Sandkiste für KI

Die luxemburgische Datenschutzbehörde CNPD hat eine regulatorische „Sandkiste“ für sogenannte künstliche Intelligenz online gestellt. Das teilte die CNPD am Donnerstag mit. Als Sandkiste oder „Sandbox“ werden in der Informatik Systeme genannt, auf denen neuer Code aus- probiert werden kann, ohne Einfluss auf andere Programme zu haben. So ähnlich soll auch die regulatorische Sandkiste der CNPD funktionieren: In einem isolierten digitalen Umfeld können KI-Systeme für einen begrenzten Zeitraum getestet werden, ehe sie auf den Markt kommen. Dabei wird ein besonderes Augenmerk auf den Datenschutz gelegt, da die Systeme mit den europäischen Datenschutzrichtlinien der DSGVO kompatibel sein müssen. Die CNPD will mit ihrem Sandkisten-Programm Akteur*innen aus dem öffentlichen und privaten Sektor zusammenbringen, um gemeinsam Lösungen für Datenschutzprobleme zu erarbeiten. mehr lesen / lire plus

Datenschutzkommission will Meinungen zu KI

Die nationale Datenschutzkomission (CNPD) will sich mehr mit sogenannter Künstlicher Intelligenz befassen und Hilfestellung für öffentliche und private Akteur*innen anbieten. Deswegen ruft sie dazu auf, ihr Erfahrungen, Herausforderungen und Erwartungen in Bezug auf KI-basierte Tools mitzuteilen. Besonders starkes Interesse hat die CNPD an datenschutzrechtlichen Problemen und an Fragen, aber auch Lösungen, die sich aus der Nutzung Künstlicher Intelligenz ergeben. Daneben ist die Datenschutzkommission aber auch interessiert daran, von technischen, regulatorischen, organisatorischen und menschlichen Schwierigkeiten zu erfahren. Die Erfahrungsberichte können einfach per E-Mail an ia@cnpd.lu geschickt werden. Sie sollen der CNPD als Grundlage für die Erstellung neuer Leitfäden und Schulungen dienen. Neben dem bekannten ChatGPT gibt es viele andere Programme, die mit sogenannter künstlicher Intelligenz arbeiten oder auf „Machine Learning“ basieren. mehr lesen / lire plus

Bodycams: Vorgegaukelte Objektivität

In den vergangenen Monaten stieß der Gesetzentwurf zur Einführung von Bodycams für Polizist*innen auf Kritik. Während die einen sich einen präziser formulierten Text wünschen, stellen andere die Datenlage, mit welcher der Einsatz solcher Kameras gerechtfertigt wird, grundsätzlich infrage.

Tritt das Gesetz so wie vorgesehen in Kraft, sind ab nächsten Jahr 1.682 Polizist*innen mit Bodycams ausgestattet. (Sanderflight/wikimedia commons)

Im Koalitionsabkommen war es vorgesehen, nun soll es Realität werden: Die Polizei wird mit Bodycams ausgestattet; seit August 2022 liegt der entsprechende Gesetzentwurf vor. Er soll legale Klarheit bezüglich gleich mehrerer Aspekte schaffen: Unter welchen Umständen können Bodycams aktiviert werden? Wer erhält Zugang zu den Aufnahmen? mehr lesen / lire plus

Protection des données : la CNPD tance le parquet

Incroyable mais vrai : la Commission nationale pour la protection des données vient de montrer ses dents en rappelant le parquet général à l’ordre et en lui interdisant d’utiliser dorénavant les données issues de la chaîne pénale pour les recrutements.

C’était le feuilleton de l’été 2019, une ère prépandémique bien révolue. Tout est parti d’un entretien d’embauche raté au parquet au général. Le candidat pour un poste de référendaire, voire référendaire-bibliothécaire s’est fait recaler, après qu’on lui a montré – à son grand étonnement – deux informations issues de la chaîne pénale, la fameuse JuCHA , la base de données où le système judiciaire conserve toutes les informations sur les citoyen-ne-s qui de près ou de loin ont affaire à lui. mehr lesen / lire plus

Protection des données : la CNPD tâte sa gâchette

C’est une première : la Commission nationale pour la protection des données (CNPD) vient de publier 18 de ses décisions prises suite à ses enquêtes. Elle n’a cependant presque pas fait de mal aux contrevenants.

