Die Mär vom Kunstrasenverbot

Die Hitze hat wohl einigen nicht sehr gut getan – aus einer Konsultierung zur Reduzierung von Mikroplastik fantasieren manche ein drohendes Verbot von Kunstrasen herbei.

Die Apokalypse droht. Nicht etwa, weil eine Million Arten vom Aussterben bedroht sind oder weil Brände in der Arktis die Klimakatastrophe noch weiter beschleunigen. Nein, die EU will Fußball verbieten! Oder zumindest Kunstrasenplätze. Seit ein paar Tagen ist die Aufregung groß. Die EU-Kommission plane, so die Annahme, ein Verbot von Kunstrasen, tausenden Sportplätzen drohe somit die Schließung.

Auch die DP-Abgeordnete Carole Hartmann scheint von der Panik angesteckt zu sein und hat eine parlamentarische Anfrage an den Sportminister geschickt, um über die möglichen Konsequenzen eines solchen Verbots aufgeklärt zu werden. mehr lesen / lire plus

Dans les salles : Notti magiche

« Notti magiche » parvient à unir fièvre footballistique, film noir et comédie dans un seul et très unique long métrage. Un hommage au cinéma italien comme il y en a peu.

L’écriture de scénarios peut mener à tout… même à la prison.

La nuit du 3 juillet 1990 est un souvenir noir pour chaque tifoso qui se respecte. Alors que le pays hôte de la Coupe du monde de football, l’Italie, se rêve déjà en finale, voire vainqueur du tournoi, c’est le bulldozer argentin qui écrase tous ses espoirs. Pire encore, la victoire des Sud-Américains n’est pas le résultat d’un match disputé âprement, mais de tirs au but. mehr lesen / lire plus

Luxembourg-Ukraine : « Un manque de formation des stewards »

Sébastien Louis, spécialiste du supportérisme radical revient pour nous sur l’épisode du salut fasciste au stade Josy Barthel, lundi dernier et la présence d’un drapeau à l’effigie d’un collaborateur nazi.

Drapeau à l’effigie de Stepan Bandera

 

Lundi, vous assistez au match Luxembourg-Ukraine. A un moment, l’hymne national ukrainien est joué. Que se passe-t-il ensuite?

Quelques minutes avant l’hymne national ukrainien, des supporters radicaux de l’équipe visiteuse accrochent un drapeau à l’effigie de Stepan Bandera, leader de l’OUN, aux couleurs rouge et noir. Ce personnage plus que controversé est une expression du nationalisme ukrainien. En dessous de ce drapeau, il était aussi possible de voir un symbole du secteur droit (Pravy sektor, un parti politique d’extrême droite et une milice paramilitaire). mehr lesen / lire plus

LuxFilmFest: Home Games

Der Dokumentarfilm „Home Games“ porträtiert das Schicksal einer jungen Ukrainerin, die sich zwischen dem Traum einer professionellen Fußballkarriere und einem prekären Privatleben durch den Alltag kämpft.

(Bild: Syndicado)

In manchen Fenstern brennt noch Licht, andere sind dunkel. Aus dem Off hört man eine junge Frauenstimme, die eine Geschichte erzählt: Ein Märchen über ein Mädchen, das zum Geburtstag magische, goldene Fußballschuhe geschenkt bekommt, die es zur Torkönigin machen. Ein Märchen ist das Leben der 20-jährigen Alina, die ihrem kleinen Halbbruder die Geschichte vor dem Einschlafen erzählt, nicht. Sie wuchs ohne Mutter auf, kümmert sich zusammen mit ihrer Großmutter um ihre zwei kleinen Halbgeschwister und schlägt sich mit deren alkoholkrankem Vater herum. mehr lesen / lire plus

« Les ultras sont une force collective dans des sociétés individualistes »

Ils sont la bête noire du football. Pourtant, ils fascinent jeunes et moins jeunes depuis 50 ans. Entretien-fleuve avec Sébastien Louis, chercheur et auteur du livre « Ultras. Les autres protagonistes du football ».

woxx : Les ultras sont généralement perçus comme des supporters de foot violents, délinquants, et souvent proches de l’extrême droite. Une action récente d’ultras de la Lazio Roma, qui ont collé des autocollants à l’effigie d’une Anne Frank portant un maillot de leurs rivaux de l’AS Roma, n’a fait que renforcer cette image…

Les ultras de l’AC Milan en 2006 (© Wikimedia).

Sébastien Louis : Oui, malheureusement, cette action et le traitement médiatique qu’on lui a réservé confortent ce genre de clichés. mehr lesen / lire plus