Travaillant avec des matériaux aussi divers que de grands pans de papier peint, de poupées ou encore du bois, les oeuvres d’Isabelle Frank montrent néanmoins un univers complet et homogène. Pour l’occasion la Galerie s’est transformée en une vraie petite jungle, dans laquelle se côtoient tableaux démesurés et petites installations intimistes, créées avec amour du détail. Tellement de détails même qu’il faut plusieurs regards pour en extraire toutes les significations. Car, sens il y a. Les installations fonctionnent comme des petits stratagèmes – ceux que les enfants développent en jouant avec leur lego quand ils détournent les figurines de leur rôle d’origine, pour y projeter leur propre histoire. Dans les tableaux apparaissent – entre des couches de couleur – de temps en temps des silhouettes féminines, qui donnent l’impression d’avoir regardé longtemps le visiteur, avant que celui-ci ne les reconnaisse. En tout, une exposition qui surprend autant par le fond que par la forme. A voir.
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