POLITIQUE CULTURELLE: Copy and Paste

La culture risque de traverser quelques mauvaises passes dans les cinq années qui viennent.

En présentant les nouveaux ministères, Jean-Claude Juncker a commis un petit lapsus, peut-être bien significatif. Il a omis de mentionner le ministère de la culture et ce n’est qu’après une interpellation de journaliste qu’il a confirmé que la culture revenait au CSV. Le soir de la même journée confirmait: oui, Octavie Modert sera la prochaine ministre de la culture, après n’avoir été « que » secrétaire d’Etat.

Cela risque bien d’être la seule nouveauté dans le domaine culturel, car ce qu’on peut lire dans la déclaration gouvernementale n’augure rien de bon. mehr lesen / lire plus

NACHHALTIGKEIT: Wider die Trägheit des Systems

Eines der neuen Gesichter in der Regierung ist Marco Schank. Neu ist auch die Zusammenlegung von vier Ministerien zu einem Superministe-rium. Die woxx fragte nach, in welche Richtung es zukünftig gehen soll.

ZUR PERSON
Marco Schank, Jahrgang 1954, war langjähriges Vorstandsmitglied des „Mouvement écologique“. Ab 1982 war er Mitglied des Gemeinderats von Heiderscheid, dem er nach 1994 als Bürgermeister vorstand. 1989 versuchte er mit den „Ekologiste fir den Norden“ den Sprung in die Landespolitik, was ihm damals ebenso wenig gelang, wie seinem Mitstreiter Camille Gira. Er trat 1994 der CSV bei und konnte 1999 in die Chamber nachrücken. Nach seiner zweimaligen Wiederwahl wurde er vom Regierungsformateur zum Wohnungsbauminister und zum delegierten Minister im von Claude Wiseler geführten Ministerium für nachhaltige Entwicklung und Infrastrukturen ernannt.

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LICHTVERSCHMUTZUNG: Sonne, Mond und keine Sterne

Seit Urzeiten fasziniert der Sternenhimmel die Menschen. Nun aber drohen Himmelsobjekte, die man bislang mit bloßem Auge erkennen konnte, im nächtlichen Lichtermeer zu versinken. Zu viel Licht in der Nacht hat auch andere weit reichende Konsequenzen.

Die Richtung und der Winkel des Lichteinfalls sind maßgeblich dafür, wie viel Licht verloren geht.

„Die Sterne, die begehrt man nicht, Man freut sich ihrer Pracht, Und mit Entzücken blickt man auf, In jeder heitern Nacht“, schrieb einst Johann Wolfgang v. Goethe in einem Gedicht. Sterne haben die Menschheit seit jeher fasziniert: man beobachtete sie, gab ihnen Namen, orientierte sich an ihnen. Auf hoher See diente früher der Polarstern als Wegweiser der Himmelsrichtung Norden, denn er ist der einzige Stern, der seine Position kaum verändert. mehr lesen / lire plus

JAZZ/BLUES: Petite maison dans la prairie

30 ans que ça swingue. Le festival de jazz de Gouvy est devenu un des incontournables de la Grande Région.

Un des « grands » de l’édition 2009 : Tom Harrell.

Il était une fois en 1969 au fin fond des Ardennes belges, un passionné de musique, plus précisément un mordu du jazz et du blues. Mais vu que les forêts ardennaises ne sont pas vraiment le temple de la musique noire américaine et que New York est à des milliers de kilomètres, le jeune Claude Lentz décide de les faire venir chez lui, à la ferme de la Madelonne, à Sterpigny près de Gouvy et pas loin de la frontière luxembourgeoise. mehr lesen / lire plus

ALAN BALL: Elle-Jasira

« Towelhead » est une expérience réussie : il montre que les nouveaux conflits au Proche-Orient commencent à s’enraciner dans la conscience américaine.

Difficile de grandir avec un père pareil.

Difficile de faire un film sur le « clash des cultures » – en l’occurrence américaine contre orientale – sans tomber dans les clichés et le ridicule. A quelques exceptions près, comme « Jarhead » ou encore « Three Kings », cette expérience n’a jamais été vraiment gratifiante et aucun de ces films de guerre n’a pu produire une catharsis chez le public, comme l’avait fait « Apocalypse Now » pour l’épisode du Vietnam. Mais la guerre, dans « Towelhead », n’est qu’une ombre lointaine, un moteur qui fait tourner l’histoire et lui procure – même à des milliers de kilomètres de distance – des moments décisifs. mehr lesen / lire plus

ART (UN PEU) ENGAGÉ: La couleur sans l’odeur

En analysant un billet de banque, on trouve toute une variété de substances. On en oublierait que ce qui compte, c’est le nombre de zéros.

« Non olet », l’argent n’a pas d’odeur, à ce qu’on dit. Voilà sans doute pourquoi le centre de recherche sur la communication italien Fabrica, financé par la société Benetton, avait choisi d’aborder le sujet à travers « les couleurs » dans le numéro de février 2008 de son magazine. L’exposition « Colors of Money », au Carré Rotondes, reprend la photographie, le texte et le graphisme du magazine et les transpose dans une série d’installations d’art, afin d’obtenir « un itinéraire tout aussi pertinent du contenu que ludique par la forme ». mehr lesen / lire plus