JEAN-FRANCOIS POUILOT: La grande séduction

Die Komödie von Jean-François Pouliot bietet vor allem und zuerst beste Kinounterhaltung, garniert mit Sozialkritik. Außerdem enthält sie das, was vielen Filmen in den vergangenen Jahren fehlte und was ihr einen eigentümlich skurrilen Touch verleiht: Lokalkolorit.

Im Utopia mehr lesen / lire plus

MICHAEL SCHORR: Schultze Gets the Blues

Mit bewegungsloser Kamera fängt Dokumentarfilmer Michael Schorr in seinem ersten Spielfilm die kleinen Momente eines Frührentnerlebens ein. Ein humorvolles Roadmovie der besonderen Art, dem auch der etwas langatmige Einstieg nicht wirklich schadet. Für GenießerInnen!

Im Utopia mehr lesen / lire plus

DAVID KOEPP: Secret Window

Das Trauma beginnt, als ein Schriftsteller (Johnny Depp) seine Frau mit einem anderen im Bett erwischt. Es folgen die vielleicht längsten Selbstgespräche der Filmgeschichte. Die Stephen King-Verfilmung „Secret Window“ ist ein psychologischer Thriller, der nur am Ende schockt: Johnny Depp hat plötzlich die Haare gekämmt und seinen abgewetzten Bademantel gegen eine gepflegte Garderobe ausgetauscht.

Im Utopolis mehr lesen / lire plus

JEAN-JACQUES ARNAUD: Deux frères

„Was für ein Blick!“ und „Oh wie süß!“ dürfte den meisten beim Anblick der zwei Hauptfiguren in Jean-Jacques Annauds neuestem Film „Deux frères“ in den Sinn kommen. 20 halbwegs zahme Zirkustiger und eine exzellente Kameraführung machen dieses Märchen um zwei gestreifte Brüder möglich, die – zunächst vom Schicksal getrennt – sich eines Tages in einer Arena gegenüberstehen.

Im Utopolis mehr lesen / lire plus

FREDERIC SCHOENDOERFFER: Agents secrets

Der Film hält nicht was er zumindest am Anfang verspricht. Indem er unter anderem mehr die Arbeitsweise der Agenten beschreibt als die eigentliche Story in den Vordergrund stellt, versucht Regisseur Frédéric Schoendoerffer dem Agentenfilm-Genre etwas Neues abzugewinnen. Doch bis auf einzelne Passagen glückt ihm dieser Wiederbelebungsversuch nicht. Und das Glamour-Duo Vincent Cassel und
Monika Belucci bleibt zudem im Bereich seiner – begrenzten – schauspielerischen Möglichkeiten.

Im Utopolis

Stefan Kunzmann mehr lesen / lire plus

CHRISTOPHE BARRATIER: Les choristes

Mine de rien, ce petit film sur un internat de garçons des années 40 réussit ce que, ces derniers temps, d’autres projets plus prétentieux ont tendance à rater: il donne chaud au coeur sans succomber à une fadeur sucrée genre Hollywood. Le scénario sans extravagances et le jeu subtil des acteurs, aussi bien adultes qu’adolescents, y sont certainement pour quelque chose.

A l’Utopolis mehr lesen / lire plus

ISABEL COIXET: My Life Without Me

Die junge todkranke Ann holt bisher Versäumtes nach und probiert Dinge, die sie zuvor nicht wagte. Die Regisseurin Isabel Coixet vermeidet in ihrem Film Weinerlichkeit und Gefühlskitsch. Sarah Polley spielt die Hauptfigur nuancenreich und glaubhaft, und auch die Nebenrollen sind ideal besetzt. Ein ernstes Thema, aber kein trauriger Film.

Im Utopia mehr lesen / lire plus

PATRICE LECONTE: Confidences trop intimes

L’idée était séduisante: une femme en mal d’amour confond la porte d’un psychanalyste avec celle d’un conseiller fiscal. Mais la dernière production de Patrice Leconte, indécidée entre comédie et analyse psychologique, ne réussit ni à nous faire rire, ni à livrer une description plus profonde et touchante des deux figures centrales. Quant à Sandrine Bonnaire et surtout Fabrice Lucchini, ils créent plutôt la caricature d’une ambiance intimiste.

A l’Utopia mehr lesen / lire plus

GUS VAN SANT: 5. Transculturelles gays et lesbiennes

Gus Van Sant Fans kommen diese Woche voll auf ihre Kosten: Gleich vier frühe Filme des schwulen US-amerikanischen Regisseurs sind bei den 5. Transculturelles gays et lesbiennes zu sehen. Mittlerweile längst als Mainstream-Filmmacher in Hollywood etabliert, hat sich Gus Van Sant einen ersten Namen vor allem mit Independent-Produktionen gemacht. Im Visier: Gesellschaftliche Außenseiter wie Stricher (My Private Idaho), Junkies (Drugstore Cowboy) oder starke Frauen (Even Cowgirls Get the Blues) auf der Suche nach der ambivalenten Liebe – die keineswegs immer homosexuell sein muss -, Geborgenheit und anarchistischer Freiheit.

In der Cinémathèque mehr lesen / lire plus

ALASTAIR FOTHERGILL: La Planète Bleue

Etonnant voyage au coeur de l’infinie richesse du monde marin, „La Planète Bleue“ nous invite à découvrir un univers étonnant, en passant de la naissance des crabes à la lutte des bancs de sardines contre les prédateurs de la mer et des airs, aux jeux cruels des orques, aux ballets des dauphins … Voilà un document généraliste aux images superbes, mais sans autre prétention.

