Alors qu’en Allemagne, la désignation « Schlecker-Frauen » – pour les licenciées de la chaîne de discount en banqueroute – est en train de devenir un lieu commun, le sort de leurs consoeurs et confrères grand-ducaux reste en suspens. Et cela parce que les filiales luxembourgeoises dépendent de Schlecker-Autriche en difficultés aussi et sont livrées par une autre firme que celle qui approvisionnait les magasins allemands. D’ailleurs, comme viennent de le communiquer syndicats et chambre du commerce, les bilans de Schlecker Luxembourg restent positifs. Ce qui laisse espérer une fin heureuse à ce drame social. A moins qu’il ne s’agisse d’une tactique de salami du patronat.
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