Bausch Andy: Back in Luxemburg

Wer dieser Tage durch „Déifferdéng“ spaziert, könnte auf den Pionier der Luxemburger Filmgeschichte treffen: Andy Bausch dreht in der Minettstadt seinen neuen Film „Le club des chômeurs“.

Andy Bausch: „Ech erziele gär Geschichten, déi a mengem Land passéieren.“
Foto: Christian Mosar

Das Setting fürs Interview passt gut: Auf der improvisierten Terrasse eines Bistros in Differdingen schmeckt das kühle Bier nach einem anstrengenden Tag. Neben mir sitzt Andy Bausch, im altbekannten Look. Um uns herum der übliche Feierabendverkehr. Die Zeit läuft, denn die Filmcrew ist schon startbereit fürs Fußballtraining. Wie bitte? Klar, nicht um Tore, sondern um einige Bilder am Tatort zu schießen. mehr lesen / lire plus

Dreamworks studios: Shrek

Présenté en compétition au dernier Festival de Cannes, le dessin animé „Shrek“ des studios Dreamworks, a enthousiasmé toute la presse internationale, faisant de ce film la Palme d’Or du coeur.

La belle et la bête!
www.dreamworksfansite.com/shrek

Ne vous fiez pas aux apparences!

Comme tous les contes de fée, le film débute par „il était une fois“ sans toutefois refléter les sempiternelles rengaines des dessins animés Disney. On le sait, les studios Dreamworks sont les concurrents des studios Disney. Et, pour réussir leur coup, il fallait absolument montrer quelque chose de nouveau. Mission accomplie. Non seulement, ils nous ont évité les incontournables chansonnettes poussées pour un rien par les héros et le traditionnel Happy End, mais en plus, nous avons droit à des personnages tellement bien conçus que l’on peut voir, (et c’est une première) leurs sentiments, comme s’il s’agissait de véritables personnages. mehr lesen / lire plus

classic: Quatuor de Luxembourg

Tissée de joie

Avec son premier CD, le Quatuor de Luxembourg, composé de Osamu Yaguchi et Mihajlo Dudar (violons), Ilan Schneider (alto) et Vincent Gerin (violoncelle), réunit des compositeurs aussi différents que Haydn, Schulhoff, Civitareale et Chostakovitch. Si la rigueur de l’interprétation de Haydn surprend, le quatuor est admirable dans l’interprétation des „Méditations“ de Walter Civitareale (*1954), servant avec tendresse le talent du differdangeois de créer une musique tissée des joies, souffrances et espoirs de l’homme. Nul besoin de parler le luxo pour comprendre et interpréter un compositeur luxembourgeois! Dans le „Quatuor à cordes“ d’Erwin Schulhoff, qui baigne dans une opposition entre expressionnisme et néoclassicisme, l’alto d’Ilan Schneider résonne magiquement alors que le violon de Mihajlo Dudar est ensorcelant dans le „Quatuor No 8“ de Chostakovitch. mehr lesen / lire plus

jazz: Redman Joshua

Passage Of Time

Evolution constante

(jitz) – Jusqu’où ira-t-il, Joshua Redman? Lui qui avait commencé sa carrière comme jeune saxophoniste brillant et fringuant, au discours enjolivé qui pourrait plaire à toute belle-mère potentielle, a pris un virage assez brusque. Son disque précédent avait annoncé la couleur, et avec la récente production Passage of time, il devrait faire taire tous ses détracteurs. Son disque est conçu comme une longue suite dont les différents morceaux s’enchaî nent avec cohérence, avec des improvisations collectives, abstraites et étonnamment ouvertes. Les nombreuses tournées ont bien rôdé les musiciens de son quartette de sorte qu’ils retombent à chaque fois sur des bases stables, quelque soit le degré de liberté qu’ils ont atteint durant leurs escapades imprévisibles. mehr lesen / lire plus

latin: Chao Manu

Proxima estacion … esperanza

Ciao Chao

(roga) – Il fallait s’attendre qu’après le succès phénoménal de „Clandestino“, le chanteur galicien-français Manu Chao ne quitte pas sa ligne. Le nouveau Proxima estacion … esperanza est également un enchaî nement de titres latinos avec un bruitage délirant que Manu a rapporté de ses voyages. La petite guitare semi-acoustique de Manu palpite, les rythmes vous font sursauter et danser, les incarts vocaux brésiliens ou algériens augmentent le caractère exotique. Le message pour la „no logo generation“ contenu dans les paroles reste très superficiel, même si l’ironie macabre du „Vacaloca“ est bien trouvée.

Si la legèreté de l’être musical de Manu Chao reste encore soutenable pour cette fois, le prochain compact devra toutefois innover quelque peu. mehr lesen / lire plus