(jitz) – A 34 ans, le saxophoniste américain Eric Alexander a sorti 16 albums personnels et a participé à plus de 70 productions d’autres musiciens de jazz plus ou moins renommés. Malgré cette activité débordante, il ne parvient pas vraiment à décoller. Et pourtant, il n’a rien à envier à d’autres saxophonistes de sa génération, comme le démontre de nouveau son CD récent Nightlife in Tokyo: gros son chaleureux, technique impeccable, et des idées mélodiques et harmoniques à profusion pour construire ses thèmes et ses improvisations. Peut-être qu’il n’y a plus de place dans la catégorie „jazz néo-classique“. Ses partenaires de toujours, le pianiste Harold Mabern et le batteur Joe Farnsworth, ainsi que le routinier Ron Carter à la contrebasse sont parfaits. Il serait dommage de passer à côté de ce bon CD d’un bon musicien sans histoires.
Eric Alexander: „Nightlife in Tokyo“, Milestone MCD 9330-2
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