Il est très difficile de changer le monde. Et en plus, c’est très fatigant. On pourrait se contenter de changer le Luxembourg, mais c’est sûrement interdit par la constitution. Et ça ne servirait de toute façon à rien, car il va bientôt fusionner avec la Wallonie. Au woxx, nos projets sont moins impérialistes. On s’est contenté de changer le journal. „Pourquoi?“, nous demandent déjà certains lecteurs informés. La réponse est simple: parce que. Et puis, est-ce qu’on vous demande pourquoi vous changez de voiture (pardon, de vélo)? Ben voilà. Evidemment, on aurait pu se contenter, au lieu de changer le format, d’améliorer la qualité des articles. Mais bon, il aurait fallu remplacer la rédaction, et ça, on était contre. Dans la foulée, un membre de la rédaction a proposé de remplacer le lectorat, mais il aurait fallu remplacer les annonceurs aussi, qui eux, étaient contre. Un autre a eu l’idée de génie de remplacer les langues: russe/arabe au lieu du monotone français/allemand, mais la correctrice était contre. A court d’idées, nous avons imaginé de remplacer le format. Devinez? Notre agence de graphisme était pour.
Die woxx in Prag
Die woxx hat seit dem Sommer ein neues und, wie wir finden, schöneres Zuhause im Netz. Was wir zu Beginn dieses Prozesses nicht wissen konnten: Die neue Website führte uns nach Prag zum „Media Innovation Summit“, auf dem jedes Jahr vier Dutzend Medien „innovative“ Projekte vorstellen. Eine Gelegenheit für die woxx-Mitarbeiterinnen Susanne und...

