La première partie de l’analyse de la conférence climatique de Bonn est consacrée aux initiatives politiques encourageantes et aux constats scientifiques désespérants.
Ç’aurait pu être pire. Il n’y a pas eu de gros couac lors de la COP23, la 23e conférence des parties – des parties contractantes de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, adoptée en 1992. Il y a deux ans, la conférence de Paris et l’accord qu’on y avait conclu étaient considérés comme une bouffée d’espoir ; l’an dernier, la conférence de Marrakech était placée sous le signe de l’élection de Donald Trump – qui a entre-temps tenu sa promesse d’entamer le retrait des États-Unis de l’accord de Paris. mehr lesen / lire plus