Fukushima : des photos pour commémorer

Un diaporama compilé par Greenpeace rappelle l’aspect humain des ravages d’un accident nucléaire.

Une catastrophe nucléaire et humaine, photos et textes, par Greenpeace France.

Quoi de plus politique que cet anniversaire de la catastrophe de Fukushima, avec le débat autour des leçons tirées ou non et les mobilisations en faveur d’une sortie du nucléaire pure et simple ? Et pourtant, le désastre technologique a aussi affecté des centaines de milliers de vies humaines au Japon. Pour se rappeler ce côté humain de la catastrophe, qui n’est évidemment pas apolitique, nous vous recommandons le diaporama que Greenpeace a mis en ligne il y a deux semaines. mehr lesen / lire plus

Photographie : Pellicules sensibles et sociales

Le Mois européen de la photographie devrait toucher à sa fin, mais nombre d’institutions culturelles et de galeries ont eu la bonne idée de le prolonger. C’est le cas du Mudam, qui propose deux expositions de clichés réussies à voir encore tout l’été.

« Rally to Protest UPMC East, July 2 2012 », 2012 (Photo : LaToya Ruby Frazier and Gavin Brown’s enterprise, New York/Rome)

Fidèle à son cycle de présentations régulières de la collection d’œuvres acquises depuis sa création, le Mudam a concocté « Figures sensibles ». L’exposition, issue du fonds photographique de l’institution, aborde « la question de la représentation et des effets de l’image sur notre approche du réel ». mehr lesen / lire plus

Photographie : Objectif autofiction

Dans le cadre du Mois européen de la photographie, la Villa Vauban propose la première exposition monographique d’Elina Brotherus au Luxembourg. Des clichés où l’artiste finlandaise se met en scène elle-même – provoquant des réactions contrastées.

« Reflected in a Mirror 1 », de la série « Artist and Her Model »

S’il y a une chose sur laquelle aucun doute n’est permis, c’est bien la constance d’Elina Brotherus au fil du temps. En effet, dans l’exposition qui lui est consacrée à la Villa Vauban, les photographies – choisies parmi les principales séries qu’elle a réalisées ces 20 dernières années – révèlent une manière immédiatement reconnaissable : soin apporté à la lumière, absence de détails qui pourraient détourner l’attention, composition étudiée comme pour un tableau… et inévitable présence de la photographe dans le champ. mehr lesen / lire plus

Exposition collective : Le Japon fois sept

La première exposition « Luxembourg-Tokyo » dans la toute nouvelle galerie Fellner Louvigny se concentre sur l’étrange attraction qu’exerce le Japon sur des artistes luxembourgeois-e-s.

Photos : woxx

Le vertige est bien une des premières sensations qui envahit chaque Occidental-e lors de sa première visite au Japon : les dimensions monstrueuses des villes, les signes incompréhensibles et omniprésents, les codes de communication presque impossibles à traduire et à appliquer, le tout caché derrière une façade de bienséance asiatique difficile à interpréter. « Comme les Inuits ont 50 mots pour désigner la neige, les Japonais ont 50 façons d’éviter de dire ‘non’ à leur interlocuteur », s’amuse Hans Fellner, patron de la nouvelle petite galerie et librairie d’art située au cœur de la vieille ville. mehr lesen / lire plus

Table ronde : Comment l’image façonne l’actualité ?

Les lectrices et lecteurs du woxx le savent, l’expo « Hard Truths – An Exhibition of Prize Winning Photography from the New York Times », coorganisée par la Foundation for the Exhibition of Photography (une organisation sans but lucratif fondée en 2003 à Minneapolis) manque de profondeur. Malgré des photographies aussi spectaculaires qu’émouvantes sur des thèmes qui ont fait bouger l’actualité ces dernières années, que ce soit les crises au Venezuela, la guerre en Irak ou encore la répression aveugle aux Philippines sous le régime sanguinaire de Rodrigo Duterte, il manque un cadre dans lequel on pourrait classer le travail des photographes. mehr lesen / lire plus

PHOTOTÉMOIGNAGE: Avenir lumineux

Fukushima, trois ans et demi déjà. Une exposition de photos témoigne des effets terribles d’une telle catastrophe sur la vie des victimes, même évacuées.

Il neige sur Fukushima. Sur le cimetière de Fukushima. Entre les stèles avec des inscriptions en caractères japonais, des hommes en combinaison blanche. Pour leurs visites, les anciens habitants doivent se protéger et sont autorisés à passer cinq heures, pas plus, dans la zone interdite. Il s’agit là d’une des photos les plus marquantes de la petite exposition « Dans la zone interdite de Fukushima » qui, après avoir été montrée au « Garage », route d’Esch, sera à l’affiche à l’Oekofoire du 26 au 28 septembre. mehr lesen / lire plus