On pourra reprocher au film un certain formatage occidental et une fin trop optimiste. Justement, cela lui permet d’être accessible au plus grand nombre tout en montrant les ravages d’une société au machisme exacerbé à deux pas des grandes métropoles où s’étale la puissance indienne.
L’évaluation du woxx : XXX
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La série s’essouffle et se boursoufle dans un scénario déjà vu, malgré les petits nouveaux. Tout ça se prend bien trop au sérieux et manque de la touche d’humour que Marvel sait apporter d’habitude.
L’évaluation du woxx : O
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Un duo assorti, et pourtant… Kristen Stewart et Jesse Eisenberg dans « Café Society ».
Écrire sur un nouvel opus de Woody Allen est un exercice de style délicat. D’un côté, rares sont les films du réalisateur qui ne font pas l’événement – pour sa part, « Café Society » a ouvert le Festival de Cannes cette année – ou dont les mérites sont si ténus qu’on peut choisir de les ignorer. mehr lesen / lire plus
Les nostalgiques de la comtesse de Ségur éprouveront un certain plaisir à retomber en enfance. Malheureusement, le film décoche des grains de folie sans toutefois y succomber totalement, tel un soufflé raté.
L’évaluation du woxx : X
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Avec sa maîtrise technique impeccable, le film est une belle introduction au chef-d’œuvre de Rudyard Kipling pour la génération qui a grandi avec les jeux vidéo. On pardonnera aux plus âgés de préférer la poésie de l’original.
L’évaluation du woxx : X
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Attention : les instructions des marabouts africains peuvent parfois conduire à l’absurde. Steeve Brudey et Hervé Sogne dans « L’origine du monde ». (Photo : Ricardo Vaz Palma)
Le comédien et auteur dramatique français Sébastien Thiéry est connu pour ses pièces où les rires fusent, partant de postulats insensés ou carrément grotesques. Pas d’exception à cette règle dans « L’origine du monde » : Jean-Louis pète la forme, mais son cœur s’est tout bonnement arrêté. mehr lesen / lire plus
Un peu longue peut-être dans son exposition des personnages, Rebecca Miller sert une sympathique comédie new-yorkaise certes pas révolutionnaire mais sans aucun nombrilisme maniéré. Le petit plus : comment ne pas craquer devant l’accent danois de Julianne Moore ?
L’évaluation du woxx : XX
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Soyons généreux et accordons à ce mélo au scénario de poche et à la réalisation naine de louables intentions sur le thème du handicap. Mais pourquoi avec des trucages, des gags douteux et un Jean Dujardin plus bling-bling que jamais ?
L’évaluation du woxx : X
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Un film qui repose sur les épaules de Bryan Cranston… et il fait le boulot.
Il ne faisait pas bon avoir des sympathies communistes – ou de simples velléités d’égalité – dans les États-Unis des années 1950. Et Hollywood n’était évidemment pas une exception : la Commission de la Chambre sur les activités antiaméricaines a réussi à mettre sur la touche, au moyen d’une liste noire, nombre d’acteurs, scénaristes et techniciens soupçonnés d’allégeance à l’ennemi soviétique. mehr lesen / lire plus
Par rapport au piètre « Batman v Superman », il faut se réjouir, pour les amateurs de cinéma d’action, de la capacité de Marvel à renouveler son univers et à ne pas se prendre trop au sérieux. Pour les non-initiés, par contre, les sous-entendus peuvent devenir cryptiques… malgré le déferlement de nouveaux héros.
L’évaluation du woxx : X
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Sur le papier marouflé à la toile blanche immaculée, de fines lignes noires ou de couleur qui s’entremêlent, s’agglutinent ou se repoussent, telles des particules élémentaires dont le ballet aurait été capté par un scientifique aguerri. Mais les voilà qui semblent dévier de leur imprédictibilité quantique : elles s’ancrent dans le support et, si l’on prend la peine de reculer, on découvre peu à peu que leur chaos n’est pas si aléatoire. mehr lesen / lire plus
Malgré son titre un rien racoleur qui pourrait laisser présager d’une énième comédie bobo balourde, le film est une agréable comédie sans prétention, aux antipodes des superproductions dégoulinantes et servie par un André Dussollier en grande forme et une sémillante Bérengère Krief.
