D’Joer geet op en Ënn, Zäit fir „Um Canapé mat der woxx“ e kulturpolitesche Réckbléck ze woen: Wat ware fir d’Ex-Kulturministesch Sam Tanson (Déi Gréng) Héichpunkter? Zu wat ass si net komm? A wat hält si vum neie Koalitiounsaccord?
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D’Deputéiert Sam Tanson (Déi Gréng) huet no de leschten Nationalwalen am Oktober zwar hire Büro als Kulturministesch misse raumen, mä de Recht vum Joer huet si kulturpolitesch Debatten an der Regierung gefouert. Zesumme mam Isabel Spigarelli (woxx) léisst si d’Joer Revue passéieren: Wat war mam Konflikt ronderëm de Bâtiment4 zu Esch? Wat hëlt si mat aus dem Tëschebilan vum Kulturentwécklungsplang? mehr lesen / lire plus
Il y a un peu plus d’un mois, nous avons lancé auprès de nos lectrices et lecteurs une campagne de soutien de notre projet. Cet appel ressemble quelque peu à ce qu’on a dû faire il y a un peu plus d’un quart de siècle : quand notre prédécesseur le GréngeSpoun s’était transformé en hebdomadaire et avait rempli pendant une année toutes les conditions prévues par la loi sur l’aide à la presse, il était en phase de devenir la première publication nouvellement créée à accéder à ce système sans être édité par une des grandes maisons d’édition. 
Comme vous le remarquerez peut-être, notre caricaturiste fait une pause cette semaine. Ce n’est pourtant pas une raison de ne pas l’évoquer dans nos pages, d’autant plus qu’il vient de faire paraître un volume de caricatures à l’occasion des 40 ans de l’Asti. En effet, s’il nous accompagne depuis 31 ans déjà, la plume au vitriol de Guy s’agitait bien avant la création du Gréngespoun (qui allait devenir le woxx en 2000). À travers des publications comme Perspektiv et autres, il était bien connu des milieux progressistes… comme de la police – vous trouverez à l’intérieur du livre un petit feuillet rédigé par les barbouzes en 1987 (issu du fameux « fichier central » qui revient de faire surface), dans lequel le fonctionnaire note une « attitude absolument négative envers les autorités et la justice », prouvant que déjà à cette époque lesdites autorités appréciaient peu la critique. 
