L’OGBL perd de façon substantielle dans trois secteurs, alors que le LCGB y gagne : sidérurgie, autres industries et construction. Si dans la sidérurgie l’OGBL réussit à maintenir le nombre de sièges, il en perd à chaque fois un dans les deux autres groupes. Le troisième siège que l’OGBL doit concéder au LCGB relève du groupe fourre-tout des services et des „autres branches“. Ironiquement l“OGBL y gagne même en pourcentage des voix, mais le LCGB réussit à récupérer la quasi-totalité des voix du NGL-SNEP qui ne présentait plus de candidat-e-s.
L’OGBL gagne dans le groupe santé et social et chez les retraité-e-s.
La participation diffère fortement entre les groupes, mais à part celui de la sidérurgie, qui augmente de plus de 20 pour cent, les taux des différents groupes.varient très peu par rapport à 2013.
Dans le secteur des finances, l’Aleba tombe en-dessous de la barre des 50 pour cent de voix, mais conserve ses 4 sièges. La question de la représentativité sectorielle se pose donc.
Côté cheminots, le FNCTTFEL doit concéder du terrain au Syprolux, mais la représentation en sièges (2:1) reste invariée.
La majorité absolue de l’OGBL se réduit de 38 à 35 élu-e-s direct-e-s.