Les autorisations d’occupation temporaires (AOT) pour demandeurs-euses de protection internationale (DPI) ne sont pas adaptées au terrain et bureaucratiques. Pourtant le gouvernement ne semble pas vouloir simplifier les procédures.
Déjà que quitter sa terre natale pour entamer un voyage périlleux en Europe afin d’échapper à la guerre ou à la famine n’est pas une partie de plaisir, souvent les réfugié-e-s, même instruit-e-s, sont condamné-e-s à l’inaction dans les pays qui les accueillent. Car entrer sur le marché du travail européen en provenance d’un pays tiers peut être difficile – sauf si vous êtes un-e sportif-ve ou un-e chercheur-euse, ou si vous avez l’argent pour vous dorer votre visa. mehr lesen / lire plus