Das Oberste Gericht von Honduras hat fünf Jahre nach dem Mord an der Umweltaktivistin Berta Cáceres einen der Drahtzieher des politisch motivierten Verbrechens verurteilt. Dem ehemaligen Chef des Energieunternehmens Desa drohen nun bis zu 30 Jahre Haft.
War schon zu Lebzeiten ein Symbol des Widerstands: die 2016 ermordete Umweltaktivistin Berta Cáceres. (Foto: Wikimedia / CC-BY-3.0)
Lange Zeit hatte es nicht so ausgesehen, als ob der Mord an Berta Cáceres je aufgeklärt werden würde – und noch weniger Hoffnung gab es, dass die maßgeblichen Hintermänner der Bluttat zur Verantwortung gezogen werden. Am Montag hat nun jedoch hat das Oberste Gericht von Honduras Roberto David Castillo Mejía, den ehemaligen Chef des Energiekonzerns „Desarrollos Energéticos“ (Desa), als „Mittäter“ des Mordes an der Umweltaktivistin für schuldig befunden. mehr lesen / lire plus
Ein bisschen hatte OpenLux ihnen die Show gestohlen: Die „
Le devoir de vigilance des entreprises de respecter les droits humains tout au long de la chaîne de production est un concept relativement neuf, qui se base sur les principes directeurs des Nations unies. Vu que le Luxembourg est sur le point de légiférer en la matière, l’Action solidarité Tiers Monde (ASTM) vient de publier un rapport avec une analyse détaillée des entreprises ayant leur siège au grand-duché et les risques d’infractions aux droits humains de celles-ci. Sans surprise – et se basant sur des chiffres émanant de la Chambre de commerce –, c’est le secteur financier qui a le plus d’impact. 
Comme si les consultant-e-s étaient les premières victimes de cette crise… En tout cas, le programme « Fit 4 Resilience » mis en place par le ministère de l’Économie et Luxinnovation propose aux entreprises (de taille intermédiaire et PME) de prendre en charge la moitié des frais de consultance pour assurer leur avenir. À condition qu’elles soient prêtes à faire réaliser un « diagnostic du positionnement stratégique » et à avoir une « réflexion structurée sur les choix stratégiques », qui sera bien sûr sous le signe d’une « approche davantage digitale, circulaire et régionale ». 
