ROBERT ALTMAN: A Prairie Home Companion

Mit liebenswert-witzigen Figuren präsentiert Robert Altman die Country-Musik die mehr und mehr der Vergangenheit angehört und das nicht nur wie hier in Radioshows. Die Musik wie auch der Film handeln von Leben, Trauer, Liebe, Tod und Vergänglichkeit und wie das alles mit Humor und Liedern überstanden werden kann. Liebhabern des Musikfilmgenres auf jeden Fall zu empfehlen.

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HANS-CHRISTIAN SCHMID: Requiem

Schlicht und empfindsam spielt Sandra Hüller, die an ihrer Krankheit, ihrer erzkatholischen Familie und an abstrusen Glaubensvorbildern verzweifelnde Michaela. Auch der Schwung der neuerworbenen gesellschaftlichen Freiheiten der siebziger Jahre kann sie nicht aus ihren Zwängen locken, sie bevorzugt es eine Heilige zu werden. Ein gelungenes Werk mit einer herausragenden Hauptdarstellerin.

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NICOLE HOLOFCENER: Friends with Money

Der neue Streifen von Nicole Holofcener ist unprätentiös, aber unterhaltsam: Befreundete Paare mit jeweils eigenen Schrullen klatschen und trösten sich gegenseitig über das tägliche Einerlei hinweg. Dabei setzt die Geschichte gut in Szene, dass Geld eben nicht alles ist. Insgesamt ein Film während dem man Spaß hat – den man aber auch schnell wieder vergessen kann.

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PASCAL BONITZER: Je pense à vous

Les bobos parisiens s’y reconnaîtront. Les autres seront agacés. Décidément, le cinéma français est encore capable de pondre des vaudevilles où s’entremêlent et se déchirent les égocentrismes amoureux de nombrils du monde urbains et névrosés. Malgré celà, Bonitzer excelle dans sa manière de raconter des histoires de cul sans importance et les interprètes se fondent à merveille dans leurs rôles de têtes à claques de Saint-Germain.

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MARTIN CAMPBELL: Casino Royale

Bond alias Daniel Craig erscheint in dem neuen Streifen von Martin Campbell als unverwüstliche Killermaschine, dem auch die Zubereitungsart des Martinis unwichtig wird. Andererseits entwickelt der Neue erstmals monogame Tendenzen, sogar ein „Ich liebe dich“ kommt ihm über die Lippen. Bevor es jedoch zu Bond-inies kommt, rafft ein Untergang in Titanic-Manier die Auserkorene dahin. Letztlich rettet nur noch das Pokerspielen im Casino den typischen 007-Esprit.

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ALEJANDRO GONZALEZ INNARITU: Babel

Après „Amores perros“ et „21 Grams“, Alejandro Gonzalez Iñárritu signe à nouveau un film poignant, plaçant le côté tragique de chaque vie individuelle dans un contexte global. Comme d’habitude chez le réalisateur mexicain, coups de tête et fausses décisions riment avec désastres et catastrophes personnelles, faisant tordre nos estomacs mieux que tout film à suspense. Mais comme le suggère le titre, „Babel“ est aussi une leçon en communication humaine.

À la Cinémathèque.
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JONATHAN DAYTON: Little Miss Sunshine

Le cinéma indépendant américain se porte bien. Little Miss Sunshine est la preuve qu’il existe quelque chose au-delà de l’héroïsme et de la propagande. C’est introspectif, tragique et drôle en même temps. Un de ces films qui donne chaud au coeur, sans pourtant tomber dans le sentimentalisme.

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WOODY ALLEN: Scoop

Woody Allens neue Filme sind selten wirklich überraschend: Die Konstellationen der Figuren sowie die Mätzchen und Manierismen des „Stadtneurotikers“ sind typisch. Trotzdem ist ihm mit „Scoop“ wieder ein rundes unterhaltsames Werk gelungen. Eine Komödie, die weniger existenzialistisch und zynisch ist als etwa sein letzter Streifen „Match Point“.

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JJ FIELD / SAÏD TAGHMAOUI: O Jérusalem

In diesem langweiligen Streifen stolpern JJ Field und Saïd Taghmaoui durch den israelischen Unabhängigkeitskrieg, der zur kitschigen Staffage für ein nicht enden wollendes Rührstück gerät. Wer sich einen historisch oder aufklärerisch pointierten Film erwartet, wird ebenso enttäuscht wie die Freunde des Popcornkinos. mehr lesen / lire plus

NING HAO: Mongolian Ping Pong

Ein Tischtennisball wird vom Flusswasser bis in die Einöde der Mongolischen Grassteppe angeschwemmt. Er beschäftigt fortan nicht nur die Fantasie eines kleinen Jungen, sondern wird auch zum Symbol für „zivilisatorische“ Güter und Müll, die bis in die letzten Ecken der Erde vordringen. Ein sehenswerter Film, der vor dem Hintergrund imposanter Landschaftsaufnahmen, auch die Veränderungen traditioneller nomadischer Lebensformen aus dem Blickwinkel von Kindern behandelt.

