Les chantiers luxembourgeois sont loin d’être à l’abri de l’exploitation des ouvriers – surtout ceux qui sont « détachés », c’est-à-dire provenant d’un autre pays européen. Cette semaine un rapport de la FRA, l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne, a sérieusement critiqué le Luxembourg pour sa « législation laxiste » et donc attractive pour les esclavagistes modernes. Dans le même temps, nos confrères de RTL ont réalisé un reportage « undercover » sur les conditions de travail sur nos chantiers – dont un, celui de Polfermillen, de commandité par l’État luxembourgeois. Et comme par hasard, ils y ont découvert des hommes, tous originaires du Portugal, forcés à travailler pour des salaires en dessous du minimum légal et avec des horaires tout aussi incorrects. Dommage que le reportage n’ait pas plus insisté sur les mesures prises par l’OGBL entre-temps (woxx 1319), qui prévoient entre autres une collaboration étroite avec ses collègues syndicalistes portugais, la mise en place d’un bureau d’information au Portugal et l’organisation d’une conférence intersyndicale en automne pour faire pression sur la présidence luxembourgeoise de l’Union.
Weiter Kritik an „Google“ in Bissen
Der „Mouvement écologique“ (Méco) kritisiert abermals das geplante Rechenzentrum von „Google“ in Bissen. Der US-Konzern firmiert in Luxemburg unter dem Namen „London Bridge“. Unter diesem Namen sind auch die Ergebnisse der Umweltverträglichkeitsprüfung auf der Website des Umweltministeriums veröffentlicht worden. Die NGO wertet das als Zeichen...

