Miraculeuse multiplication des succursales luxembourgeoises apparentées à la firme israélienne NSO, au cœur du scandale du logiciel d’espionnage Pegasus : mardi matin, le ministre des Affaires étrangères parlait encore de deux filiales, et dans un communiqué de presse envoyé le soir même elles étaient neuf – même si selon un rapport d’Amnesty il y en aurait bien plus encore. Dans ce même communiqué est annoncé qu’Asselborn « adressera aux dirigeants de toutes ces entités une lettre pour leur rappeler dans les termes les plus fermes que le Luxembourg applique à la lettre toutes les obligations en matière de contrôle des exportations et ne tolérerait pas que des opérations de ces entités contribuent à des violations des droits de l’homme dans des pays tiers ». On peut être sûr que les destinataires trembleront de peur. D’ailleurs, les services du ministère feraient peut-être bien de lire le dernier rapport comptable de Q Cyber Technologies, une des boîtes de la nébuleuse NSO : « The Company’s purpose shall also be selling and reselling computer software and related physical equipment together associated with consulting, training and the provision of support and other services », peut-on y lire. Intéressant, non ?
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