Ce sont les confrères de Paperjam qui ont découvert cette nouveauté en premier : une nouvelle page sur le site de la CNPD où celle-ci annonce ses « premières décisions sur l’issue d’enquêtes ». Un peu plus tard, la commission a elle-même envoyé un communiqué de presse à travers l’extranet du gouvernement (ce qui est un peu bizarre pour une autorité indépendante), faisant la même annonce. mehr lesen / lire plus

Protection des données : It’s Your Business, CNPD !

Ce lundi, l’association viennoise noyb a déposé un recours contre la Commission nationale de la protection des données (CNPD) luxembourgeoise devant le tribunal administratif. Un événement inédit qui révèle les limites du fonctionnement de ladite commission.

Le RGPD n’est pas une chose simple – pourtant, quand les commissions chargées de la protection des données ne font pas leur travail, on n’est pas sortis de l’auberge. (Pixabay – The digital artist)

À la base, l’histoire est simple : un utilisateur luxembourgeois tape son propre nom dans un moteur de recherche. Il trouve, parmi d’autres occurrences, que son nom, ses profils sur les réseaux sociaux et même une photo sont référencés par deux sites américains : Rocket Reach et Apollo.io. mehr lesen / lire plus

La CNPD citée devant le tribunal administratif

L’association noyb (None of Your Business), connue pour son engagement en faveur de la protection des données personnelles, va déposer ce lundi matin un recours contre deux décisions de la Commission nationale pour la protection des données (CNPD).

Der neue gemeinnützige verein „noyb – Eurpäisches Zentrum für Digitale Rechte“ Max Schrems, Petra Leupold VKI, Christoph Tschohl. (©David Bohmann)

L’association noyb n’en est pas à son premier fait d’armes devant la justice en matière de protection des données personnelles. Son fondateur, l’Autrichien Max Schrems, s’est déjà fait un nom en affrontant les Gafa comme Facebook. Désormais flanqué d’une équipe qui partage son combat, il multiplie les litiges en justice pour faire avancer sa cause, c’est-à-dire pour imposer que les différents acteurs du numérique s’en tiennent aux lois et règlements existants. mehr lesen / lire plus

Fichiers de police : On ne s’en fiche plus

Les fichiers de police sont un de ces monstres sous-marins qui lorgnent le gouvernement, même pendant la pandémie. Une nouvelle loi prévoit d’y remédier, en instaurant pourtant quelques largesses.

© woxx

Sur les éléments de langage et la communication, le ministre de la Sécurité intérieure, Henri Kox, semble avoir intériorisé ses leçons : « Je ne veux plus débattre de l’origine du problème », fait-il savoir au début de la conférence de presse qui a lieu au 22e étage du « Héichhaus » ce mercredi. Ce qui ne l’empêche pas d’insister plusieurs fois sur le fait qu’à aucun moment les fichiers de la police n’auraient manqué de base légale – histoire d’éteindre une fois pour toutes la polémique qui a marqué l’été 2019. mehr lesen / lire plus

Lois corona et données : la CCDH met en garde

Une nouvelle loi corona est sur la table et sera probablement à l’ordre du jour bientôt. Si elle ne change pas grand-chose à l’essentiel, un détail fait tout de même tiquer la Commission consultative des droits de l’homme.

(©Wikimedia Markus Then)

Le projet de loi 7645 ne concerne que deux points essentiels : le renforcement de la réserve sanitaire, qui accueillera aussi les psychothérapeutes et les pharmacien-ne-s, et une prolongation du traitement des données récoltées dans le système d’information sur les cas de Covid-19 au-delà de la date prévue initialement.

Tandis que les autres instances auxquelles le gouvernement a demandé un avis ont soit donné un feu vert – Conseil d’État, Commission nationale pour la protection des données et Collège médical –, seule la CNPD trouve des cheveux dans la soupe.

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Mangelnder Datenschutz bei der elektronischen Krankschreibung

Während der Ausgangsbeschränkungen im März und April musste schnell ein System auf die Beine gestellt werden, um Krankschreibungen elektronisch ausstellen zu können. Das barg allerdings Probleme mit dem Datenschutz.

Wer während des „Lockdowns“ krankgeschrieben wurde, konnte das mittels Telekonsultation machen. Danach bekam man ein elektronisches Dokument, das an Krankenkasse und Arbeitgeber*in geschickt werden konnte. Hier gab es leider ein großes Problem beim Datenschutz, wie in einer Antwort auf eine parlamentarische Anfrage von Sven Clement (Piratepartei) klar wurde.

