Déjà que le métier de journaliste ressemble de plus en plus à une guerre sur plusieurs fronts, de récentes offres de recrutement subvertissent encore son statut professionnel – même l’Agence luxembourgeoise d’action culturelle (Alac), soutenue par l’État, s’y met.
C’est une de ces petites annonces qui paraissent sur le site culture.lu, géré par l’Alac : sont recherché-e-s des journalistes freelance « pour la rédaction d’articles à publier sur culture.lu ». La rémunération se fera « sur base des articles commandés et fournis », pour ne pas dire que les « journalistes » seront payé-e-s au lance-pierre, comme dans d’autres rédactions professionnelles.