Le scénario du deuxième film de Martin Valente est simple et riche à la fois: un kaleïdoscope de destins, arrachés au quotidien, qui s’entrecroisent en rencontres éphémères ou durables. Tous sont fragiles, errants dans une vie qui ne leur ressemble plus.
Malgré quelques scènes maladroites, les personnages sont très bien décrits. Pas drôle la vie et pourtant il y a certaines situations grotesques comme celle du cinéaste désabusé, traînant son sac-poubelle sans pouvoir s’en débarrasser. Un film à voir.
A l’Utopia.
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