agacer le spectateur.

Parfois on doit aussi pouvoir choisir ses amis. (photo de la photo de Pasha Rafiy: Christian Mosar)

Désorientation. C’est la première sensation du spectateur en pénétrant la rotonde 2. Le sol est plein de petites choses, parsemées ci et là et le plafond est peuplé d’êtres fantastiques qui ont l’air de pouvoir s’écraser d’une minute à l’autre. Comme la voiture accidentée au milieu du hall, dont la partie arrière est suspendue en l’air avec des ballons. mehr lesen / lire plus

THEODOR BERGMANN: Kommunismus als Baustelle

Immer wieder engagiert, immer wieder voller Hoffnung, das charakterisiert Theodor Bergmann. Ein Dokumentarfilm über seinen Lebensweg lädt zum Nachdenken ein – über Vergangenheit und Zukunft des Kommunismus.

Wenn Theodor Bergmann spricht, wird die Vergangenheit lebendig.

Dieser Film ist die Zusammenfassung dessen, was ich erlebt habe, was ich gelernt habe aus den Katastrophen des vergangenen Jahrhunderts und was ich den jungen Menschen gerne weitergeben möchte an Erfahrungen.

Theodor Bergmann, 90 Jahre alt, ist zufrieden mit dem Ergebnis. Für „Dann fangen wir von vorne an“ hat das Filmteam mit ihm die Orte bereist, an die seine Erinnerungen anknüpfen: seine Kindheit als Sohn eines Rabbiners und seine Jugend als atheistischer Kommunist im Berlin der Weimarer Republik, sein Exil in Palästina, der Tschechoslowakei und Schweden, seine Rückkehr 1946 in die Bundesrepublik und sein fortdauerndes Engagement in der deutschen Linken. mehr lesen / lire plus

LUXEMBOURG 2007: Le grand bond

L’année culturelle vient donc de commencer, avec les premiers brames du cerf bleu au-dessus de Luxembourg-Ville. Pourtant, rien n’assure qu’il restera autre chose que quelques crottes de biche en 2008.

Le monsieur sur la photo a fait un grand bond. Mais ça ne veut pas forcément dire que ça marche à tous les coups. (montage: woxx)

Mais commençons par le début: 1995. Cette première année culturelle a été pour beaucoup de monde – aussi bien pour le public intéressé que pour les actifs sur le terrain – le point de départ d’une nouvelle ère culturelle au Grand-Duché. Si avant 1995, le Luxembourg n’était qu’un désert culturel, n’ayant pas grand chose à montrer à l’exception de sculptures importées par les banques et placées sur les parvis de celles-ci, cette première expérience tient lieu d'“année zéro“ pour l’essor de la culture „made in Luxembourg“. mehr lesen / lire plus

ZEITREISEN: Einmal Utopia und zurück

Schön anzusehen und weit weg, das zeichnet Utopien aus. Eine Zeitmaschine ermöglicht es, die besseren Welten aus der Nähe zu betrachten.

Was ist das Besondere an Zeitreisen? Anders gefragt: Sind nicht die meisten Science-Fiction-Geschichten Zeitreisen in dem Sinne, dass sie die LeserInnen in eine mehr oder weniger ferne Zukunft entführen? Doch wenn eine Zeitmaschine zur Verfügung steht, mit der man in die Zukunft und wieder zurück reisen kann, tun sich neue Möglichkeiten auf. Eine Romangestalt, die mit eigenen Augen gesehen hat, wie der Versuch, eine politische Utopie umzusetzen, in eine Sackgasse führt, wird bei ihrer Rückkehr versucht sein, der Geschichte ins Rad zu greifen. mehr lesen / lire plus

ART: Eh, poupée!

Que l’art se produit désormais hors des musées est chose acquise. Mais s’il s’introduit dans votre quotidien de façon inattendue, cela reste toujours une surprise.

Etrange mélange de plastique et de corset un peu démodé: le costume d’Isabelle Henrion se veut avant tout un point d’interrogation dans la vie de tous les jours.

