Zu Halloween: Schauerliche Filmtipps

Pünktlich zu Halloween stellt die woxx eine Auswahl an sehenswerten Filmen über Vampire,
Werwölfe, Hexen und andere Gruselgestalten vor.

The Lost Boys

Nach ihrer Scheidung zieht Mutter Lucy (Dianne Wiest) mit ihren beiden Söhnen Michael (Jason Patric) und Sam (Corey Haim) in die kalifornische Kleinstadt Santa Carla, wo sie fortan gemeinsam mit dem Großvater der Brüder leben sollen. Während Lucy Arbeit in einem Videoladen findet, versuchen Michael und Sam sich in ihrer neuen Heimat zurechtzufinden. Michael folgt der geheimnisvollen Star in ein verfallenes Hotel, wo sich eine Gruppe junger Vampir*innen häuslich eingerichtet hat. Dem Teenager wird eine Flasche Blut gereicht, er trinkt aus ihr und verwandelt sich in den nächsten Tagen langsam in einen Vampir. mehr lesen / lire plus

Auf Disney+: Werewolf by Night

Wem steht das Erbe von Ulysses Bloodstone zu? Um diese Frage zu klären, veranstaltet eine Gruppe von Monsterjäger*innen eine rituelle Jagd. Ganz in schwarz-weiß gehalten ist dieser Marvel-Kurzfilm eine Hommage an Monsterfilme aus der Frühzeit des Kinos. Der Werwolf Jack Russell (Gael García Bernal) wird schnell vom Jäger zum Gejagten, was die alte Frage aufwirft, wer eigentlich das Monster ist. Kurzweilige und actionlastige Unterhaltung.

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Fabio Bottani im Interview: „Wir betrachten uns mit dem Binokular”

Der italienisch-luxemburgische Filmemacher Fabio Bottani erzählt in „L’arrivée de la Jeunesse“ die Familiengeschichte italienischer Einwander*innen in Luxemburg. Ein Interview über die Arbeit hinter den Kulissen und Migration im Allgemeinen.

Eindrücke vom Set: Der Filmemacher Fabio Bottani im Gespräch mit einem der Hauptdarsteller seines Films „L’arrivée de la Jeunesse“. (Foto: Lejla Halilovic)

woxx: Herr Bottani, Sie vermischen in „L’arrivée de la Jeunesse“ Archivmaterial mit Fiktion und Monologen, die das Publikum aus dem Theater kennt. Warum diese Kombination?


Fabio Bottani: Die Idee, unterschiedliche Stile miteinander zu verbinden, war von Anfang an da. Ich liebe das Theater – und für mich kann Kino auch Theater sein. mehr lesen / lire plus

Dans les salles : The Woman King

Certes, il y a la découverte des Amazones du Dahomey, ce régiment militaire féminin dissous au 19e siècle, dans un royaume que le juteux trafic d’esclaves n’a pas protégé de la colonisation. Mais est-il bien intéressant, à l’heure des mouvements #MeToo et Black Lives Matter, de simplement servir ce scénario prévisible où les femmes noires remplacent les habituels hommes blancs dans des scènes de violence guerrière ?

L’évaluation du woxx : O
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Dans les salles : Le Petit Nicolas. Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?

Celles et ceux qui ont grandi avec le personnage de Sempé et Goscinny retomberont en enfance avec délices grâce à ce long métrage d’animation qui mêle les histoires du Petit Nicolas aux biographies de ses auteurs. Mais le film n’exclura pas les autres pour autant : dans un tourbillon d’invention visuelle, cette coproduction luxembourgeoise sait faire place à la candeur comme à la gravité, offrant en permanence l’occasion d’un sourire aux lèvres. De quoi même peut-être conquérir un nouveau public pour les livres de ce petit garçon déjà plus que sexagénaire.

L’évaluation du woxx : XX
À la Cinémathèque. mehr lesen / lire plus

Dans les salles : Les enfants des autres

Une histoire banale ? Certes, la famille recomposée issue d’une rencontre amoureuse idyllique qui se heurte au passage du temps et aux relations précédentes, ça n’est pas nouveau. Mais la réalisation se glisse au plus près des personnages, interprétés avec justesse par Virginie Efira et Roschdy Zem, pour en faire une tranche de vie émouvante.

L’évaluation du woxx : XXX
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Dans les salles : Triangle of Sadness

Après avoir raillé les stations de ski et l’art contemporain, Ruben Östlund s’attaque à la mode et aux croisières dans un nouveau brûlot contre la vacuité des riches, récoltant au passage une deuxième Palme d’or à Cannes. L’exercice est agréable, quoique aussi superficiel que l’objet de ses piques.

