Jusqu’au 31 décembre.
Une fois les portes de la maison de la culture de Mersch franchies, les visiteurs sont happés par une ambiance far-west, étrangement peuplée. Les représentations murales semblent discuter de l’intrusion dont elles viennent d’être victimes. Mais Lex Gillen est là pour servir de guide à travers l’exposition. Il vous explique avec passion l’histoire des peintures aborigènes australiennes qu’il a collectionnées au cours de nombreux voyages sur le continent „down under“. L’intéressé-e apprend comment la peinture aborigène met en scène des histoires qui remontent à la création du monde, que l’histoire aborigène n’a pas de langage écrit et que le „Dreamtime“ (tâche ou chemin d’apprentissage attribué à chacun lors de sa naissance) est transmis oralement de génération en génération par le biais de peintures, chants, danses et autres pratiques culturelles. Une exposition qui ne présente non seulement des oeuvres d’art magnifiques, mais permet également d’aller à la découverte d’un peuple.
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