La dame est encore en train d’expliquer à son accompagnatrice qu’elle a dû utiliser de la bande adhésive pour réparer l’écouteur de son téléphone pourtant flambant neuf. Mais en voyant la bouche bée de celle-ci – et ne croyant pas son histoire tellement choquante – elle tourne la tête, pour largement ouvrir sa bouche à son tour. mehr lesen / lire plus

ART: Le vague en vogue

Dans le contexte assez flou de l’année culturelle qui nous attend encore, le woxx préfère présenter en détail un projet laissé dans l’incertitude, à renflouer la vague qui entoure le programme officiel présenté cette semaine.

Visages vides à remplir soi-même. „Ni vu ni connu“ mise avant tout sur la participation du „consommateur“ d’art.
Illustration: Marianne Grisse.

„Ni vu ni connu“ – pour une fois qu’un titre traduit à merveille le concept qui se cache derrière le projet, sans pour autant révéler toute la substance de son contenu. „C’est vrai que nous ciblons plutôt un public qui est prêt à se laisser surprendre“, explique Carole Lorang, la responsable artistique du projet. mehr lesen / lire plus

LITERATUR: Dreimal Reisen

Der Schriftsteller Georges Hausemer hat soeben seinen Band mit Reisegeschichten „Und abends ein Giraffenbier“ veröffentlicht. Es handelt sich um Stücke die in den letzten zehn Jahren in verschiedenen Zeitungen erschienen sind.

In klassischer aber politisch unkorrekter Schriftstellerpose: Georges Hausemer. (Foto: woxx)

woxx: Wie kommt man dazu, Reisegeschichten zu verfassen?

Georges Hausemer: Als ich noch ein kleiner Junge war, saß ich oft vor dem Globus und habe mir all die Kontinente mit den komischen Ländern und Städten angesehen. Aber als junger Mensch hat man eben nicht die Mittel so weit zu reisen. Im Grunde sind meine längeren Reisen auch erst zehn Jahre her. mehr lesen / lire plus

KULTURFABRIK: Culture dans l’étau

Ces derniers temps, quand on parle Kulturfabrik, on parle crise. C’est loin d’être nouveau pour cet établissement. Pourtant les choses ne devraient pas en être forcément
à ce point.

Le temps des pionniers est bien passé, pourtant les problèmes sont restés (presque) les mêmes. (photo: Centenaire Esch)

„Chaque révolution s’évapore en laissant derrière elle une nouvelle bureaucratie“, écrivait Kafka. Ce qui est vrai pour les grands événements du vingtième siècle, est aussi vérifiable à un niveau plus modeste, comme le montre l’exemple de la Kulturfabrik à Esch, qui après quelques années pendant lesquelles on aurait presque oublié les débuts précaires du projet, est à nouveau menacée. mehr lesen / lire plus

AFRIQUE: Changement de registre

Aminata Traoré est synonyme d’un nouveau combat, pour une nouvelle Afrique. Mais aussi pour un changement de mentalité en Occident.

Lors de sa conférence la semaine dernière à l’abbaye de Neumünster, Aminata Traoré opte pour un changement radical de la vision des problèmes Nord-Sud. (photo: woxx)

Il fait noir dans le bureau de Lux-Development où a lieu cette rencontre. Le bureau est sophistiqué, les murs sont jonchés de panels en bois, il y a une grande table et un grand bureau et partout où on porte son regard, on peut voir des statuettes et des masques africaines sur les petits retables ou rangés sur les étagères. mehr lesen / lire plus

LUXEMBURG 2007: Erleben statt Erziehen

Eine bisher wenig bekannte Komponente des Kulturjahres 2007 ist das Kinder- und Jugendprogramm, obwohl es neben der Großregion zu den Prioritäten gehört. Was es damit auf sich hat, erklärt Laura Graser, die Verantwortliche des Programms.

Alles für die Jugend: Laura Graser in der (fast) fertiggestellten Rotonde. (Foto: woxx)

woxx: Warum braucht das Kulturjahr ein Jugendprogramm?

Laura Graser: Ich würde nicht behaupten, dass es sich um ein getrenntes Programm handelt. Es ist eher so, dass das Kinder- und Jugendprogramm einer der Schwerpunkte des Kulturjahres ist. Das heißt, neben der grenzüberschreitenden Arbeit, die von Anfang an eine der Prioritäten des Kulturjahres war, liegt der Akzent auf der Jugendarbeit. mehr lesen / lire plus

MEDIEN: „Selbstausbeutung erhält die Zeitung am Leben“

Bascha Mika engagiert sich seit 1998 als
bisher dienstälteste Chefredakteurin bei der „taz“. Sie berichtet über die Schwierigkeiten ihres Berliner Blattes, über Pressefreiheit und unterbezahlte Praktikas.

