Les autorisations d’occupation temporaires (AOT) pour demandeurs-euses de protection internationale (DPI) ne sont pas adaptées au terrain et bureaucratiques. Pourtant le gouvernement ne semble pas vouloir simplifier les procédures.

(© Pixnio)
Déjà que quitter sa terre natale pour entamer un voyage périlleux en Europe afin d’échapper à la guerre ou à la famine n’est pas une partie de plaisir, souvent les réfugié-e-s, même instruit-e-s, sont condamné-e-s à l’inaction dans les pays qui les accueillent. Car entrer sur le marché du travail européen en provenance d’un pays tiers peut être difficile – sauf si vous êtes un-e sportif-ve ou un-e chercheur-euse, ou si vous avez l’argent pour vous dorer votre visa. mehr lesen / lire plus