Radio 100,7 : l’opposition s’inquiète

Après une fin de semaine mouvementée à la radio publique, pour cause de conflit entre direction et rédaction, c’est au tour des député-e-s d’opposition de poser leurs questions au premier ministre, responsable des médias.

Pour Diane Adehm du CSV, qui juge la décision de l’ancien président du conseil d’administration (et copain de Xavier Bettel) Laurent Loschetter « surprenante », la question est de savoir pourquoi ce dernier l’a prise. Et surtout si le ministre peut « exclure tout lien entre cette démission soudaine et le modus operandi du nouveau directeur » ?

De plus, la députée conservatrice évoque le désormais célèbre audit d’avril 2018 de l’European Broadcast Union (EBU), qui avait souligné que l’indépendance de la radio publique était tout sauf gravée dans le marbre. mehr lesen / lire plus

Radio 100,7 : Bettel esquive

Dans sa réponse à une question parlementaire du député David Wagner (Déi Lénk), l’ancien et nouveau ministre des Médias ne semble toujours pas vouloir admettre les difficultés dans lesquelles se trouve la radio publique après cinq ans de sa tutelle.

Un certain agacement est détectable entre les lignes de la question posée par David Wagner et de la réponse donnée par le premier ministre. Alors que Wagner insiste sur une question restée sans réponse de l’alors députée et désormais ministre Sam Tanson, concernant des divergences entre le président du conseil d’administration et l’ex-directeur de la radio (« Comme vous n’avez pas jugé utile de répondre à cette question, je me permets de la reformuler tout en la complétant »), Xavier Bettel estime que la question du député concernant l’influence qu’exerce son chef de cabinet Paul Konsbruck dans le conseil d’administration de la CLT-UFA « n’a aucune pertinence dans ce contexte ». mehr lesen / lire plus

Medienpolitik: Verpasste Chancen

Als die Dreierkoalition sich vor fünf Jahren anschickte, dem CSV-Staat den Garaus zu machen, lag auch im Medienbereich einiges im Argen.

(Foto: 100komma7.lu)

Nach dem Politikwechsel 2013 bestand hinsichtlich der Medienpolitik nicht nur Bedarf, verkrustete alte Strukturen aufzubrechen, es galt auch, die Probleme bei der „klassischen“ Presse wegen der zunehmenden Konkurrenz des Internets in Angriff zu nehmen.

Statt auf die Komplementarität von etablierten Medien und neuen Internet-Publikationen zu setzen, wurde die Konkurrenz zunächst gar geschürt und erst in einem zweiten Anlauf – viel zu spät – versucht, eine Konsenslösung für alle zu finden, die dem Sonderfall Luxemburg gerecht würde: Eine Medienpluralität aufrechterhalten, trotz kleiner Leser*innenzahlen. mehr lesen / lire plus