Des singes tirant sur des cordes en fer et des incitations à lire la Bible dispersées par terre – le moins qu’on puisse dire de l’installation The Box de Martine Feipel est qu’elle a le mérite d’aborder la métaphysique dans l’art contemporain. Là où d’autres se targuent d’esthétique pure ou essaient de revenir à des interprétations plus politiques de l’art, Martine Feipel nous pose – avec des moyens simples et surtout sans donner de réponses, ce qui aurait gâché l’oeuvre entière – devant un des problèmes les plus intéressants de l’histoire humaine: l’évolution.
L’homme, attiré d’un côté par la science pure et tenté de l’autre par les sirènes du créationnisme, avec ses „explications“ simplistes, se retrouve prisonnier entre les deux vues et de lui-même. Ou plutôt de sa confiance en soi: Sommes-nous vraiment les maîtres de l’univers? Ou reste-t-il quelqu’un ou quelque chose au-dessus de nous? Et si oui, qui et quelle implication cela a-t-il sur notre vie quotidienne et nos vues en toutes choses, y compris la politique? Tant de questions qu’on peut se poser lors d’une promenade estivale et endimanchée le long du kiosque MPK.
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