DER PREIS DES HANDYS: iSlave oder Fairphone?

Berichte über die Umstände der Gewinnung von speziellen Metallen und Herstellung von elektronischen Geräten sind erschreckend, doch wer möchte schon auf sein Handy verzichten? Die Entwicklung eines authentischen Fairphones kommt nur langsam voran.

Logo-Vielfalt, vom kongolesichen Okapi bis zum Made-in-China-Siegel. Das erste Fairphone-Modell: umweltschonend verpackt.
(Foto: FAIRPHONE/CC BY-NC-SA)

Kaffee, Tee, Bananen, Schokolade – diese Lebensmittel gibt es als fair gehandelte Produkte zu kaufen. Ein Smartphone mit Fair-Trade-Siegel ist dagegen noch nicht auf dem Markt erschienen. Kein Wunder: Die etwa 30 Metalle, die in einem Smartphone stecken, werden häufig unter katastrophalen Bedingungen abgebaut. In Kobaltminen des Ostkongos etwa sind Arbeiter giftigen Dämpfen ausgesetzt. mehr lesen / lire plus

HISTOIRE COLONIALE: Au temps béni des colonies

Dans son mémoire de master, qui a reçu le prix de la Fondation Robert Krieps, Régis Moes pose non seulement la question du passé colonial du grand-duché mais aussi celles de son identité et du cheminement de sa mémoire.

Le Congo belge, et aussi luxembourgeois, ne s’est jamais remis de l’effort colonial.

Encourager de jeunes chercheurs, rendre leurs travaux accessibles à un large public en les publiant et en les diffusant à un prix très abordable : voilà ce que fait la Fondation Robert Krieps (FRK) qui, depuis 2009, décerne un prix au meilleur mémoire de master. Le premier lauréat fut Bernard Thomas dont le livre, « Le Luxembourg dans la ligne de mire de la Westforschung », est paru l’année dernière. mehr lesen / lire plus

HISTOIRE: « Le silence s’est posé sur le colonialisme »

N’ayant pas eu ses propres colonies, le grand-duché est peu bavard sur son passé colonialiste. L’historien Régis Moes s’est penché sur la présence luxembourgeoise au Congo belge.

Régis Moes vient de décrocher le Prix pour le meilleur mémoire de master pour l’année 2010 attribué par la Fondation Robert Krieps, mémoire qu’il a présenté au public lors de la remise du prix début avril. Né en 1986, Régis Moes a étudié l’histoire à l’Université libre de Bruxelles, puis à l’Ecole normale supérieure et à la Sorbonne à Paris. Il est secrétaire général des Jeunesses socialistes. L’étudiant vient de commencer sa thèse sur « Les Luxembourgeois dans les interstices des empires coloniaux ».

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