L’évaluation du woxx : XX
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Plutôt que de continuer la description de l’univers médical qu’il avait entamée dans le très réussi « Hippocrate », Thomas Lilti dépeint ici plutôt la campagne française, avec ses contradictions et ses petits malheurs – le tout avec tendresse, sans pathos misérabiliste et sans histoires cousues de fil blanc.
L’évaluation du woxx : XX
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Ni franchement drôle ni complètement pétri d’émotions, le film se cherche. Farid Bentoumi peine à dépasser le cadre de la fiction télévisée (qu’il a longuement pratiquée), malgré tout son dévouement pour cette histoire vécue par son frère.
L’évaluation du woxx : X
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Le woxx a déjà évoqué la situation précaire de la « Lëtzebuerger Gesellschaft fir nei Musek », dont la convention culturelle n’a pas été renouvelée et qui doit rendre ses locaux mis à disposition par l’État (woxx 1357). Dans sa réponse à deux questions parlementaires sur le sujet, Guy Arendt, secrétaire d’État à la Culture, reconnaît les mérites passés de l’association tout en affirmant que, plus récemment, elle n’aurait pas été à la hauteur et aurait provoqué la création de structures concurrentes, entre autres l’ensemble Lucilin et l’association Luxembourg Music Publishers. À titre d’exemple, Arendt affirme que l’International Association of Music Information Centres (IAMIC) se serait plusieurs fois plainte du manque d’activités de la LGNM et aurait proposé à music:LX de rejoindre ses rangs au grand-duché. mehr lesen / lire plus
Il a bourlingué, Philippe Calon. Ce boulanger de profession, qui écrit aussi à ses heures, a néanmoins une destination de prédilection ces dernières années : l’île de Cuba où, il y a pas mal de temps, il a même confectionné des viennoiseries dont s’est délecté Fidel Castro ! Intarissable d’anecdotes sur un pays qui le passionne, c’est tout naturellement qu’il a commencé à exposer des artistes qui en sont originaires, dans la charmante petite galerie improvisée au milieu de sa boulangerie. mehr lesen / lire plus
La première partie peut agacer avec ses faux airs de cinéma de Rohmer. Il faut cependant la subir pour, après la rupture prévisible entre époux, apprécier ce portrait d’une femme libre incarnée avec tout le talent d’Isabelle Huppert bien dirigée. Un film inégal donc, mais qui devient attachant au fil des images.
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Dans « Musique des êtres imaginaires », le fauteuil restera vide : c’est celui réservé à Jorge Luis Borges. Au sol, les miroirs brisés produiront des réflexions dans la salle qui contribueront à créer une atmosphère irréelle. (PHoto: LUCILIN)
Dans la musique contemporaine, les rencontres revêtent un aspect primordial pour porter des projets novateurs. Celle entre United Instruments of Lucilin (voir musixx 17) et Arturo Fuentes est manifestement de celles-ci. mehr lesen / lire plus
(Photo : Ricardo Vaz Palma)
Dans un pays ravagé par une guerre menée par des Barbares dont on ne connaîtra pas les motivations, c’est déjà le deuxième hiver en état de siège. Le froid va pousser un professeur d’université, son assistant Daniel et Marina, la petite amie de celui-ci, dans les derniers retranchements. Comment se réchauffer lorsque presque tous les meubles ont été brûlés ? Restent les livres, pourtant derniers remparts contre la barbarie si l’on en croit le professeur. mehr lesen / lire plus
Le graphisme épuré de ce film d’animation pour petits et grands est parfaitement adapté à la transmission de l’émotion, lors des épisodes de neige et de glace notamment. Pas d’emphase, pas de rythme effréné, juste la poésie de l’histoire d’une jeune fille aventureuse et décidée. Un Prix du public au Festival d’Annecy amplement mérité.
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