Autorisations de travail pour réfugié-e-s : Pas d’empressement

Les autorisations d’occupation temporaires (AOT) pour demandeurs-euses de  protection internationale (DPI) ne sont pas adaptées au terrain et bureaucratiques. Pourtant le gouvernement ne semble pas vouloir simplifier les procédures.

(© Pixnio)

Déjà que quitter sa terre natale pour entamer un voyage périlleux en Europe afin d’échapper à la guerre ou à la famine n’est pas une partie de plaisir, souvent les réfugié-e-s, même instruit-e-s, sont condamné-e-s à l’inaction dans les pays qui les accueillent. Car entrer sur le marché du travail européen en provenance d’un pays tiers peut être difficile – sauf si vous êtes un-e sportif-ve ou un-e chercheur-euse, ou si vous avez l’argent pour vous dorer votre visa. mehr lesen / lire plus

Arbeitstiere

Vollzeitbeschäftigte in Luxemburg arbeiten jährlich durchschnittlich 1.701 Stunden. Das dokumentiert eine Statec-Studie, die Zahlen aus dem Jahr 2016 referiert. Luxemburg liegt damit im europäischen Mittelfeld und über dem Durchschnitt der Eurozone (1.649 Stunden). Im direkten Vergleich mit den Nachbarländern ist Luxemburg Spitzenreiter. In Frankreich werden im Durchschnitt jährlich 1.544 Stunden gearbeitet, in Belgien 1.495 und in Deutschland 1.677. In Sachen Teilzeitarbeit rangiert das Großherzogtum hingegen auf den hinteren Plätzen. Während sich der Mittelwert in der Europäischen Union auf 26 Prozent beläuft, arbeiten in Luxemburg nur 18,3 Prozent der Angestellten in Teilzeit. In der Grenzregion liegt der Wert nur in Frankreich mit 17,7 Prozent noch niedriger. mehr lesen / lire plus

Pauvreté chez les jeunes : le Luxembourg champion !

La devise du premier ministre, « Quand le pays va bien, les gens vont bien », ne semble pas s’appliquer à tout le monde. Alors que la différence entre le haut et le bas de l’échelle sociale ne cesse de se creuser, comme le prouvait déjà le rapport du Statec sur la cohésion sociale paru juste après les élections d’octobre, c’est Eurostat qui vient en rajouter une couche. En effet, l’office statistique de l’Union européenne vient de publier une étude (qui porte sur l’année 2017) sur le risque de pauvreté chez les jeunes de 18 à 24 ans – qui ont un travail, excluant donc les étudiant-e-s et les personnes au chômage. mehr lesen / lire plus