Et ben, voilà ! Ah, c’est du propre ! Et pourtant, on y était presque. Quoi ? Ben, la libération du monde, pardi ! C’est qu’il était à deux doigts d’être définitivement sauvé. Boum, le mur de Berlin tombe. Crac, l’Union soviétique s’effondre. Quant aux quelques méchants qui subsistaient, on leur a vite fait leur affaire: Saddam Hussein – trop facile – deux, trois missiles et que voilà la démocratie. Restait plus qu’à ratatiner – tranquille – l’Iran, la Chine, la Corée du Nord, et voilà ! La paix et la démocratie partout ! A deux doigts qu’on y était ! Mais non, fallait que les assurances et les banques s’en mêlent. Avec leurs prêts immobiliers à taux variables, les « seubpraïmsses ». On n’a pas tout compris comment que ça devait fonctionner, mais on a pigé que ça n’a pas marché. Et vlan que l’économie mondiale se casse la gueule. Comme en 29 ! Franchement, cette semaine, la rédaction s’est posé la question s’il fallait sortir un nouveau numéro. Puisque c’est bientôt fini, pourquoi continuer à travailler ? Voilà pourquoi, si un vendredi, vous cherchez désespérément le woxx, c’est qu’on a fait nos valises et qu’on boit nos derniers cocktails aux Seychelles.
Willkommen zurück, Tessie!
So sehr wir uns in der woxx-Redaktion mit unserem Beruf identifizieren: Manchmal gibt es im Leben einfach wichtigere Dinge, die alle Aufmerksamkeit einfordern. Die Geburt eines Kindes gehört ganz sicher dazu. Deswegen war es uns wichtig, dem Wunsch unserer Mitarbeiterin Tessie Jakobs, sich ein Jahr lang gänzlich Quinn widmen zu können, zu...

