LA GUERRE CONTRE L’IRAK: Qui fait l’affaire de Saddam?

Ne pas soutenir George Bush dans sa croisade contre le dictateur de Bagdad n’est ni synonyme d’anti-américanisme, ni signe de lâcheté envers un dictateur.

Le 26 octobre des manifestations pacifistes sous le mot d’ordre „not in our name“ se dérouleront dans plusieurs villes des Etats-Unis. Si le mouvement de la paix américain a pris quelque temps pour se mettre en place face à l’unilatéralisme affiché de son gouvernement, on peut commencer à y voir certaines lueurs d’espoir. Ce mouvement nous montre qu’on peut parfaitement condamner l’attitude de Washington sans faire dans l’antiaméricanisme primaire.

Ils et elles étaient 15.000 à New York, début octobre, à manifester leur désaccord avec la politique de l’administration Bush envers l’Irak. mehr lesen / lire plus

TERRORISME AU LUXEMBOURG?: Un pavé mal ajusté

En accusant le gouvernement d’immobilisme face à des agissements terroristes, le „Jeudi“ jette un pavé dans la mare. Hélas, il apporte aussi de l’eau au moulin des xénophobes et de ceux qui réclament un Etat plus autoritaire.

„Au Luxembourg aussi: Terroristes en liberté“, affirmait la une du „Jeudi“ du 10 octobre. Les informations et affirmations contenues dans le dossier de l’hebdomadaire ont donné lieu à des réactions multiples. Parmi ceux qui ont cru y lire „les musulmans sont des terroristes“ les opinions allaient du „on vous l’a toujours dit“ au „il valait mieux ne pas en parler“. D’autres ont critiqué le fait de débattre de la sécurité nationale sur la place publique. mehr lesen / lire plus

CINEMA DE BELGIQUE: L’espoir malgré tout

Une interview peu prolifique pour un film primé à Cannes. Encore faut-il apprécier le style des frères Dardenne, faisant mal aux yeux d’un spectateur qui s’en est plaint à l’avant-première de „Le fils“.

Ils ne sont pas très en forme. Luc est enrhumé et Jean-Pierre a la tête de quelqu’un qui a trop parlé d’un sujet pour vraiment s’y intéresser encore. Mais les frères Dardenne sont des gens bien élevés et supportent donc le passage en revue imposé de la presse luxembourgeoise, précédant l’avant-première de leur film „Le fils“, vendredi dernier, à l’Utopia.

Ce n’est pas pour autant que l’on arrive à en tirer grand-chose. mehr lesen / lire plus

Spielberg Steven: Minority Report

Der neue Spielberg-Film „Minority Report“ ist (fast) bis zum Schluss spannend und actiongeladen. Die Geschichte ist aber an vielen Stellen zu dünn und nicht immer logisch.

Märchenhafter Sci-Fi-Thriller

Washington D.C. im Jahr 2054. Seit sechs Jahren ist in der Hauptstadt der Vereinigten Staaten kein Mord mehr passiert. Das, was wie ein Wunder klingt, trägt einen Namen: Pre-Crime Department. Herzstück dieser polizeilichen Behörde sind drei Pre-Cogs. Diese hilflosen, in einem Bassin mit milchiger Flüssigkeit verwahrten Nachkömmlinge von Crack-Müttern haben durch den Drogenkonsum ihrer Eltern eine besondere Begabung erlangt: Sie können in die Zukunft schauen. Das heißt, sie sehen Verbrechen voraus, bevor diese überhaupt begangen werden. mehr lesen / lire plus

Michel Blanc: Embrassez qui vous voudrez

Un film qui se creuse beaucoup la tête sur le fait qu’il vaudrait mieux ne pas se creuser trop la tête en matière de couple. Le réalisateur et acteur Michel Blanc nous réserve de beaux moments comiques, mais ses personnages sont caricaturaux et n’évoluent guère. Sauf les magnifiques Charlotte Rampling et Jacques Dutronc.

A l’Utopia

Germain Kerschen mehr lesen / lire plus

Jazz: E.S.T

Strange Place for Snow

Lueurs nordiques

(jitz) – Depuis l’avènement du romantique Brad Mehldau, la formule piano-contrebasse-batterie jouit d’une popularité méritée et les bons trios foisonnent un peu partout. L’originalité n’est cependant pas toujours au rendez-vous. A défaut d’une révolution, le pianiste suédois Esbjörn Svensson, entouré du contrebassiste Dan Berglund et du batteur Magnus Öström, se distingue par ce petit truc personnel, si difficile à peaufiner. Il mêle l’esthétique d’un jazz assez classique aux grisailles cafardeuses et aux pulsations répétitives chères aux musiciens scandinaves, et les quelques touches clairsemées de sonorités synthétiques, couplées aux percussions, aussi retenues que subtiles, contribuent à la création d’un climat de pénombre pesante. mehr lesen / lire plus

Bruno Stevens: Barrières

L’horreur des barrières*

(rogart) – Les images télévisées sanglantes du conflit israélo-palestinien commencent à vous abrutir? Alors visitez cette dérangeante exposition Barrières du photographe Bruno Stevens. Le woxx en avait déjà publié des images tant soit peu soutenables. Mais dans l’exposition, certaines photos des victimes des attentats et raids meurtriers des deux côtés de la frontière sont à vous couper le souffle. Toutefois, ce n’est pas le propos de Stevens de choquer, mais „de sortir de la dictature du maintenant“. Ainsi, les personnes attentives seront bien plus sensibilisées par les profondes séquelles humaines de ce conflit indénouable, qu’elles ne risquent d’être choquées par les images. mehr lesen / lire plus

Culte du film à chier: Les nanars

(gk) – Pourquoi aime-t-on les nanars? C’est une question qui est posée sur nanarland.com dans une critique du film naze le plus culte qui soit: „Plan 9 from Outer Space“ de Ed Wood. Avant tout, on les aime parce qu’ils nous permettent de ressentir notre intelligence comme magnifiquement supérieure à celle des faiseurs de ces films et puis, dire pourquoi un film est vraiment mauvais reste une occupation bien plus gratifiante que de vouloir persuader pourquoi un autre est vraiment bon. nanarland.com est un site en français, qui se consacre à ce chapitre trash de la cinéphilie. On y trouve encore assez peu de films, mais les choix sont judicieux. mehr lesen / lire plus