A l’Utopia. mehr lesen / lire plus

ROBERT ALTMANN: The Company

Tourné en vidéo haute définition, la dernière œuvre de Robert Altman déroutera plus d’un admirateur. C’est que le maître se coltine à un tout nouveau registre, entre le documentaire et la fiction… et sans message particulier. Si ce n’est un hommage à la beauté et à la grâce. À défaut de ravir les amateurs de cynisme « intelligent », ce portrait d’une troupe de danse ravira les esthètes, qui ne le sont moins.

À la Cinémathèque. mehr lesen / lire plus

JOHN WOO: Paycheck

High-Tech-Ingenieur Jennings kennt keine Skrupel. Für Lohnschecks in Millionenhöhe nimmt er auch in Kauf, drei Jahre seines Lebens der Firma zu widmen und diese Zeit anschließend aus seinem Gedächtnis auszuradieren. Spannender Rätselthriller für Science-Fiction-Tüftler, wenn auch das inhaltliche Potenzial an einigen Stellen im schwarzen Loch der Erinnerungen versinkt. Zudem ist der Plot bekannt. Nur dass Tom Cruise in Minority Report eine bessere Figur abgegeben hat als Ben Affleck.

Im Utopolis (Luxemburg) und im Prabbelli (Wiltz) mehr lesen / lire plus

JULI A ROBERTS: Mona Lisa Smile

Zugegeben, lächeln kann ihr Erdbeermund. Aber als emanzipierte Lehrerin an der Mädchen- Elitehochschule Wellesley unter lauter betuchten Streberinnen taugt Julia Roberts nicht. Im Gegenteil, die Freiheit, die sie ihren Schülerinnen verspricht, bleibt oberflächlich, also typisch hollywoodesk: Das Frauenideal der 50er Jahre will Miss Perfect umformen in aalglatte, makellose Karriereschnepfen – feministisch ist das nicht.

Im Utopolis mehr lesen / lire plus

PIERRE SALVADORI: Après vous

Pierre Salvadori revient en beauté avec ce premier long-métrage depuis trois ans, réunissant Daniel Auteuil, au sommet de son art, et José Garcia, en réplique parfaite. Campant deux personnages fragiles, pris au piège dans une situation contraignante qui pourtant les unit, ils poussent le spectateur à la réflection comme au fou rire, sans transition. Pourtant, le tout est d’un équilibre remarquable.

A l’Utopolis mehr lesen / lire plus

ANNE FONTAINE: Nathalie

Bien que le film d’Anne Fontaine n’aille pas vraiment au fond des choses, c’est une réflexion intéressante sur l’obsession amoureuse et les chemins compliqués de la sexualité. Une mise en scène subtile de cette histoire sur un couple en dérive et le jeu d’une Fanny Ardant sublime y ajoutent sensibilité et un zeste de mélancolie.

A l’Utopia mehr lesen / lire plus

DAVID ZUCKER: Scary Movie 3

L’idée de se fendre la gueule aux frais d’Hollywood est séduisante. Quant à l’affiche de ce film, elle promet à la fois le meilleur et le pire … c’est tout ou rien. Hélas, l’expérience de David Zucker („Y a-t-il un pilote dans l’avion?“) et la présence de Leslie Nielsen n’arriveront pas à convaincre le spectateur de la capacité d’autodérision de l’industrie cinématographique américaine.
Les allusions sont téléphonées, la vulgarité est systématique, et l’humour n’était probablement pas compris dans le budget du scénario.
Faites votre calcul.

A l’Utopolis mehr lesen / lire plus

BERNARDO BERTOLUCCI: The Dreamers

Roter Mai 1968. In Paris revoltieren die Studenten. Mittendrin ein Amerikaner und ein Geschwisterpaar. Ein inzestuöser Ménage à trois beginnt. Sex, Film und Protest: Alt-68er Regisseur Bertolucci besinnt sich der Anfänge seines filmischen Schaffens. Politik blendet er allerdings aus, ihm geht es um die andere „Revolution“ – dem Hunger nach radikalem Sex. Filmliebhaber werden sich freuen über die geschickt eingestreuten Sequenzen alter Hollywood-Schinken. Von einem Klassiker hat dieser Film selbst jedoch nichts.

Im Utopia mehr lesen / lire plus

ROBERT RODRIGUEZ: Once Upon a Time in Mexico

Le Mexique est un pays étrange … tout le monde tire sur tout le monde! Heureusement, il y a un „desperado“ qui a de sérieuses raisons de l’être … qui plus est, il tire avec sa guitare. Du coup, il va sauver son pays, jusqu’à la prochaine fois. Au passage, on aura pitié du soleil et du talent des stars, en sous-emploi. En définitive, voici un film plus fast que food, sa sauce – écarlate – est beaucoup trop épaisse et manque de piment.

A l’Utopia mehr lesen / lire plus

JANE CAMPION: In the Cut

Jane Campions Thriller, der sich als Parabel um Sex und Gefahr, Leidenschaft und Vertrauen entpuppt, mag etwas akademisch geraten sein, sehenswert ist er doch. Und Hauptdarstellerin Meg Ryan hat ihr übliches Image des staunenden blonden Babys zu Hause gelassen, um hier eine nuancierte und sensible Leistung zu bringen.

In der Cinémathèque.
mehr lesen / lire plus

JOE DANTE: Looney Tunes: Back in action

Convaincu, dès le premier quart d’heure, que l’impact visuel du dessin animé „traditionnel“ a toujours de beaux jours devant lui, le spectateur aura droit à quelques scènes d’humour remarquables. Citons, au hasard, une parodie de „Psycho“ interprêtée par Bugs Bunny, ou encore une course-poursuite délirante à travers des chefs-d’oeuvres du musée du Louvre. Dans son ensemble, cette réalisation laisse cependant une impression de chaos mal maîtrisé. Sans parler des clichés, bien trop nombreux pour être drôles.

A l’Utopolis mehr lesen / lire plus