Auf dem elektronischen Krankenschein war nämlich der diagnostische Code zu sehen. Dieser Zahlencode verrät, mit welcher Krankheit die betreffende Person diagnostiziert wurde. Das ist wichtig für die Statistiken der Gesundheitskasse CNS, den*die Arbeitgeber*in geht das aber eigentlich nichts an. mehr lesen / lire plus

Max Schrems contre Facebook : Une claque énorme pour la Commission européenne

Un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne pourrait changer la donne dans le monde des réseaux sociaux. Le transfert de données entre l’UE et les États-Unis devra être réadapté de façon drastique.

L’activiste autrichien Max Schrems (Manfred Werner – Tsui cc-by-sa3.0)

En 2012, alors que le monde découvrait avec effroi les méthodes de la NSA américaine et l’étendue de sa surveillance suite aux révélations d’Edward Snowden, le combat de l’Autrichien Max Schrems semblait un mélange de Don Quichotte contre les moulins à vent et de David contre Goliath.

À l’époque, le woxx avait interviewé le jeune activiste pour un article sur la protection des données, et ce qu’il disait faisait froid dans le dos : les grandes plateformes de réseaux sociaux comme Facebook, mais aussi des firmes comme Microsoft ont ouvert l’accès à leurs données aux services secrets américains. mehr lesen / lire plus

Fichier central : Saucissonnages dans la brume

Entre deux commissions parlementaires et la publication du rapport de la Commission nationale pour la protection des données (CNPD), il apparaît encore une fois que rien n’est clair dans le dossier « fichier central ».

© SIP

Le feuilleton commencé avant la pause estivale continue et ce sont toujours les mêmes mouvements qui prévalent : l’opposition pousse et le gouvernement crache des miettes, et puis s’étonne que personne n’est satisfait. Alors que le ministre de la Sécurité intérieure n’a toujours pas répondu à la question du député Marc Baum sur les administrations qui peuvent demander des informations du fichier central de la police, il s’est tout de même prêté au jeu de la transparence devant les député-e-s à deux reprises cette semaine. mehr lesen / lire plus

Fichier central : la CNPD se bouge un peu et Déi Lénk continuent de creuser

L’histoire sans fin des fichiers utilisés par la police et la justice ne va probablement pas s’arrêter pendant l’été. Entre-temps, la CNPD essaie de se rattraper.

(©Spotsoflight_pixabay)

Les député-e-s de la commission jointe de la Sécurité intérieure et de la Défense ainsi que de celle de la Justice, réuni-e-s lundi matin n’étaient – comme d’habitude – pas satisfait-e-s des réponses obtenues. Le dossier est explosif pour deux de ses ingrédients : le potentiel politique qu’y perçoit l’opposition pour attaquer la coalition et le fait que le traitement des données personnelles par les administrations judiciaire et policière est en effet plus que problématique. mehr lesen / lire plus

CNPD : RGPD ma non troppo

Le règlement général sur la protection des données (RGPD) a émis des vagues de panique tous azimuts chez les associations, institutions et firmes. Pourtant, l’implémentation stricte de ce règlement européen ne semble pas une priorité.

Vous l’aurez sans doute remarqué : depuis le 25 mai, les mails vous demandant soit de confirmer vos données à nouveau, soit d’accorder votre confiance à l’organisme qui vous a contacté en ne faisant rien inondent les boîtes aux lettres électroniques. C’est que malgré quelques efforts avant tout pour les firmes, la Commission nationale pour la protection des données (CNPD), n’a pas vraiment réussi à calmer les angoisses. mehr lesen / lire plus

Radio 100,7 : les journalistes interrogés

Suite logique de la perquisition menée il y a une dizaine de jours, le rédacteur en chef Jean-Claude Franck et le journaliste Claude Biver ont été interrogés séparément par la police judiciaire – confirmant l’unilatéralité de l’enquête.

On pouvait s’y attendre : après la perquisition « avortée » menée dans les bureaux de la radio socio-culturelle, les deux journalistes qui avaient révélé l’affaire « Chamberleak » ont eu rendez-vous à la police judiciaire. Accompagnés d’avocats, Jean-Claude Franck et Claude Biver ont été entendus à un jour d’intervalle par les enquêteurs de la police judiciaire.

Ces derniers ne se seraient pas tant intéressés à démasquer la source des fuites, mais plutôt à la méthodologie employée par les journalistes pour télécharger les documents en libre-service sur le site du parlement. mehr lesen / lire plus