FOTOGRAFIE: Aus dem Nichts

Die Stimme aus dem Off ist ein sehr beliebtes Mittel Filmschaffender, bestimmte Szenen zu erklären und dem Zuschauer so einen leichteren Zugang zu seinem Werk zu gewährleisten. Ein bekanntes Beispiel dafür sind die Kommentare des Replikantenjägers Decker in Ridley Scotts Blade Runner. Um dies auf Druck der Produzenten zu verhindern habe Harrison Ford die Texte bewusst schnoddrig nuschelnd vorgetragen, konnte aber nichts bewirken. Zum Seelenfrieden vieler Cineasten sind in neueren Versionen diese Kommentare wieder getilgt worden. Zuviel Erklärungen sind gerade bei künstlerischen Projekten, die sich nicht dem Mainstream verschrieben haben wollen, häufig von Nachteil. Noch schlimmer wird es, wenn in solchen Erklärungen zeitgenössischer Kunst längst überstrapazierte Begriffe wie der der „Postmoderne“ oder der „Dekonstruktion“ auftauchen. mehr lesen / lire plus

PHOTOGRAPHIE: Fragments

Que Martin Linster est plus qu’un photographe de presse oeuvrant pour les canards locaux, n’est pas à expliquer. Au cours des dernières décennies, le photographe s’est fait un nom aussi bien dans la photographie de presse que dans le documentaire. Cet autodidacte, qui a fait ses premiers pas dans la photo professionnelle pour le « Gréngespoun », l’ancêtre du woxx, avant d’être recruté par le « Lëtzebuerger Land », a su développer un style personnel, unique et reconnaissable. Tellement d’ailleurs que le layout du « Land » se base aussi sur ses images grand-format.

Mais cette rétrospective en cours dans la galerie Nosbaum&Reding dans le cadre du mois européen de la photographie, est plus qu’une revue de la politique des dernières décennies. mehr lesen / lire plus

MARTIN LINSTER: Déconstruction avec un grand D

Que le Luxembourg – comme tout pays dont l’économie progresse – doit parfois faire changer de fond en comble son paysage architectural pour „s’adapter“ aux besoins du marché est bien connu. Que chaque innovation signifie la mort de quelque chose d’autre, la fin d’une époque et de tout un petit univers, est largement accepté. Et pourtant, on aura rarement vu une exposition ne montrant que des bâtiments en ruine véhiculer des messages aussi éminemment politiques: l’exposition de
Martin Linster baptisée („De)constructing Lux“ montre ce qui se passe entre les deux stades, quand l’ancien petit monde n’a pas encore totalement disparu et le nouveau n’est que contours abstraits. mehr lesen / lire plus

MARTIN LINSTER/KARIN WARINGO: Retours difficiles

Jusqu’au 12 juin.

Le Luxembourg a connu d’importantes vagues d’immigration à partir des années 1920. Depuis, les raisons de ces migrations de population ont changé. Les motifs économiques qui ont jadis poussé de nombreux travailleurs étrangers vers d’autres horizons prometteurs ont fait place à des causes d’une nature plus urgente et tragique. Les exodes massifs de ces dernières décennies ont le plus souvent été motivés par la peur de persécutions raciales ou la menace de la guerre. Depuis quelques années, on assiste de plus en plus souvent à des expulsions de ces étrangers et à des rapatriements forcés vers les pays d’origine, notamment l’ex-Yougoslavie. mehr lesen / lire plus

PORTRAIT: „Ech waarde bis d’Situatioun komesch ass“

Wie vill duerch d’Stad kënnt, huet de Fotograf Martin Linster bestëmmt scho begéint. De Fotograf vum „Lëtzebuerger Land“, deen ëmmer op der Plaz ass, wann et e politesche Moment ze knipse gëtt, weist elo eng Auswiel vu senge Fotoen aus de läschte Joeren.

„Politik ass Theater“, fënnt de Fotograf Martin Linster. A senge Biller deet hien dem politeschen Establishment
de Bok aus.

„Dee wéivillte Kaffi ass dat, deens de de Moien hei drénks?“ „De véierten. Neen, nach zwee doheem.“ Et ass halwer néng. Mir sëtzen am „Interview“, deem Café am Stadzentrum, wou een nach en uerdentleche Kaffi kritt, een deen inspiréiert, wéi de Martin Linster seet. mehr lesen / lire plus