Jeunes, riches, d’une beauté célébrée sur les réseaux sociaux : Yaya et Carl seront pourtant pris dans la tourmente d’une croisière qui va dégénérer… (Photo : Fredrik Wenzel – Plattform Produktion)

Carl et Yaya forment un couple idéal pour les réseaux sociaux. L’influenceuse et le beau gosse, tous deux mannequins, s’épaulent pour asseoir leur popularité auprès d’un public friand de jeunesse photogénique. mehr lesen / lire plus

Dans les salles : Tori et Lokita

Avec les Dardenne, on s’attend comme d’habitude à une réalité poisseuse et tragique jusqu’au dénouement. Enthousiastes et sceptiques n’auront, de fait, pas de nouveaux arguments à la vision de ce film. Son atout distinctif ? La belle histoire d’amitié entre les deux enfants : elle offre des scènes d’une douceur qui contraste avec la violence du quotidien, jouées avec une candeur touchante.

L’évaluation du woxx : XX
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Im Kino: Corsage

„Corsage“ will mit dem herrschenden Bild der Kaiserin Sisi brechen. Das Ergebnis ist unterhaltsam, aber wenig 
originell.

Immer auf der Suche nach einer Regel, die sie brechen kann: Kaiserin Elisabeth in „Corsage“. (© Ascot Elite Entertainment Group)

„When she was home, she was a swan. When she was out, she was a tiger. And a tiger in the wild is not tied to anyone.“ Wenn diese Zeilen der Sängerin Camille in einer der ersten Szenen von „Corsage“ erklingen, deutet dies nur vage an, was danach noch kommt.

In der entsprechenden Szene schreitet die Hauptfigur, Kaiserin Elisabeth von Österreich-Ungarn (Vicky Krieps), mit ihren Kammerzofen in Zeitlupe eine Treppe hinauf. mehr lesen / lire plus

Im Kino: Three Thousand Years of Longing

Die Narratologin Alithea (Tilda Swinton) entdeckt einen Dschinn (Idris Elba) in einer Flasche. Bevor er ihr drei Wünsche erfüllen darf, muss er ihr erst seine Lebensgeschichte – sämtliche dreitausend Jahre – erzählen. Die Rückblenden, in denen dies passiert, sind eine opulente, unterhaltsame, aber zum Teil exotisierende Märchenstunde. Die Dialoge zwischen Swinton und Elba sind zwar gut gespielt, machen den Film aber vor allem im letzten Drittel zu langatmig.

Bewertung der woxx: XX

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Dans les salles : La nuit du 12

Dès le début, on sait que l’enquête n’aboutira pas. C’est donc avec un esprit affûté qu’on suit ces policiers attachants qui cherchent à élucider le meurtre d’une jeune femme, en épluchant à l’écran tous les indices qui pourraient nous faire réussir là où ils échoueront. Peine perdue : la réalisation et le montage implacables nous renvoient dans les cordes. Un film éprouvant mais captivant.

L’évaluation du woxx : XXX
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Dans les salles : Nope

Jordan Peele s’attaque aux genres fondateurs du cinéma américain populaire en y plantant un point de vue résolument afro-américain. Sous influence de ses grands aînés en permanence, parfois à la limite de la boulimie, le film bénéficie tout de même d’une énergie et d’un style maîtrisés, qui en font une fable aux images soignées propices à la réflexion.

L’évaluation du woxx : XX
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Im Kino: Decision to Leave

Mit seinem neuen Film liefert Park Chan-wook einen ungewöhnlich humorvollen Neo-Noir, der auch ohne große Schockmomente zu begeistern weiß.

Hae-joon und Seo-rae sind überwältigt von ihren Gefühlen füreinander. (Fotos: © Filmcoopi)

Als am Fuß eines Bergs eine Leiche gefunden wird, kommt etwas Schwung in den Arbeitsalltag des von Schlaflosigkeit geplagten Kriminalbeamten Hae-joon (Park Hae-il). Kurz zuvor hatte er seinem Arbeitskollegen So-wan (Go Kyung-pyo) gegenüber noch die niedrige Anzahl an Mordfällen in Busan beklagt. Die Spur führt schnell zur Witwe des Verstorbenen, die sehr viel jüngere, als Altenpflegerin arbeitende chinesische Migrantin Seo-rae (Tang Wei). Ist sie so unschuldig wie sie vorgibt? Je mehr der Ermittler über die Verdächtigte herausfindet, desto weniger ist er an der Aufklärung des Mordes interessiert. mehr lesen / lire plus

Dans les salles : Eyimofe (This Is My Desire)

Avec ce film réalisé par les frères Esiri, on s’étonne presque de ne pas voir les frères Dardenne à la coproduction, tant le réalisme social est présent. Avec le dépaysement en plus : devant l’objectif se débattent des personnes candidates à l’exil dans un Nigeria où les dominations, notamment de classe et masculine, s’exercent avec comme alliée la société de consommation où rien ne saurait être désintéressé. Sombre, mais fascinant.

