Dans les salles : The Brutalist

(© Universal Pictures)

László Tóth, un architecte juif hongrois rescapé d’un camp de concentration, émigre aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale pour y vivre son rêve américain. Porté par des acteurs au jeu magistral (dont Adrien Brody, oscarisé pour ce rôle), le film de Brady Corbet nous invite à suivre sur près de 30 ans les espoirs et les déboires de ce personnage fictif qu’on croirait réel. Il parvient à captiver l’audience avec un sujet à première vue de niche, l’architecture brutaliste. Si on ne s’ennuie pas malgré les 3h35 que dure le film, celui-ci souffre toutefois d’une narration monotone, en dépit de nombreux rebondissements. À voir au moins une fois.

L’évaluation du woxx : X
Tous les horaires sur le site.


Cet article vous a plu ?
Nous offrons gratuitement nos articles avec leur regard résolument écologique, féministe et progressiste sur le monde. Sans pub ni offre premium ou paywall. Nous avons en effet la conviction que l’accès à l’information doit rester libre. Afin de pouvoir garantir qu’à l’avenir nos articles seront accessibles à quiconque s’y intéresse, nous avons besoin de votre soutien – à travers un abonnement ou un don : woxx.lu/support.

Hat Ihnen dieser Artikel gefallen?
Wir stellen unsere Artikel mit unserem einzigartigen, ökologischen, feministischen, gesellschaftskritischen und linkem Blick auf die Welt allen kostenlos zur Verfügung – ohne Werbung, ohne „Plus“-, „Premium“-Angebot oder eine Paywall. Denn wir sind der Meinung, dass der Zugang zu Informationen frei sein sollte. Um das auch in Zukunft gewährleisten zu können, benötigen wir Ihre Unterstützung; mit einem Abonnement oder einer Spende: woxx.lu/support.
Tagged , .Speichere in deinen Favoriten diesen permalink.

Die Kommentare sind geschlossen.