Le refus du gouvernement de communiquer le MoU (« memorandum of understanding ») signé avec Google au Méco, confirmé par le tribunal administratif, démontre encore une fois l’inanité de la loi « sur une administration transparente et ouverte ».

Xavier Bettel avec Karan Bhatia, vice-président de Google au forum de Davos en janvier 2020. (©ME)
Quand l’État luxembourgeois souhaite diversifier son portfolio économique, ce qui au fond est une bonne chose, la transparence, l’ouverture et le dialogue ne sont pas prioritaires. Après le naufrage du dossier Fage pour des raisons similaires – acquisition de terrains et consommation d’énergie et d’eau –, le dossier Google restera lui aussi gardé comme un secret d’État.