Serie: What the facts?! (2): Tote Fakten, zum Leben erweckt
Immer schön bei der Wahrheit bleiben! Das Beharren auf dem, was nachweislich der Fall ist, erscheint im „postfaktischen Zeitalter“ als ein Grundpfeiler der Demokratie. Doch wer die Fakten aufs Korn nimmt, hat nicht zwangsläufig wahrheitsfeindliche Propaganda im Sinn. Teil II unserer Serie über das „Postfaktische“.
Wendete sich bereits 1923 gegen einen Fakten-Fetischismus auch in der kommunistischen Bewegung und damit gegen die Reduktion der Idee der Weltveränderung auf ein bürokratisch-technisches Programm: der ungarische Philosoph Georg Lukács. (Quelle: gyorgylukacs.wordpress.com)
Vor ein paar Jahren gab es in einer Brüsseler Buchhandlung ein kleines Notizbüchlein zu kaufen. Fakten sind der Feind der Wahrheit, stand darauf in Englisch zu lesen: „Facts are the enemy of truth“. mehr lesen / lire plus
„Es geht darum, uns für andere Realitäten zu öffnen. Wir müssen uns bewusst machen, dass es nicht nur den einen Feminismus gibt und dass Frauen unterschiedliche Interessen haben“, so die CID – Fraen an Gender-Mitarbeiterin Christa Brömmel am vergangenen Mittwoch auf einer Pressekonferenz. Auf dieser wurde die von der Aktionsplattform Journée internationale des femmes organisierte Kampagne zum Weltfrauentag 2017 vorgestellt. 2011 war diese Plattform aus dem Bedürfnis heraus gegründet worden, durch einen Zusammenschluss zahlreicher Organisationen mehr Visibilität und größere Einflussmöglichkeiten zu schaffen, so Brömmel.
Le rapport a été rédigé à la suite de la visite effectuée au Luxembourg par l’ECRI, organe de protection des droits de l’homme du Conseil de l’Europe composé d’experts indépendants, au mois de mars 2016. Il tient compte de l’évolution de la situation jusqu’au 30 juin 2016. Des visites similaires ont lieu régulièrement dans tous les pays membres du Conseil de l’Europe, dans le cadre d’un monitoring pays par pays sur les phénomènes de racisme, d’antisémitisme et de discriminations fondées sur les origines ou la sexualité. 
Claude Turmes vient de publier un livre intitulé « Transition énergétique – une chance pour l’Europe » chez « Les petits matins ». La quatrième de couverture annonce un « livre-témoignage » retraçant les luttes d’influence dans les coulisses européennes. En fait, le récit des 15 premières années parlementaires de celui qui est député européen depuis 1999 n’occupe que le premier quart du livre. Le reste est consacré aux questions d’actualité et d’avenir, avec des argumentations et des propositions militantes, mais hautement qualifiées. 
Il est une des valeurs montantes de la photographie européenne. Samuel Gratacap, 34 ans, formé à Bordeaux et à Marseille, a passé deux ans entre la France et le camp de Choucha, dans le sud de la Tunisie, à quelques kilomètres de la frontière libyenne. Il a immortalisé sur Polaroïd, en vidéo et en photographies numériques la lente agonie de ce monde à part, qui a accueilli pendant plusieurs années des aspirants à une vie meilleure. 