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POL CRUCHTEN: Perl oder Pica

Pol Cruchtens Romanverfilmung ist kein Meisterwerk, aber ein ansprechender, etwas nostalgischer Rückblick auf das Luxemburg der sechziger Jahre – und nach Produktionen à la Andy Bausch ein qualitativer Sprung. Schade, dass einige Nebenrollen mit Theaterschauspielern besetzt wurden, denen der Wechsel von der Bühne zum Filmset nicht wirklich gelingt.

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DAVID SLADE: Hard Candy

Deux dérangés dans un huis clos dérangeant. Jusqu’à la dernière minute, „Hard Candy“ tient le spectateur en haleine, lui faisant partager l’angoisse éprouvée par un homme soupçonné de pédophilie et maltraité par une jeune fille vindicatrice. David Slade s’amuse tout au long de son film à brouiller nos repères. C’est efficace. Mais l’on se demande parfois si l’intention de l’oeuvre n’est pas aussi malsaine que le duo mis en scène.

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MICHEL GONDRY: The Science of Sleep

Michel Gondry, réalisateur de vidéoclips pour Björk, Daft Punk et autres, reste unique avec sa nouvelle oeuvre cinématographique „The Science of Sleep“. Ce film non-conformiste et mythique, fait penser aux films d’animation tchèques des années 60 et persuade par son originalité, mais reste dépourvu de contenu. mehr lesen / lire plus

LIONEL DELPLANQUE: Président

Un jeune président de la République est tiraillé entre son idéalisme et son goût du pouvoir. L’idée est bonne, mais le scénario brouillon et la platitude de certaines répliques font de „Président“ un Macbeth bas de gamme. Seul l’excellent Albert Dupontel, avec son jeu de psychotique charismatique au regard sévère, impressionne parfois.

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GABY DELALL: On a clear day

Lavierend zwischen Ernsthaftigkeit und Komik, gewinnt dieses britische Sozialdrama kein rechtes Profil: Themen wie Arbeitslosigkeit oder persönliche Traumata werden zu melodramatisch dargestellt, die Charaktere der Darsteller sind überzeichnet. Auch das machohafte Gehabe des Haupthelden, gespielt von Peter Mullan, provoziert eher Antipathie als wirkliche Teilnahme.

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ANDY BAUSCH: Deepfrozen

Frustrations et produits congelés. Andy Bausch a ré-engagé une bonne partie du „Club des Chômeurs“ pour mettre en scène un état des lieux assez particulier de la Moselle luxembourgeoise. Seul intérêt du film: l’interprétation sympathique de Peter Lohmeyer qui compense l’affectation quelque peu déplacée de Madame Caven.

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EMIR KUSTURICA: Le temps des gitans

Loin des clichés romantiques, le film de Kusturica est une peinture assez crue de la réalité qu’endurent les gitans. Pourtant, le génie du metteur en scène perce déjà: en introduisant des scènes décapantes pleines de magie et d’humour, il évite de tomber dans le manichéisme ou dans les jugements moraux.

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NICOLE GARCIA: Selon Charlie

Les hommes sont des êtres sensibles et complexes. Nicole Garcia a réussi à capter cette évidence durant deux heures qui ne sont jamais trop longues. Les notes d’humour dosées à la perfection dans des destins sérieux comme la vie, donnent à ce film une profondeur humaine d’une grande sincérité. Quant à l’interprétation, vu l’affiche, il eût été difficile d’imaginer qu’elle puisse décevoir.
Au contraire!

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FLORENCE MONCORGE-GABIN: Le passager de l’été

Le premier long métrage de Florence Moncorgé- Gabin, développé comme un roman, est une histoire simple, classique où les personnages ne disent rien d’eux mais où tout est entre les lignes. L’espace d’un été, ils vont vivre un tournant dans leur vie monotone. C’est un film doux et lent, qui bénéficie d’un bon casting – ainsi Catherine Frot est excellente dans son rôle d’une femme forte et austère.

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STEPHAN ELLIOTT: Priscilla, Queen of the Desert

Drag queens from down under: Ce road movie délirant permet de découvrir l’outback australien et l’acteur Hugo Weaving qui a fait carrière depuis dans la trilogie Matrix. Autre surprise: Terence Stamp dans le rôle inattendu d’un travesti vieillissant qu’il interprète avec un mélange hallucinant de dérision et de dignité.

A la Cinémathèque le 18 août. mehr lesen / lire plus