Art et littérature : Pas seulement écrivain

Couronné par le prix de littérature national Batty-Weber en 2017, Georges Hausemer, décédé en 2018, compte parmi les écrivains les plus importants du grand-duché. Peu de ses lectrices et lecteurs savent cependant que pendant des décennies, il a aussi pratiqué le dessin et la peinture. Une exposition au Mierscher Kulturhaus vient le rappeler.

Photos : woxx

Une liste impressionnante de publications dans des genres divers, une liste non moins impressionnante de distinctions et de prix : Georges Hausemer n’avait apparemment rien de l’auteur qui hésite longtemps avant de coucher des mots sur le papier. Et pourtant, c’est bien à cette angoisse de la page blanche que remontent ses premières œuvres picturales, dans les années 1990, nous apprend l’exposition « Behescht » à Mersch. mehr lesen / lire plus

Le forum analyse la révolte

La couverture du nouveau numéro du magazine forum montre le chemin : dans la silhouette du Che a été monté le visage de Greta Thunberg, l’égérie de la lutte contre le changement climatique. La superposition de ces deux icônes se reflète dans le dossier « Protest Revolte Widerstand » : révoltes estudiantines au Luxembourg des années 1970, Gilets jaunes et anarchie, un hommage à l’artiste Deborah De Robertis et la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale – tout y est. De plus, on y trouve des questions posées à de jeunes activistes engagé-e-s contemporain-e-s et une explication du Musée de la Résistance par son directeur. mehr lesen / lire plus

Georges Hausemer: Kleine luxemburgische Literaturgeschichte

In seinem posthum erschienenen Episodenroman beschäftigt sich Georges Hausemer mit der hiesigen Literaturszene und teilt kräftig aus – am meisten aber gegen sich selbst.

„Und ich hatte mich ausgerechnet für die Literatur entschieden. Warum großer Gott? Aber warum, zum Teufel, eigentlich nicht?“ – so quält sich der Ich-Erzähler in Hausemers letztem Roman, als er schlussendlich eine Stelle als Verlagsvertreter beim angesehenen „Luksbuks“-Verlag annimmt. Und das ohne die leiseste Ahnung vom luxemburgischen Literaturbetrieb zu haben. Ziemlich schnell wird der Protagonist feststellen müssen, dass die Szene nicht so sehr ein Wespennest ist, als vielmehr einer Kriegszone nahekommt – wenn auch auf ziemlich provinziellem Niveau. mehr lesen / lire plus