Les souvenirs d’un garçon qui ne tenait pas en place et qui s’improvise guide pour ensuite exercer ce métier pendant des décennies : c’est l’argument du dernier livre d’Henri Losch paru chez Binsfeld. Le début, en forme de récit d’enfance, est particulièrement touchant. Par contre, la suite devient répétitive, chaque chapitre étant consacré à un pays et une description linéaire de voyage où les rares incidents sont évacués en quelques lignes. Losch glisse bien quelques anecdotes liées au grand-duché, comme ce voyage à Rome où l’on retrouve un certain Erny Gillen ou le fait que des palplanches sorties des aciéries grand-ducales aient été utilisées pour déplacer les ruines de Philae en Égypte, mais le tout donne plutôt l’impression d’un placement de produit pour un grand voyagiste local. Conseillé aux amateurs avides de lire en luxembourgeois uniquement.
Regisseur Michelangelo Antonioni: Der Weg in die filmische Moderne
Michelangelo Antonioni ist ein Name, der für den Film ebenso wichtig ist wie Marguerite Duras für die Literatur oder Giorgio de Chirico für die Malerei. Zweifelsohne gilt der italienische Regisseur als einer der bedeutendsten Modernisierer*innen des Kinos in Europa nach 1950. Sein Werk prägt die internationale Filmgeschichte. Die Bedeutung von...