Bascha Mika im Chefsessel der „taz“, ist in dieser Funktion als Frau eine Ausnahmeerscheinung am deutschen Journalistenhimmel. (Foto: Anja Weber)

woxx: Die Berliner Tageszeitung oder „taz“ ist am 17. April 1979 erstmals erschienen. Schon damals rechneten die Macher dem Blatt keine gute Überlebenschancen aus. Heute ist Berlin pleite, die Konkurrenz um Fördergelder und Leser ist groß – wie steht es um die „taz“?

Bascha Mika: Als überregionale Tageszeitung sind wir nicht nur auf den Berliner Markt angewiesen und es geht uns verhältnismäßig gut. mehr lesen / lire plus

MOIS EUROPEEN DE LA PHOTOGRAPHIE: Wechselbilder

Der europäische Monat der Fotographie erreicht nun endlich auch Luxemburg. In einem internationalen Austausch wird der Dialog in der Bildersprache geübt.

Ob unter Wasser oder aus dem Film: Fotografie im Jahre 2006 kann mehr sein als nur die Kunst der schönen Momentaufnahme. (Fotos: www.cafecreme-art.lu

Zum ersten Mal findet in diesem Herbst in Luxemburg der „Mois européen de la photographie“ (European Month of Photograpy, EMOP) statt. Die Monate Oktober und November werden dem europäischen Austausch von Kunst und Künstlern gewidmet sein. Das Festival, das gleichzeitig in 15 Galerien stattfindet, umfasst mittlerweile sieben Städte und kann als wachsendes Kulturnetzwerk angesehen werden. Im Rahmen des EMOP findet auch die Ausstellung „Mutations 1“ statt, in der sieben ausgewählte Künstler aus den Partnerstädten des EMOP ihre Werke präsentieren. mehr lesen / lire plus

FOTOGRAFIE: Die permanente Auflehnung

Noch bis zum 11. November stellt die Galerie Salzinsel in der Escher Kulturfabrik in Zusammenarbeit mit der woxx Porträts von Frauen im Gefängnis aus. Ein Interview mit der Künstlerin Eva Haule.

Widerstand gegen den Wahn, alles auszulöschen, was über die kapitalistische Ordnung hinausweist: die Fotografin Eva Haule. (Foto: Selbstporträt)

woxx: Sie haben erst im Knast mit dem Fotografieren begonnen. Inwiefern hat das Fotografieren Ihre Wahrnehmung verändert?

Eva Haule: Meine Wahrnehmung hat sich nicht verändert. Ich bin durch den Knast kein anderer Mensch geworden. Das Fotografieren ist nur ein neues und zusätzliches Mittel für mich, das ich hoffentlich nutzen kann bei dem, was mir immer noch das Wichtigste ist: die gesellschaftlichen Verhältnisse umwälzen. mehr lesen / lire plus

KUNST IM ÖFFENTLICHEN RAUM: Neu deuten

Danièle Wagener ist die Vize-Präsidentin der Association Internationale des Critiques d’Art – Luxembourg (Aica) und Direktorin des Geschichtsmuseums. Sie erklärt warum Kunst in der Öffentlichkeit mehr sein sollte als nur Dekoration.

Kunst als Gesamtkonzept für den öffentlichen Raum: So stellt sich Danièle Wagener die Zukunft der Stadtplanung vor.

(Foto: Christian Mosar)

woxx: Welche Bedeutung hat Kunst im öffentlichen Raum?

Danièle Wagener: Kunst ist im großen Ganzen wichtig für mich. In allen Räumen, für jeden Mensch und in jeder Situation. Kunst im öffentlichen Raum ist deshalb noch wichtiger, weil jeder ihr begegnen kann. Museen sind geschlossene Räume, in die auch nicht jeder eindringen kann oder will. mehr lesen / lire plus

LUXEMBOURG 2007: Pas que des vampires …

Luxembourg, la Grande Région et Sibiu: des partenaires à première vue dissemblables. Pourtant, si on y regarde bien, des points communs émergent.

