LUC BESSON: Un ange reste
Le grand retour de Luc Besson derrière la caméra laisse perplexe. De très belles images et de très bons acteurs: pourtant „Angel-A“ ne décolle pas.
Oui, ils lui ont fait payer le taxi. Taxi 1, Taxi 2 et Taxi 3. Ces dernières années, Luc Besson a inondé le marché du cinéma français avec tellement de navets, qu’il aurait mieux fait d’en faire une salade. Toutefois, traiter „Angel-A“ de „supernova dans la constellation de la lobotomie heureuse“, comme le fait le rédacteur de „chronic’art“, webmag parigot et ultra-branché, relève de la surenchère et peut-être même de la jalousie envers celui qui a régné presque sans partage – et sans réaliser un seul de ses films, se retranchant derrière le rôle de producteur – sur le cinéma français. mehr lesen / lire plus