Le feuilleton sur les deux sociétés de gardiennage Cobelguard et G4S, qui sont en train de s’accuser mutuellement de concurrence déloyale voire entrave à la libre circulation des services en Europe, anime les pages des journaux et magazines luxembourgeois depuis des semaines. Pourtant, peu ont rapporté qu’il s’agissait d’un combat à armes inégales, Cobelguard étant une société de taille moyenne implantée en Belgique tandis que G4S est un vrai global player en matière de sécurité. Donc, le fait que la commission européenne a donné son contrat de gardiennage au plus faible des deux peut aussi être vu comme un coup de pouce pour une société européenne. Malheureusement, ce coup de pouce a ouvert la boîte de Pandore et maintenant quelque 190 agents de gardiennage travaillant à la commission pour G4S sont face à un dilemme : rester chez G4S sous la menace d’un licenciement économique ou rejoindre Cobelguard sous la menace de poursuites de G4S, qui ne veut laisser partir personne sans période de préavis – chose impossible vu que le contrat démarre ce vendredi.
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