PRESSEFREIHEIT: Wir müssen draußen bleiben

Auch anderthalb Jahre nach Inkrafttreten des neuen Pressegesetzes wird in Justizkreisen das Prinzip des Quellenschutzes immer noch nicht verstanden.

Luxemburg als Operettenstaat – ein bekanntes Bild. Ein Beispiel: Zur Kontrolle staatlicher Instanzen gibt es das Instrument der Parlamentarischen Anfrage. In besonderen Fällen kann diese als dringlich eingestuft werden und sollte dann auch eine möglichst schnelle Reaktion seitens der Regierung hervorrufen. Nur wer entscheidet darüber, ob eine Frage wirklich dringlichen Charakter hat? Die Regierung, das heißt die Adressatin der Anfrage. Kein Wunder also, wenn die meisten der von den VerfasserInnen als dringlich eingestuften Fragen diese erste Etappe nicht meistern und zu „normalen“ Anfragen degradiert werden. mehr lesen / lire plus

MAISON RELAIS: Flexibilität versus Organisierbarkeit

Kinderbetreuung wird als Standortfaktor der Zukunft vermarktet. Das Modell der Maison relais soll als kommunales Netzwerk in dieser Hinsicht Maßstäbe setzen.

Soll das alte Schwimmbad renoviert oder besser die Kinderbetreuung ausgebaut werden? Diese Frage könnte sich künftig in den Luxemburger Gemeinden stellen. Denn die Nachfrage nach Betreuungsplätzen wächst. Das liegt zum einen daran, dass beide Eltern berufstätig sein müssen oder wollen, zum anderen an der wachsenden Zahl der Alleinerziehenden. Die Kosten für die Gemeinden könnten also erheblich steigen, wenn das neue Modell der Maisons relais flächendeckend eingeführt wird. „Wir haben uns an einen fahrenden Zug angehängt“, so Mill Majerus, Conseiller de gouvernement im Familienministerium. mehr lesen / lire plus

PASCAL SCHUMACHER: Le jazz n’est pas un sport

Le vibraphoniste Pascal Schumacher vient de sortir un deuxième album avec son quartet. Le woxx s’est entretenu avec le jeune jazzman luxembourgeois.

N’est pas le Stakhanov des partitures: Pascal Schumacher, jazzman luxembourgeois de la première génération. (Photo: woxx)

woxx: Le jazz n’a pas la priorité dans l’enseignement musical au Luxembourg. Comment ton amour pour cette musique est-il né?

Pascal Schumacher: On enseigne bel et bien le jazz au Luxembourg, mais il est vrai que je viens d’une direction différente, du domaine de la percussion contemporaine notamment. Je me suis passionné pour le jazz au cours de mes études. Le déclic m’est venu d’un de mes professeurs pendant que j’étudiais à Strasbourg. mehr lesen / lire plus

SAM MENDES: Jarhead

Dans un des premiers films sur la guerre du Golfe de 1991, il ne se passe rien. Ou presque.

Bienvenue dans le désert: Jake Gyllenhaal dans „Jarhead“ de Sam Mendes.

Sam Mendes a fait son film de guerre. Que pouvait-on attendre du réalisateur d'“American Beauty“ si ce n’est une approche différente des valeurs américaines? Pour „Jarhead“, tiré du roman d’Anthony Swofford, Mendes a choisi de ne pas filmer la guerre mais l’attente de la bataille. Celle qui délivrera toutes ces têtes de bocaux de leur insatiable soif d’en découdre.

Dans „Jarhead“, pas de batailles de Falloujah, pas d’effets, comme aurait pu le faire, par exemple, Roland Emmerich, réalisateur de l’affligeant „Independance Day“ et du pathétique „Pearl Harbor“. mehr lesen / lire plus

ERIC LARTIGAU: Un ticket pour l’espace

On peut ne pas aimer un certain humour français loufoque et potache. Si Eric Lartigau ne signe pas un chef d’oeuvre, il a quand même réussi à tourner un film convenable, parfois bien drôle et étonnamment sobre. On s’y amuse, même si Kad et Olivier sont mieux dans leurs sketchs qui laissent plus d’espace à leur spontanéité. Agréable surprise, André Dussolier et Guillaume Canet s’intègrent parfaitement dans cet univers déjanté. mehr lesen / lire plus

GALERIE ACKERMANN: L’amour toujours?

En pénétrant dans la galerie Ackermann, une image saute aux yeux: celle de notre couple grand-ducal, réduit au statut d’icone pop sur fond mauve. Le vide de leurs visages – on ne les réconnaît qu’à l’uniforme d’Henri – semble signifier le côté délavé d’une monarchie sur-médiatisée et d’une mise en scène d’un pouvoir loti avant tout sur le symbolique. Ironie pure, pourrait-on croire. On se trompe, pourtant. Car la peinture montre en fait que le couple „fait partie intégrante de l’imagerie populaire, qu’il reçoit et offre avec générosité son attention à la population tout en inspirant sécurité et admiration“, dit la petite note explicative. mehr lesen / lire plus