L’évaluation du woxx : XX
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Dans les salles : Asako I & II (Netemo sametemo)

C’est certainement au succès de « Doraibu mai kâ » (Drive My Car) que l’on doit la présence en salles au grand-duché de ce film de Ryûsuke Hamaguchi sorti en France en… 2019. Mais cela permettra aux cinéphiles d’apprécier sur grand écran cette histoire d’amour singulière à la ligne épurée, qui dégage un charme empreint de nostalgie des premiers émois.

L’évaluation du woxx : XX
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Dans les salles : Piccolo corpo

Cette quête d’une jeune mère dans le Frioul-Vénétie Julienne de 1900 bénéficie d’images particulièrement travaillées. S’y ajoute le brassage de thèmes importants, comme l’arbitraire religieux ou la légitime aspiration à l’indépendance des femmes, pour composer dans un chaudron authentique, avec une pincée de surnaturel, un long métrage dont le souvenir reste en tête bien longtemps après la projection.

L’évaluation du woxx : XX
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Im Kino: Everything Everywhere 
All At Once

Wie schon „Swiss Army Man“ fehlt es auch dem neuen Werk des Filmemacherduos „Daniels“ nicht an Originalität und Skurrilität. Trotz kleinerer Schwächen lohnt sich der Kinobesuch.

In einem Moment plagen sich Evelyn und ihre Familie mit Alltagsproblemen herum, im nächsten werden sie zu Actionheld*innen. (© Filmcoopi)

Paralleluniversen werden dieser Tage vor allem mit Marvel-Filmen assoziiert. Dabei handelt es sich keineswegs um ein neues Kinophänomen. Während „The Wizard of Oz“ (1939) wohl das früheste Beispiel darstellt, kam dieses Erzählmittel in den frühen 2000er-Jahren mit Filmen wie „The Chronicles of Narnia“ und „Coraline“ verstärkt auf. Auch „Everything Everywhere All at Once“ des Filmemacherduos Dan Kwan und Daniel Scheinert, oder „Daniels“, wie sie sich selber nennen, reiht sich nun in diese Liste ein. mehr lesen / lire plus

Dans les salles : As bestas

On hésite d’abord : le film veut-il dénoncer la mentalité étriquée des villages reculés ou bien fustiger les néoruraux idéalistes qui votent contre les éoliennes ? Et puis, dans un deuxième temps, le drame se noue et le thriller psychologique se déploie avec force dans les paysages montagneux de Galice. Une construction oppressante et réussie.

L’évaluation du woxx : XX
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Dans les salles : Entre la vie et la mort

Ce polar bruxellois (même si le métro filmé est celui de… Barcelone), dans le style des révélations continues au fil des séquences, est plutôt bien ficelé et bénéficie d’interprétations convaincantes, notamment celle d’Antonio de la Torre. Une efficace distraction estivale à l’ambiance noire bien rendue par une réalisation nerveuse.

L’évaluation du woxx : XX
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Mothering Sunday: Ein schöner Tag

„Mothering Sunday“ von Eva Husson ist ein Film, den man gefühlt so schon ein paar Mal gesehen hat. Doch eine ganz eigene Bildersprache und ein hervorragendes Darsteller*innenensemble lohnen den Kinobesuch.

Die australische Darstellerin Odessa Young (hier mit Josh O’Connor), brilliert in der Rolle der Hausangestellten, die durch wiederholte Schicksalsschläge zur Schriftstellerin wird. (© norskfilmdistribution)

„Once upon a time“, mit diesen Worten beginnt „Mothering Sunday“, als sei es ein Märchen. Schauplatz ist das ländliche England mit seinen Herrenhäusern, an einem außergewöhnlich warmen Sonntag im März 1924, am Muttertag. Drei wohlhabende Familien haben sich zu ihrem alljährlichen Lunch verabredet, die Hausangestellte Jane Fairchild (Odessa Young) hat frei. mehr lesen / lire plus