WERTEUNTERRICHT: Warum ich „fir de choix“ bin

Paul Galles, Jugendsozialarbeiter und Doktor der Theologie, erklärt – in neun Punkten – wieso er die Petition „fir de choix“ (für die Wahlfreiheit) unterschrieben hat.

Erstens weil ich an die Demokratie glaube. Und es gibt tatsächlich nichts Demokratischeres als die Wahlfreiheit. Und weil ich der Meinung bin, dass die bisherige Luxemburger Lösung der Wahlfreiheit zwischen diesen beiden Fächern (und möglichen anderen weltanschaulich inspirierten Fächern) die beste, die angemessene, die liberalste und die modernste ist – so wie übrigens in fast allen europäischen Staaten.

Zweitens weil es sich um etwas Prinzipielles handelt und nicht um ein vorgeschobenes „pro oder contra Kirche“. In Sachen Werte darf man die Menschen nicht vereinheitlichen. mehr lesen / lire plus

COMMUNAUTÉ MUSULMANE: Sur le seuil

La reconnaissance de l’islam par l’Etat luxembourgeois ne concerne que le financement du culte. La perspective d’un cours de religion musulmane a pourtant rallumé le vieux débat sur la laïcité de l’école publique. Sur cette question, la communauté musulmane adopte un profil bas.

Qui peut monter
sur le minbar?
En finançant le culte musulman,
l’Etat luxembourgeois s’octroie un droit
de regard sur
le personnel clérical.
(photo: RK)

« L’islam, c’est la paix, pas les attentats à la bombe. » Claudio Clori, jeune homme en costume cravate, est soucieux de dissiper les malentendus. Il guide un groupe de visiteur-se-s à travers la mosquée de Mamer en cette journée de porte ouverte. mehr lesen / lire plus

CULTES CONVENTIONNES: La manne terrestre

La convention entre l’Etat et l’Islam luxembourgeois pose à nouveau la question du financement public des cultes.
Est-ce vraiment la meilleure solution?

Le ministre de l’emploi, François Biltgen, fait son travail. En automne, il fera voter une loi qui créera sept emplois rémunérés plus que correctement. Bon d’accord, cette prouesse est plutôt à attribuer à un autre ministère dont il a la charge: celui des cultes. A l’instar des églises catholiques, protestantes, orthodoxes, des anglicans et des juifs, l’islam va à son tour, par le biais d’une loi, conclure une convention avec l’Etat. Un mufti, cinq imams et un secrétaire de la shoura (l’assemblée des croyants) recevront ainsi des traitements assimilés à ceux de la fonction publique (C7 pour le mufti, C4 pour le secrétaire et C2 pour les imams). mehr lesen / lire plus