En pleine restauration: la cour intérieure du Brukenthal Museum à Sibiu. (photo: woxx)

Le visiteur qui, en flânant sur la grande place de Sibiu-Hermannstadt, s’éprend de la beauté des vieilles maisons saxonnes fraîchement restaurées, de leurs toits d’où émergent les „yeux“ de Sibiu – des lucarnes spéciales sensées veiller sur la ville – ne perd rien en regardant de temps en temps par terre. Car les plaques d’égoût flambant neuves possèdent aussi leur attrait. Y sont gravés non seulement les deux épées qui forment le sceau de la ville, mais aussi une date: 2007. mehr lesen / lire plus

MUSIQUE: L’alternative des alternatives

Panoplie est une jeune association qui, en peu de temps, a fait bouger beaucoup de choses dans le monde musical local. Armée d’une forte conviction et d’un souci esthétique reconnaissable, elle a vite réussi à imposer sa marque.

(Illustration: Muriel Moritz)

Selon le Petit Robert, panoplie veut dire: „1. Ensemble d’armes présenté sur un panneau et servant de trophée, d’ornement. Ensemble d’acessoires, série de moyens.
2. Jouet d’enfant, comprenant un déguisement (vêtements et instruments) présenté sur un carton.“ Pour Robert Weis, „panoplie“ est surtout la réalisation de ses désirs. Ce jeune homme de 26 ans est mordu de musique. Mais contrairement à ces acolytes du même âge que lui, qui se restreignent le plus souvent au rôle de simples consommateurs, Robert Weis a choisi de devenir actif. mehr lesen / lire plus

THEATRE: Bien cadré

Le départ de la saison des théâtres offre un avant-goût de ce que sera en partie l’année culturelle 2007.

Les salles ne seront peut-être pas vides cette saison. N’empêche qu’elles ne verront rien d’innovatif. (photo:www.eu2005.lu)

En relisant des vieux journaux de 1995, on se rend bien compte que la dernière année culturelle a eu lieu au siècle passé. Si au cours de cette première année où le Luxembourg fût capitale européenne de la culture, les éditorialistes s’attaquaient plutôt à une programmation des plus élitaires et calquée sur les grands spectacles, la saison théâtrale à venir offre entre autres des petits joyaux bien plus originaux. mehr lesen / lire plus

LUXEMBOURG 2007: Des ressources, des besoins

Parmi les „highlights“ de l’année culturelle 2007 figure l’exposition „All we need is…“, qui illustrera les problèmes des ressources planétaires. Rencontre avec
Mike Mathias, un des initiateurs du projet.

„All we need is…“ , une expostion sur les besoins et les ressources humaines, selon Mike Mathias.

Il faut obliquer vers la droite à la fin du corridor étroit à l’étage occupé par le Cercle de coopération, qui, dans ce bâtiment mi-postmoderne, mi-archaïque situé dans un des meilleurs quartiers de la capitale, regroupe les ONG luxembourgeoises engagées dans le développement. Dans les couloirs règne le multiculturalisme devenu réalité, enclavé certes, mais présent dans les gestes et les tons des voix de ceux qu’on peut y croiser. mehr lesen / lire plus

LITERATURFESTIVAL: Gratwanderung zwischen Küblböck und Kertész

Hochkarätiges liegt in der Landluft: Nach einigen Streitigkeiten hat sich das Eifel-Literatur-Festival inzwischen zu einer der bedeutendsten Autorenveranstaltungen in Deutschland gemausert.

Bruder eines bekannten Sängers, Experte für Rückenschmerzen und Autor: Dietrich Grönemeyer liest am 27. Oktober in Wittlich.

Alice Schwarzer kommt. Senta Berger auch. Und Peter Scholl-Latour. Martin Walser jedoch nicht. Der schreibt derzeit an seinem neuen Buch und will dabei nicht gestört werden. Doch wenn er es fertig hat, kommt er bestimmt. Wer schon zwei Mal dabei war, ist es sicher auch ein drittes Mal – nur eben nicht dieses Mal. Dafür aber Professor Dietrich Grönemeyer, Bruder eines bekannten deutschen Musikers, Vater der Mikrochirurgie und „Man of the Year“ (2000) in den USA. mehr lesen / lire plus